Porté par l’adoption de ce marquage associé à un certificat numérique de propriété, le chiffre d’affaires de l’entreprise a augmenté de 107% au cours de la même période.
Gravé sur les objets physiques, chaque code est ensuite émis sous forme de NFT et enregistré sur une blockchain privée, à la particularité d’être non énergivore et non spéculative. Une application permet d’identifier l’objet, son propriétaire, et d’accéder à son historique, contribuant ainsi à valoriser son bien en cas de revente, lutter contre le recel de biens sur les marchés de seconde main, ou encore à permettre à un objet de retrouver son propriétaire en cas de perte, d’oubli ou de vol.
5 millions de vélos déjà identifiés en Europe grâce à la technologie Ocode
Il se vend chaque année en France entre 2,5 et 3 millions de bicyclettes (source : “Union Sport et Cycle”). Près de 400 000 sont déclarés volés au cours d’une année, 100 000 sont retrouvés, mais seuls 8 000 d’entre eux sont restitués à leurs propriétaires faute d’informations.
Depuis le 1er janvier 2021, le marquage des vélos est obligatoire dans l’Hexagone. IN Groupe (anciennement “Imprimerie Nationale”), s’est vue confier par l’APIC (Association de Promotion et d’Identification des Cycles) la gestion des identifiants obligatoires des vélos en France.
Cette identification des cycles s’appuie sur la technologie de Ocode qui, pour chaque vélo, génère un code unique et infalsifiable sous forme de NFT (Non Fungible Token) rattaché à une blockchain privée.
Ce jeton digital représente un objet physique ou numérique auquel est liée une identité. Sécurisé et non reproductible, le code généré par Ocode est ensuite apposé sur chaque cycle par les professionnels du secteur (opérateurs, fabricants, distributeurs, détaillants, etc.).
Une ambition : doubler à nouveau son chiffre d’affaires en 2022
Après avoir réalisé un chiffre d’affaires de 3,1 M d’euros en 2021 (contre 1,3 M d'€ en 2020), Ocode prévoit de dépasser les 6 millions dès 2022. La startup ambitionne de conquérir de nouveaux marchés ayant besoin de traçabilité et de sécurisation comme par exemple les secteurs de la mobilité, du matériel informatique, de l’outillage, équipement de sport ou encore de la bagagerie. En effet, chaque année plusieurs millions d’objets sont perdus, volés ou contrefaits, avec pour conséquences une perte de temps et d’argent majeure et un gâchis considérable.
Avec pour mission de protéger et valoriser les biens tout au long de leur vie, la technologie Ocode permet d’avoir accès à l’historique d’un objet, son identité, sa valeur, tout en maintenant l’anonymat de son propriétaire. Le code de troisième génération facilite la communication entre le propriétaire de l’objet et celui qui le scanne, sans divulguer leurs informations personnelles. Ainsi, grâce à l’application gratuite d’Ocode, les objets peuvent être vérifiés ou restitués et les données des utilisateurs ne sont pas exploitées.
Des entreprises comme la SNCF, Decathlon, le Crédit Agricole ou encore le groupe Dubreuil ont déjà testé et approuvé la solution d’Ocode.
Connecter les NFT et la blockchain au monde réel
Avec 12 millions de NFT distribués en 2021, Ocode a pour ambition de devenir le référent mondial d’attribution de jetons non fongibles appliqués aux biens du monde réel. L’identité de chaque objet est dématérialisée par le token puis stockée et authentifiée grâce à une blockchain privée non énergivore, non spéculative et éthique. Celle-ci permet de transmettre des données sous forme de blocs liés les uns aux autres et protégés contre toute modification ou piratage.
La technologie Ocode lie le marquage physique et indélébile du bien au NFT et en garantit l’authenticité. Elle connecte le monde physique au monde numérique avec ce que l’entreprise appelle le “NFT physique de l’objet”. Aujourd’hui utilisée pour marquer des biens tels que des vélos, des voitures ou des appareils électroniques, cette technologie s’applique à d’autres objets (matériels informatiques, bagages, solutions de mobilité, outillages, objets de valeur, etc.).
Grâce à ce gage d’authenticité lié au NFT, les biens marqués gagneront également en liquidité : dotés de ce certificat digital et infalsifiable, il sera plus facile de les revendre via des outils numériques.
A propos d’Ocode
La société a été créée en 2016 par 4 entrepreneurs chevronnés : Dominique Chabot, Jean-Baptiste Pondevy, Alice Calvez et Vincent Roux. Ce sont près de 4 millions d’euros qui ont été investis en fonds propres à ce jour et 3 ans de R&D, avec le soutien de la BPI et des banques CIC et Crédit Agricole. L’entreprise emploie 34 collaborateurs et prévoit d’ouvrir 26 postes supplémentaires en 2022, à Nantes ou à La-Roche-sur-Yon (85).
www.o-code.co
Gravé sur les objets physiques, chaque code est ensuite émis sous forme de NFT et enregistré sur une blockchain privée, à la particularité d’être non énergivore et non spéculative. Une application permet d’identifier l’objet, son propriétaire, et d’accéder à son historique, contribuant ainsi à valoriser son bien en cas de revente, lutter contre le recel de biens sur les marchés de seconde main, ou encore à permettre à un objet de retrouver son propriétaire en cas de perte, d’oubli ou de vol.
5 millions de vélos déjà identifiés en Europe grâce à la technologie Ocode
Il se vend chaque année en France entre 2,5 et 3 millions de bicyclettes (source : “Union Sport et Cycle”). Près de 400 000 sont déclarés volés au cours d’une année, 100 000 sont retrouvés, mais seuls 8 000 d’entre eux sont restitués à leurs propriétaires faute d’informations.
Depuis le 1er janvier 2021, le marquage des vélos est obligatoire dans l’Hexagone. IN Groupe (anciennement “Imprimerie Nationale”), s’est vue confier par l’APIC (Association de Promotion et d’Identification des Cycles) la gestion des identifiants obligatoires des vélos en France.
Cette identification des cycles s’appuie sur la technologie de Ocode qui, pour chaque vélo, génère un code unique et infalsifiable sous forme de NFT (Non Fungible Token) rattaché à une blockchain privée.
Ce jeton digital représente un objet physique ou numérique auquel est liée une identité. Sécurisé et non reproductible, le code généré par Ocode est ensuite apposé sur chaque cycle par les professionnels du secteur (opérateurs, fabricants, distributeurs, détaillants, etc.).
Une ambition : doubler à nouveau son chiffre d’affaires en 2022
Après avoir réalisé un chiffre d’affaires de 3,1 M d’euros en 2021 (contre 1,3 M d'€ en 2020), Ocode prévoit de dépasser les 6 millions dès 2022. La startup ambitionne de conquérir de nouveaux marchés ayant besoin de traçabilité et de sécurisation comme par exemple les secteurs de la mobilité, du matériel informatique, de l’outillage, équipement de sport ou encore de la bagagerie. En effet, chaque année plusieurs millions d’objets sont perdus, volés ou contrefaits, avec pour conséquences une perte de temps et d’argent majeure et un gâchis considérable.
Avec pour mission de protéger et valoriser les biens tout au long de leur vie, la technologie Ocode permet d’avoir accès à l’historique d’un objet, son identité, sa valeur, tout en maintenant l’anonymat de son propriétaire. Le code de troisième génération facilite la communication entre le propriétaire de l’objet et celui qui le scanne, sans divulguer leurs informations personnelles. Ainsi, grâce à l’application gratuite d’Ocode, les objets peuvent être vérifiés ou restitués et les données des utilisateurs ne sont pas exploitées.
Des entreprises comme la SNCF, Decathlon, le Crédit Agricole ou encore le groupe Dubreuil ont déjà testé et approuvé la solution d’Ocode.
Connecter les NFT et la blockchain au monde réel
Avec 12 millions de NFT distribués en 2021, Ocode a pour ambition de devenir le référent mondial d’attribution de jetons non fongibles appliqués aux biens du monde réel. L’identité de chaque objet est dématérialisée par le token puis stockée et authentifiée grâce à une blockchain privée non énergivore, non spéculative et éthique. Celle-ci permet de transmettre des données sous forme de blocs liés les uns aux autres et protégés contre toute modification ou piratage.
La technologie Ocode lie le marquage physique et indélébile du bien au NFT et en garantit l’authenticité. Elle connecte le monde physique au monde numérique avec ce que l’entreprise appelle le “NFT physique de l’objet”. Aujourd’hui utilisée pour marquer des biens tels que des vélos, des voitures ou des appareils électroniques, cette technologie s’applique à d’autres objets (matériels informatiques, bagages, solutions de mobilité, outillages, objets de valeur, etc.).
Grâce à ce gage d’authenticité lié au NFT, les biens marqués gagneront également en liquidité : dotés de ce certificat digital et infalsifiable, il sera plus facile de les revendre via des outils numériques.
A propos d’Ocode
La société a été créée en 2016 par 4 entrepreneurs chevronnés : Dominique Chabot, Jean-Baptiste Pondevy, Alice Calvez et Vincent Roux. Ce sont près de 4 millions d’euros qui ont été investis en fonds propres à ce jour et 3 ans de R&D, avec le soutien de la BPI et des banques CIC et Crédit Agricole. L’entreprise emploie 34 collaborateurs et prévoit d’ouvrir 26 postes supplémentaires en 2022, à Nantes ou à La-Roche-sur-Yon (85).
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Disclaimer: The text above is a press release that was not written by Finyear.com.
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Avertissement : Le texte ci-dessus est un communiqué de presse qui n'a pas été rédigé par Finyear.com.
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