Pour soutenir ces efforts, l’UE a mis en œuvre de nouvelles réglementations conçues pour poser les bases indispensables à l’innovation dans le secteur de la Fintech. Parmi elles, la DSP2 (Directive sur les Services de Paiement 2) en application depuis 2018, oblige les banques à ouvrir leurs systèmes aux Fintech et à proposer des solutions de paiement modernes. Cette directive a harmonisé les réglementations afin de protéger les start-ups et de permettre aux jeunes entreprises de concurrencer les grands acteurs du secteur des services financiers. Elle ouvre également la voie à une future directive, la DSP3, qui devrait favoriser d’autres innovations et de nouveaux modèles commerciaux, ainsi que la protection et la sécurité des consommateurs.
Un secteur en constante évolution
Dans toute l’UE, le secteur des Fintechs et des systèmes de paiement est à la pointe de l’innovation technologique. En Irlande, par exemple, il s’est développé à un rythme sans précédent et a donné naissance à des entreprises exerçant des activités encore inconnues il y a cinq ou dix ans. Ces activités ont considérablement évolué au fil du temps et comprennent désormais les paiements et le traitement en ligne, les paiements transfrontaliers, les passerelles de paiement et la banque numérique, pour n’en citer que quelques-unes. En outre, de nombreux acteurs clés du secteur à l’échelle internationale sont présents dans l’île d’Émeraude, notamment Mastercard, PayPal et Elavon. Ces entreprises, de plus en plus axées sur la technologie, représentent l’avenir de la banque et attestent de l’évolution des préférences des particuliers comme des professionnels en faveur d’applications et de services bancaires personnalisés et multifonctionnels. Nombre d’entre elles cherchent également à établir leur siège européen en Irlande, ce qui leur donne accès à un large réservoir de talents dans des domaines tels que l’exploitation, l’assistance à la clientèle, les langues, la technologie et les activités réglementées.
De même, en France, la refonte technologique du secteur financier est menée par de nombreuses start-ups, qui développent des solutions inédites pour les secteurs de la banque et des paiements. Plus de 500 Fintech sont actuellement actives dans l’Hexagone, notamment dans les secteurs des services de paiement, des services bancaires et d’assurance, ainsi que dans les services dédiés aux actifs crypto/numériques. La croissance de cet écosystème est telle qu’elle s’apprête à jouer un rôle majeur dans la redynamisation de l’économie française. En outre, la France compte plusieurs acteurs clés qui se donnent les moyens d’accompagner la transformation numérique et les projets innovants dans ce domaine, comme la Banque de France, France FinTech et le Crédit Agricole.
De nouvelles opportunités d’IDE dans le secteur des Fintechs
Du point de vue des IDE (investissements directs étrangers), le secteur irlandais des Fintechs et des paiements a connu une croissance sans précédent, offrant à l’Irlande de nombreuses opportunités d’attirer des investissements, parallèlement à l’arrivée de nouvelles start-ups dans ce domaine. L’Irlande accueille aujourd’hui 480 Fintech, qui contribuent à créer un écosystème particulièrement florissant. Les investissements générés par ces start-ups sont également à l’origine d’opportunités de partenariat pour les acteurs établis avec des entreprises à forte croissance, sans oublier de nombreuses opportunités de fusions et acquisitions. En outre, le gouvernement irlandais a récemment ajusté sa stratégie Ireland for Finance pour la poursuite du développement du secteur des services financiers internationaux en Irlande jusqu’en 2025. Cette stratégie aidera l’Irlande à devenir un carrefour de premier ordre pour le développement de services financiers internationaux diversifiés. Dans le cadre de cette politique, le gouvernement irlandais a identifié la Fintech comme l’une des deux priorités stratégiques clés pour faciliter la croissance et le développement du secteur. De plus, de nombreuses Fintech et autres innovateurs bénéficient directement de la position de leader de l’Irlande en tant que centre technologique, leur donnant accès à un réservoir exceptionnel de talents et d’expertise aptes à porter de nouvelles avancées et innovations. Les centres irlandais de recherche et de technologie, tels qu’ADAPT, Insight, CeADAR et LERO, permettent à ces entreprises de poursuivre des projets de recherche fondamentale et appliquée tout en obtenant des résultats concrets à un rythme adapté à ce secteur dans le cadre de projets de collaboration cofinancés.
Au cours des dernières années, la France a également réussi à bâtir un solide écosystème de start-ups et, grâce aux IDE, a vu l’arrivée de nombreux investisseurs, séduits par de remarquables opportunités de financement. Le pays compte ainsi actuellement 26 licornes (c’est-à-dire des start-ups valorisées à plus d’un milliard de dollars), un chiffre qui a triplé au cours des trois dernières années. En outre, en 2012, le gouvernement français a lancé une initiative baptisée Mission French Tech pour rassembler les start-ups, les investisseurs, les décideurs politiques et les créateurs de communautés afin de permettre à la France de jouer sur le terrain mondial de la Fintech notamment. Une stratégie nationale Fintech a aussi été publiée en 2016, pour promouvoir la croissance et l’innovation dans ce domaine. Avec près de 2,3 milliards d’euros levés en 2021 dans l’ensemble du secteur, la France récolte désormais les fruits des politiques axées sur le financement de l’innovation depuis le début des années 2010.
Au cours des dernières années, la scène Fintech dans l’UE s’est donc rapidement développée sous tous ses aspects. L’émergence de nouvelles tendances en matière de paiement chez les consommateurs, de jeunes entreprises et de technologies financières inédites en font une région parfaitement positionnée pour devenir un pôle international d’attraction pour les entreprises et, incidemment, les IDE. L’Irlande et la France ont toutes deux montré leur engagement en faveur de la croissance du secteur en faisant preuve d’initiative dans l’élaboration de réglementations nationales indispensables et en adhérant à celles de l’UE afin d’assurer la protection des consommateurs, des entreprises et des investisseurs. Mais l’Union européenne a également renforcé sa position de pôle Fintech en se plaçant à l’avant-garde du développement technologique dans ce domaine et en donnant tous les gages nécessaires aux investisseurs étrangers.
Un secteur en constante évolution
Dans toute l’UE, le secteur des Fintechs et des systèmes de paiement est à la pointe de l’innovation technologique. En Irlande, par exemple, il s’est développé à un rythme sans précédent et a donné naissance à des entreprises exerçant des activités encore inconnues il y a cinq ou dix ans. Ces activités ont considérablement évolué au fil du temps et comprennent désormais les paiements et le traitement en ligne, les paiements transfrontaliers, les passerelles de paiement et la banque numérique, pour n’en citer que quelques-unes. En outre, de nombreux acteurs clés du secteur à l’échelle internationale sont présents dans l’île d’Émeraude, notamment Mastercard, PayPal et Elavon. Ces entreprises, de plus en plus axées sur la technologie, représentent l’avenir de la banque et attestent de l’évolution des préférences des particuliers comme des professionnels en faveur d’applications et de services bancaires personnalisés et multifonctionnels. Nombre d’entre elles cherchent également à établir leur siège européen en Irlande, ce qui leur donne accès à un large réservoir de talents dans des domaines tels que l’exploitation, l’assistance à la clientèle, les langues, la technologie et les activités réglementées.
De même, en France, la refonte technologique du secteur financier est menée par de nombreuses start-ups, qui développent des solutions inédites pour les secteurs de la banque et des paiements. Plus de 500 Fintech sont actuellement actives dans l’Hexagone, notamment dans les secteurs des services de paiement, des services bancaires et d’assurance, ainsi que dans les services dédiés aux actifs crypto/numériques. La croissance de cet écosystème est telle qu’elle s’apprête à jouer un rôle majeur dans la redynamisation de l’économie française. En outre, la France compte plusieurs acteurs clés qui se donnent les moyens d’accompagner la transformation numérique et les projets innovants dans ce domaine, comme la Banque de France, France FinTech et le Crédit Agricole.
De nouvelles opportunités d’IDE dans le secteur des Fintechs
Du point de vue des IDE (investissements directs étrangers), le secteur irlandais des Fintechs et des paiements a connu une croissance sans précédent, offrant à l’Irlande de nombreuses opportunités d’attirer des investissements, parallèlement à l’arrivée de nouvelles start-ups dans ce domaine. L’Irlande accueille aujourd’hui 480 Fintech, qui contribuent à créer un écosystème particulièrement florissant. Les investissements générés par ces start-ups sont également à l’origine d’opportunités de partenariat pour les acteurs établis avec des entreprises à forte croissance, sans oublier de nombreuses opportunités de fusions et acquisitions. En outre, le gouvernement irlandais a récemment ajusté sa stratégie Ireland for Finance pour la poursuite du développement du secteur des services financiers internationaux en Irlande jusqu’en 2025. Cette stratégie aidera l’Irlande à devenir un carrefour de premier ordre pour le développement de services financiers internationaux diversifiés. Dans le cadre de cette politique, le gouvernement irlandais a identifié la Fintech comme l’une des deux priorités stratégiques clés pour faciliter la croissance et le développement du secteur. De plus, de nombreuses Fintech et autres innovateurs bénéficient directement de la position de leader de l’Irlande en tant que centre technologique, leur donnant accès à un réservoir exceptionnel de talents et d’expertise aptes à porter de nouvelles avancées et innovations. Les centres irlandais de recherche et de technologie, tels qu’ADAPT, Insight, CeADAR et LERO, permettent à ces entreprises de poursuivre des projets de recherche fondamentale et appliquée tout en obtenant des résultats concrets à un rythme adapté à ce secteur dans le cadre de projets de collaboration cofinancés.
Au cours des dernières années, la France a également réussi à bâtir un solide écosystème de start-ups et, grâce aux IDE, a vu l’arrivée de nombreux investisseurs, séduits par de remarquables opportunités de financement. Le pays compte ainsi actuellement 26 licornes (c’est-à-dire des start-ups valorisées à plus d’un milliard de dollars), un chiffre qui a triplé au cours des trois dernières années. En outre, en 2012, le gouvernement français a lancé une initiative baptisée Mission French Tech pour rassembler les start-ups, les investisseurs, les décideurs politiques et les créateurs de communautés afin de permettre à la France de jouer sur le terrain mondial de la Fintech notamment. Une stratégie nationale Fintech a aussi été publiée en 2016, pour promouvoir la croissance et l’innovation dans ce domaine. Avec près de 2,3 milliards d’euros levés en 2021 dans l’ensemble du secteur, la France récolte désormais les fruits des politiques axées sur le financement de l’innovation depuis le début des années 2010.
Au cours des dernières années, la scène Fintech dans l’UE s’est donc rapidement développée sous tous ses aspects. L’émergence de nouvelles tendances en matière de paiement chez les consommateurs, de jeunes entreprises et de technologies financières inédites en font une région parfaitement positionnée pour devenir un pôle international d’attraction pour les entreprises et, incidemment, les IDE. L’Irlande et la France ont toutes deux montré leur engagement en faveur de la croissance du secteur en faisant preuve d’initiative dans l’élaboration de réglementations nationales indispensables et en adhérant à celles de l’UE afin d’assurer la protection des consommateurs, des entreprises et des investisseurs. Mais l’Union européenne a également renforcé sa position de pôle Fintech en se plaçant à l’avant-garde du développement technologique dans ce domaine et en donnant tous les gages nécessaires aux investisseurs étrangers.
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Disclaimer: The text above is a press release that was not written by Finyear.com.
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Avertissement : Le texte ci-dessus est un communiqué de presse qui n'a pas été rédigé par Finyear.com.
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Les avis financiers et/ou économiques présentés par les contributeurs de Finyear.com (experts, avocats, observateurs, bloggers, etc...) sont les leurs et peuvent évoluer sans qu’il soit nécessaire de faire une mise à jour des contenus. Les articles présentés ne constituent en rien une invitation à réaliser un quelconque investissement.
The financial and/or economic opinions presented by Finyear.com contributors (experts, lawyers, observers, bloggers, etc.) are their own and may change without the need to update the content. The articles presented do not constitute an invitation to make any investment.
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