• Une PME sur deux n’a pas mis en place la facturation électronique ;
• Les bénéfices de la facturation électronique les plus importants sont la traçabilité (54%) et le gain de productivité (47%) ;
• Une PME sur deux considère que l'obligation de transmettre leurs factures de façon dématérialisée sera difficile à mettre en œuvre ;
• Seulement 33% des entreprises estiment disposer des ressources internes nécessaires pour engager cette transformation digitale.
La loi prévoit l’obligation de la facturation électronique entre entreprises (B2B) au plus tôt le 1er juillet 2024. Cette mesure vise principalement à lutter contre la fraude fiscale et à réduire les délais de paiement.
Dans ce contexte, Quadient a confié à l’IFOP la réalisation d’une enquête auprès de cadres et dirigeants d’entreprises françaises, pour comprendre leur perception de cette échéance et les enjeux d’organisation qui lui sont liés (équipement, processus, lien avec l’administration fiscale, etc.) ainsi que leur maturité dans l’intégration de solutions de facturation électronique.
« Cette étude retranscrit fidèlement les étapes franchies par les entreprises dans leur intégration de la facturation électronique du fait de l’obligation imposée par la loi de finance 2020 », explique Benoît Berson, Président Directeur Général de Quadient France. « Une grande partie des entreprises françaises sont désormais en ordre de marche et voient clairement les bénéfices opérationnels et économiques liés à cette transformation digitale. Une grande partie des PME n’ont pas encore franchi le cap de la facturation électronique. Non pas qu’elles ne perçoivent pas de bénéfices dans cette transition mais bien plutôt qu’elles ne disposent pas nécessairement des ressources techniques nécessaires pour engager cette transition. Le clivage entre grandes entreprises et PME est réel ».
La facturation électronique n’a pas été mise en place par près de 5 PME sur 10
Avec plus de 50 millions de factures échangées sur Chorus Pro en 2020, la facture électronique devient la norme entre les entreprises et le secteur public[2]. Un chiffre à mettre en perspective avec le nombre de factures produites chaque année par les entreprises qui avoisineraient 2,5 milliards.
L’étude IFOP Quadient révèle que 75% des entreprises de 500 salariés et plus ont mis en place une solution de facturation électronique. Dans le même temps 45% des entreprises interrogées employant entre 250 et 499 collaborateurs n’ont pas encore de solution ad hoc.
Le différentiel entre grandes entreprises et PME est très net avec un écart de près de 30% dans l’adoption de solutions de facturation électronique. Le bénéfice perçu par les entreprises reste cependant globalement uniforme. 54% des entreprises tout segments confondus y voient une meilleure traçabilité des factures. Pour 47% d’entre elles, la facturation électronique est synonyme de gain de productivité pour les équipes en charge de la facturation.
53% des PME estiment que la mise en place de la facturation électronique sera facile à mettre en œuvre
Le déploiement de solutions dédiées à la facturation électronique est un véritable sujet pour les entreprises. Cette étape suppose en effet une coordination entre différents services (informatique, comptabilité, gestion, service achats) et une planification en amont afin d’opérer une transition coordonnée du format papier au format digital.
À nouveau, PME et grands comptes ne sont pas alignés face à la facturation électronique. Alors que 71% des grandes entreprises considèrent que l'obligation de transmettre leurs factures de façon dématérialisée sera facile à mettre en œuvre, seulement 53% des PME l’envisagent de la même manière. Les raisons de cet écart sont multiples et renvoient à la maturité digitale des entreprises mais également à l’organisation et aux ressources internes de ces entreprises. En effet, toutes ne disposent pas nécessairement de l’expertise pour mener à bien cette transition digitale.
Seulement 33% des entreprises estiment disposer des ressources internes nécessaires pour engager cette transformation digitale
Tous segments confondus, les entreprises estiment que les acteurs les plus à même de les accompagner dans la mise en œuvre de la facturation électronique sont des prestataires spécialistes des solutions de dématérialisation (41%), des ressources en interne (33%) et les experts-comptables (32%) pour les plus petites structures. Seulement 1 entreprise sur 5 estime que les organismes d’État sont à même de les accompagner dans cette transition technologique.
« L’obligation de facturation électronique est perçue de manière très positive par les entreprises. En effet, cette étude nous indique que 84% des entreprises françaises la perçoivent comme une opportunité. Les bénéfices de cette technologie sont nombreux, amélioration de la trésorerie, augmentation de la satisfaction clients… les exemples ne manquent pas » ajoute Benoît Berson. « Il convient désormais d’accompagner les PME et de concentrer nos efforts autour de ce segment d’entreprises qui rencontre encore des difficultés dans l’adoption de ces technologies. Passé ce cap, nous aurons franchi un grand pas et bénéficierons clairement des avantages compétitifs qu’offre le digital ».
À propos de Quadient®
Quadient, anciennement Neopost, est à l’origine des expériences client les plus significatives. En se concentrant sur quatre grands domaines d’activité, la Gestion de l'Expérience client, l'Automatisation des Processus métier, les Solutions liées au Courrier et les Consignes Colis automatiques, Quadient aide quotidiennement des centaines de milliers d’entreprises à construire des liens durables avec leurs clients et à leur offrir une expérience client d’exception, dans un monde où les interactions se doivent d'être toujours plus connectées, personnelles et mobiles. Quadient est cotée dans le compartiment B d’Euronext Paris (QDT) et fait partie de l’indice SBF 120.
Pour plus d’informations sur Quadient, rendez-vous sur quadient.com.
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[1] L’enquête a été menée auprès d’un échantillon de 502 personnes, représentatif des dirigeants et cadres dirigeants d’entreprises situées en France. Les interviews ont été réalisées par questionnaire auto-administré en ligne du 25 août au 8 septembre 2021.
[2] Source https://communaute.chorus-pro.gouv.fr/bilan-2020-de-lactivite-sur-chorus-pro/
• Les bénéfices de la facturation électronique les plus importants sont la traçabilité (54%) et le gain de productivité (47%) ;
• Une PME sur deux considère que l'obligation de transmettre leurs factures de façon dématérialisée sera difficile à mettre en œuvre ;
• Seulement 33% des entreprises estiment disposer des ressources internes nécessaires pour engager cette transformation digitale.
La loi prévoit l’obligation de la facturation électronique entre entreprises (B2B) au plus tôt le 1er juillet 2024. Cette mesure vise principalement à lutter contre la fraude fiscale et à réduire les délais de paiement.
Dans ce contexte, Quadient a confié à l’IFOP la réalisation d’une enquête auprès de cadres et dirigeants d’entreprises françaises, pour comprendre leur perception de cette échéance et les enjeux d’organisation qui lui sont liés (équipement, processus, lien avec l’administration fiscale, etc.) ainsi que leur maturité dans l’intégration de solutions de facturation électronique.
« Cette étude retranscrit fidèlement les étapes franchies par les entreprises dans leur intégration de la facturation électronique du fait de l’obligation imposée par la loi de finance 2020 », explique Benoît Berson, Président Directeur Général de Quadient France. « Une grande partie des entreprises françaises sont désormais en ordre de marche et voient clairement les bénéfices opérationnels et économiques liés à cette transformation digitale. Une grande partie des PME n’ont pas encore franchi le cap de la facturation électronique. Non pas qu’elles ne perçoivent pas de bénéfices dans cette transition mais bien plutôt qu’elles ne disposent pas nécessairement des ressources techniques nécessaires pour engager cette transition. Le clivage entre grandes entreprises et PME est réel ».
La facturation électronique n’a pas été mise en place par près de 5 PME sur 10
Avec plus de 50 millions de factures échangées sur Chorus Pro en 2020, la facture électronique devient la norme entre les entreprises et le secteur public[2]. Un chiffre à mettre en perspective avec le nombre de factures produites chaque année par les entreprises qui avoisineraient 2,5 milliards.
L’étude IFOP Quadient révèle que 75% des entreprises de 500 salariés et plus ont mis en place une solution de facturation électronique. Dans le même temps 45% des entreprises interrogées employant entre 250 et 499 collaborateurs n’ont pas encore de solution ad hoc.
Le différentiel entre grandes entreprises et PME est très net avec un écart de près de 30% dans l’adoption de solutions de facturation électronique. Le bénéfice perçu par les entreprises reste cependant globalement uniforme. 54% des entreprises tout segments confondus y voient une meilleure traçabilité des factures. Pour 47% d’entre elles, la facturation électronique est synonyme de gain de productivité pour les équipes en charge de la facturation.
53% des PME estiment que la mise en place de la facturation électronique sera facile à mettre en œuvre
Le déploiement de solutions dédiées à la facturation électronique est un véritable sujet pour les entreprises. Cette étape suppose en effet une coordination entre différents services (informatique, comptabilité, gestion, service achats) et une planification en amont afin d’opérer une transition coordonnée du format papier au format digital.
À nouveau, PME et grands comptes ne sont pas alignés face à la facturation électronique. Alors que 71% des grandes entreprises considèrent que l'obligation de transmettre leurs factures de façon dématérialisée sera facile à mettre en œuvre, seulement 53% des PME l’envisagent de la même manière. Les raisons de cet écart sont multiples et renvoient à la maturité digitale des entreprises mais également à l’organisation et aux ressources internes de ces entreprises. En effet, toutes ne disposent pas nécessairement de l’expertise pour mener à bien cette transition digitale.
Seulement 33% des entreprises estiment disposer des ressources internes nécessaires pour engager cette transformation digitale
Tous segments confondus, les entreprises estiment que les acteurs les plus à même de les accompagner dans la mise en œuvre de la facturation électronique sont des prestataires spécialistes des solutions de dématérialisation (41%), des ressources en interne (33%) et les experts-comptables (32%) pour les plus petites structures. Seulement 1 entreprise sur 5 estime que les organismes d’État sont à même de les accompagner dans cette transition technologique.
« L’obligation de facturation électronique est perçue de manière très positive par les entreprises. En effet, cette étude nous indique que 84% des entreprises françaises la perçoivent comme une opportunité. Les bénéfices de cette technologie sont nombreux, amélioration de la trésorerie, augmentation de la satisfaction clients… les exemples ne manquent pas » ajoute Benoît Berson. « Il convient désormais d’accompagner les PME et de concentrer nos efforts autour de ce segment d’entreprises qui rencontre encore des difficultés dans l’adoption de ces technologies. Passé ce cap, nous aurons franchi un grand pas et bénéficierons clairement des avantages compétitifs qu’offre le digital ».
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[1] L’enquête a été menée auprès d’un échantillon de 502 personnes, représentatif des dirigeants et cadres dirigeants d’entreprises situées en France. Les interviews ont été réalisées par questionnaire auto-administré en ligne du 25 août au 8 septembre 2021.
[2] Source https://communaute.chorus-pro.gouv.fr/bilan-2020-de-lactivite-sur-chorus-pro/
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Disclaimer: The text above is a press release that was not written by Finyear.com.
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Avertissement : Le texte ci-dessus est un communiqué de presse qui n'a pas été rédigé par Finyear.com.
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