Alexandre Stachtchenko, Directeur de la Stratégie de Paymium
Une percée historique chez les jeunes
Si l’on en croit les chiffres de CNN, l’électorat sur lequel Trump a fait la plus grosse progression, ce sont les jeunes, les personnes à faible revenus, et les minorités ethniques. De façon moins spectaculaire, Trump a également marqué des points chez les femmes.
Les jeunes d’abord, affichent la progression la plus spectaculaire. Bastion historique de la gauche, Trump n’affichait qu’un faible score de 36% chez les 18–29 ans en 2016 comme en 2020. Lors de l’affrontement avec Biden, ce dernier récoltait 60% de leurs suffrages. En 2024, le score de Trump bondit à 42%, quand Harris termine à 55%.
Les jeunes d’abord, affichent la progression la plus spectaculaire. Bastion historique de la gauche, Trump n’affichait qu’un faible score de 36% chez les 18–29 ans en 2016 comme en 2020. Lors de l’affrontement avec Biden, ce dernier récoltait 60% de leurs suffrages. En 2024, le score de Trump bondit à 42%, quand Harris termine à 55%.
Est-ce Harris qui a perdu le cœur des jeunes ? ou Trump qui l’a conquis ? Harris ne fait en réalité que revenir au score de Clinton en 2016, là où Biden était parvenu à atteindre le niveau d’Obama en 2012. A l’inverse, le score de Trump est une percée remarquable. Aucun républicain n’avait réuni autant de jeunes depuis 20 ans. C’est donc plutôt le discours de Trump qui a séduit cette classe d’âge, que celui d’Harris qui l’aurait particulièrement rebuté.
Si l’on divise la classe 18–29 en deux, on remarque que ce sont les plus jeunes qui font progresser Trump. En effet, les 18–24 bondissent de dix points entre 2020 et 2024 (31 à 41%) quand les 25–29 stagnent à 43%. Fait amusant, bien que non significatif à cause des marges d’erreur, à l’autre bout du spectre, Trump a perdu les retraités : c’est la première fois depuis plus de 20 ans que la classe d’âge des plus de 65 ans vote pour les démocrates, selon les chiffres de CNN.
Si l’on divise la classe 18–29 en deux, on remarque que ce sont les plus jeunes qui font progresser Trump. En effet, les 18–24 bondissent de dix points entre 2020 et 2024 (31 à 41%) quand les 25–29 stagnent à 43%. Fait amusant, bien que non significatif à cause des marges d’erreur, à l’autre bout du spectre, Trump a perdu les retraités : c’est la première fois depuis plus de 20 ans que la classe d’âge des plus de 65 ans vote pour les démocrates, selon les chiffres de CNN.
Les ménages modestes changent de camp
Sur le plan des revenus financiers des électeurs, le constat est sans appel : Trump a gagné le cœur des personnes modestes, tandis que Harris a conquis les très-riches.
Depuis 2000 au moins, les démocrates gagnent de façon systématique le vote des électeurs disposant d’un revenu annuel inférieur à 50k USD. En 2024, retournement, Trump est devant sur cette catégorie, avec 49% contre 48%. Bien que ce chiffre soit aussi dans la marge d’erreur, la dynamique est difficilement contestable. En 2020, sur la même population, l’écart entre Biden et Trump était de 55% contre 44%.
Depuis 2000 au moins, les démocrates gagnent de façon systématique le vote des électeurs disposant d’un revenu annuel inférieur à 50k USD. En 2024, retournement, Trump est devant sur cette catégorie, avec 49% contre 48%. Bien que ce chiffre soit aussi dans la marge d’erreur, la dynamique est difficilement contestable. En 2020, sur la même population, l’écart entre Biden et Trump était de 55% contre 44%.
A l’inverse, la candidate démocrate s’est arrogé le soutien des riches. Les catégories de revenus au-delà de 100k USD, et, surtout, de 200k USD, votent clairement en faveur de Harris. L’écart est impressionnant. Sur les plus de 100k USD de revenus, Trump écrasait Biden avec 54% contre 42% en 2020. 4 ans plus tard, c’est Harris qui écrase Trump avec 53% contre 45%. Même dynamique sur les plus de 200k USD où Harris est à améliore le score de Biden de 44% à 52% quand son rival stagne à 44%.
Harris performe chez les blancs, Trump chez les minorités
Enfin les minorités ethniques ont aussi eu un comportement inhabituel. Les afro-américains sont le seul bastion démocrate ayant résisté, ayant voté à 86% pour Harris après un 87% pour Biden. Les autres catégories se sont littéralement effondrées, et en particulier les latinos : le vote pour Trump dans cet électorat explose et atteint 45%. Je suis remonté jusqu’en 1970 et je n’ai pas trouvé trace d’une meilleure performance dans cet électorat pour un candidat républicain. Sur les « voters of colour » en général, Trump s’améliore constamment, passant de 21% en 2016 à 26% en 2020 et enfin 32% en 2024. Les « blancs », eux, sont légèrement partis, passant de 58% en 2020 contre 55% en 2024.
Bitcoin a-t-il fait gagner Trump ?
De façon plus marginale, il est cependant intéressant de noter que Trump n’agit plus comme un repoussoir pour l’électorat féminin. Alors que les scores des Républicains chez les femmes oscillaient entre 44% et 48% au XXIè siècle, l’arrivée de Trump fit chuter ce chiffre à 41% en 2016, et 42% en 2020. En 2024, retour à la normale avec 44% des électrices ayant choisi le bulletin Trump.
On pourrait compléter le tableau avec deux autres variables qui traduisent un retournement complet dans l’électorat : la perception de la situation financière des familles des électeurs ainsi que de la situation économique des Etats-Unis. Si en 2020, les optimistes et privilégiés votaient Trump, aujourd’hui, le renversement est total et impressionnant. Les électeurs estimant que la situation financière de leur famille s’est améliorée sur les quatre années précédant le scrutin passent d’un plébiscite Trumpiste en 2020 (72%) à un raz-de-marée Harris en 2024 (83%). Même chose pour les électeurs estimant que la situation économique des Etats-Unis est “excellente”, passant de 84% votant pour Trump en 2020 à 89% pour Harris en 2024.
On pourrait compléter le tableau avec deux autres variables qui traduisent un retournement complet dans l’électorat : la perception de la situation financière des familles des électeurs ainsi que de la situation économique des Etats-Unis. Si en 2020, les optimistes et privilégiés votaient Trump, aujourd’hui, le renversement est total et impressionnant. Les électeurs estimant que la situation financière de leur famille s’est améliorée sur les quatre années précédant le scrutin passent d’un plébiscite Trumpiste en 2020 (72%) à un raz-de-marée Harris en 2024 (83%). Même chose pour les électeurs estimant que la situation économique des Etats-Unis est “excellente”, passant de 84% votant pour Trump en 2020 à 89% pour Harris en 2024.
Récapitulons donc : l’électorat sur lequel Trump a le plus sur-performé, ce sont les jeunes, les personnes à revenus modestes et les minorités ethniques.
Le hasard fait bien les choses : les catégories de population sur-représentées dans la détention de cryptos sont les jeunes, les personnes à revenus modestes, et les minorités ethniques.
Est-ce suffisant pour dire que Bitcoin a fait gagner Trump ? Probablement pas.
A l’heure actuelle, ces données seules ne sont pas suffisantes pour établir avec une assurance raisonnable une causalité. Elles devraient néanmoins l’être pour approfondir le sujet et commander des études sur le vote final de cet électorat et établir ou non cette causalité, car le faisceau d’indices devient impossible à ignorer. L’hypothèse d’un single-issue vote crypto ayant fait basculer un électorat historiquement démocrate vers Trump n’est pas farfelue.
Le hasard fait bien les choses : les catégories de population sur-représentées dans la détention de cryptos sont les jeunes, les personnes à revenus modestes, et les minorités ethniques.
Est-ce suffisant pour dire que Bitcoin a fait gagner Trump ? Probablement pas.
A l’heure actuelle, ces données seules ne sont pas suffisantes pour établir avec une assurance raisonnable une causalité. Elles devraient néanmoins l’être pour approfondir le sujet et commander des études sur le vote final de cet électorat et établir ou non cette causalité, car le faisceau d’indices devient impossible à ignorer. L’hypothèse d’un single-issue vote crypto ayant fait basculer un électorat historiquement démocrate vers Trump n’est pas farfelue.
Quels enseignements pour Bitcoin et l’Europe ?
Pour Bitcoin d’abord, c’est une bonne nouvelle, mais peut-être pas de façon aussi univoque que ce nombre de commentateurs laissent entendre.
Une bonne nouvelle en effet car, que ce soit de façon cynique ou non, Trump avait fait son « virage » crypto cet été. Entre l’annonce d’une réserve nationale stratégique de bitcoins, les éloges tressés à l’écosystème, jusqu’à l’absurde volonté de vouloir miner tous les bitcoins restants aux Etats-Unis, on peut dire qu’au moins l’ambiguïté avait été dissipée. Ainsi, l’élection d’un candidat ouvertement pro-crypto est-il une bonne nouvelle pour Bitcoin.
Mais ce n’est pas si simple que cela, car il y a la crypto… et il y a Bitcoin. Et si Trump a bien donné des gages aux bitcoiners, il n’a pas pour autant rassuré sur sa capacité à distinguer les deux sujets. Il s’est d’ailleurs embarqué dans une levée de fonds aux airs d’arnaques, profitant de l’engouement un peu hors-sol qui peut habiter une partie de la communauté crypto.
Trump a également promis de virer Gary Gensler, dans ce qui peut ressembler à un cadeau empoisonné. Plutôt qu’une bonne nouvelle pour Bitcoin, c’est surtout une bonne nouvelle pour les deux principaux financeurs du PAC Fairshake, Coinbase et Ripple, en procès avec la SEC actuellement, et qui souhaitent se sortir de cette situation qui les menace financièrement et pénalement. Le positionnement de Trump, plutôt que de clarifier l’enjeu stratégique autour de Bitcoin, pourrait contribuer à faire durer plus longtemps que nécessaire la confusion entre Bitcoin et les cryptos, dont une grande majorité sont effectivement comparables à des titres financiers déguisés.
Et puis, Trump c’est aussi une image, qui par effet de halo, viendra polluer Bitcoin.
Avant même d’être élu, le soutien de Trump au monde des cryptos était venu valider le biais de confirmation de beaucoup de commentateurs européens : Bitcoin serait donc bien climaticide, fasciste, colonialiste, d’extrême-droite, et blablabla. Insérez votre anathème préféré, et cela fonctionnera. Verra-t-on une remise en question de ces poncifs ?
En Juillet, alors que Trump venait de faire ses annonces sur Bitcoin, j’écrivais « Nous n’aurons probablement pas droit à un remake du « Le Salvador, soyons-sérieux » version Etats-Unis, car ça deviendrait ridicule. Mais un petit « Trump, soyons sérieux » suffira à s’acheter une vertu, tout en conservant de confortables œillères. Comme en 2016, où j’avais naïvement espéré que l’Europe se réveille à la suite de l’élection de Trump, et que j’avais fini par constater que la classe politique européenne avait préféré se dire « on serre les dents quatre ans en espérant qu’un démocrate reviendra au pouvoir pour pouvoir poursuivre notre si belle servitude transatlantique volontaire ».
On ne se refait pas en France et en Europe, et, à nouveau j’espère ici me tromper. Mais je maintiens le pronostic que j’avais fait à l’époque : nous aurons « droit à une arrogance mal placée trahissant un sentiment de supériorité morale. ».
Trump viendra solder les contentieux réglementaires des entreprises américaines du monde de la crypto, Coinbase au premier rang, leur permettant de reprendre sur des bases saines, mais avec un avantage commercial extraordinaire. L’Europe, qui s’était auto-illusionnée de son « avance » et de son « innovation » réglementaire va, encore (sic), tomber de haut.
Avec le retour probable d’une politique plus isolationniste, c’est l’opportunité pour la France et l’Europe de se ressaisir. Le message que devraient recevoir les femmes et les hommes politiques du Vieux Continent est qu’il y a un chemin et un marché électoral à s’intéresser à Bitcoin. Et pour détourner un proverbe de la langue de Shakespeare, now that there’s a way, we need a will…
Trente ans après la chute de l’URSS, alors que la mondialisation se régionalise, que les alliances se remodèlent, et les empires renouent avec leurs velléités belliqueuses, actons enfin la fin de la fin de l’Histoire. Les enjeux de souveraineté, de résilience, et d’indépendance doivent revenir au cœur des décisions des acteurs publiques comme privés, et la monnaie est évidemment un sujet clé.
Une bonne nouvelle en effet car, que ce soit de façon cynique ou non, Trump avait fait son « virage » crypto cet été. Entre l’annonce d’une réserve nationale stratégique de bitcoins, les éloges tressés à l’écosystème, jusqu’à l’absurde volonté de vouloir miner tous les bitcoins restants aux Etats-Unis, on peut dire qu’au moins l’ambiguïté avait été dissipée. Ainsi, l’élection d’un candidat ouvertement pro-crypto est-il une bonne nouvelle pour Bitcoin.
Mais ce n’est pas si simple que cela, car il y a la crypto… et il y a Bitcoin. Et si Trump a bien donné des gages aux bitcoiners, il n’a pas pour autant rassuré sur sa capacité à distinguer les deux sujets. Il s’est d’ailleurs embarqué dans une levée de fonds aux airs d’arnaques, profitant de l’engouement un peu hors-sol qui peut habiter une partie de la communauté crypto.
Trump a également promis de virer Gary Gensler, dans ce qui peut ressembler à un cadeau empoisonné. Plutôt qu’une bonne nouvelle pour Bitcoin, c’est surtout une bonne nouvelle pour les deux principaux financeurs du PAC Fairshake, Coinbase et Ripple, en procès avec la SEC actuellement, et qui souhaitent se sortir de cette situation qui les menace financièrement et pénalement. Le positionnement de Trump, plutôt que de clarifier l’enjeu stratégique autour de Bitcoin, pourrait contribuer à faire durer plus longtemps que nécessaire la confusion entre Bitcoin et les cryptos, dont une grande majorité sont effectivement comparables à des titres financiers déguisés.
Et puis, Trump c’est aussi une image, qui par effet de halo, viendra polluer Bitcoin.
Avant même d’être élu, le soutien de Trump au monde des cryptos était venu valider le biais de confirmation de beaucoup de commentateurs européens : Bitcoin serait donc bien climaticide, fasciste, colonialiste, d’extrême-droite, et blablabla. Insérez votre anathème préféré, et cela fonctionnera. Verra-t-on une remise en question de ces poncifs ?
En Juillet, alors que Trump venait de faire ses annonces sur Bitcoin, j’écrivais « Nous n’aurons probablement pas droit à un remake du « Le Salvador, soyons-sérieux » version Etats-Unis, car ça deviendrait ridicule. Mais un petit « Trump, soyons sérieux » suffira à s’acheter une vertu, tout en conservant de confortables œillères. Comme en 2016, où j’avais naïvement espéré que l’Europe se réveille à la suite de l’élection de Trump, et que j’avais fini par constater que la classe politique européenne avait préféré se dire « on serre les dents quatre ans en espérant qu’un démocrate reviendra au pouvoir pour pouvoir poursuivre notre si belle servitude transatlantique volontaire ».
On ne se refait pas en France et en Europe, et, à nouveau j’espère ici me tromper. Mais je maintiens le pronostic que j’avais fait à l’époque : nous aurons « droit à une arrogance mal placée trahissant un sentiment de supériorité morale. ».
Trump viendra solder les contentieux réglementaires des entreprises américaines du monde de la crypto, Coinbase au premier rang, leur permettant de reprendre sur des bases saines, mais avec un avantage commercial extraordinaire. L’Europe, qui s’était auto-illusionnée de son « avance » et de son « innovation » réglementaire va, encore (sic), tomber de haut.
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Paymium guide les investisseurs particuliers, débutants et confirmés grâce à des services adaptés tels que le plan d’achat récurrent pour épargner et conserver dans la durée pour les uns, et une interface de trading avancée pour les plus aguerris. Par ailleurs, Paymium assiste les gestionnaires d’actifs et les family offices dans l'introduction du Bitcoin dans leur portefeuille, les directions financières cherchant à diversifier leur trésorerie, et les professionnels de la finance, tels que les banques et les Fintechs, qui souhaitent offrir des services d’achat, vente et de conservation de cryptomonnaies à leurs propres clients. Paymium est enregistrée en tant que PSAN (Prestataire de Services en Actifs Numériques) auprès de l’Autorité des Marchés Financiers (AMF) depuis 2021, sous le numéro E2021-011.
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