Sébastien Bik et Michel Ivanovsky
La Fintech Mipise, fondée il y a 10 ans officialise sa quatrième levée de fonds. Une levée de 6M€, fruit d'un échange de titres à hauteur de 3,4 millions de la société White'In et d'une augmentation de capital auprès des investisseurs historiques et de son actionnariat salarial (société White'In compris).
C'est en 2013 que Michel Ivanovsky et Sébastien Bik, deux anciens dirigeants de banque et consultants financier, se lancent dans l'aventure Mipise. Leur idée : offrir une solution clef en main aux entreprises de crowdfunding incluant le site web, l'architecture du compte de paiement. Et, ce afin d'apporter une certaine "sécurité " à leurs clients.
Parmi leurs clients (les premiers et toujours actuels) : Gwenneg ou CredoFounding.
En 2018, à l'occasion de la première levée de fonds d'1,3 million d'euros auprès, notamment, du family office, THEOS, Mipise ouvre sa plateforme au monde du Private Equity. Premier client : Rothschild, d'autres suivront assez rapidement.
Dans l'intervalle Sébastien Bik, toujours aux côtés de Michel Ivanovsky, crée une société de conseil spécialisée dans les domaines de la monétique et des moyens de paiement : White’In.
Et c'est donc cette entreprise qui est aujourd'hui absorbée par la nouvelle holding créée pour l'occasion. Michel Ivanovsky en a pris la présidence et Sébastien Bik, est devenu le CEO.
Quant aux salariés des deux entités désormais au nombre de 40 (30/10 - Mipise/White’In), ils ont tous emménagé sous le même toit rue de Paradis à Paris, et ont eu l'occasion de s'associer au capital de la nouvelle structure.
"Notre idée est d'avoir une réelle proposition de valeur dans le système des paiements" relate Michel Ivanovsky.
Dans la foulée de cette première opération de croissance pas si externe que cela finalement, Mipise devrait procéder au rachat de société Smart Float. Qui là non plus est loin d'être une inconnue puisque c'est elle qui déploie les back offices spécialisés.
"Nos projets ne s'arrêtent pas la ! Nous devrions prochainement vous annoncer le lancement d'un nouveau service, voire d'une nouvelle filiale. "
Pour 2023, l'entreprise revendique un chiffre d'affaires, cumulé, de 3,8 millions d'euros, qu'elle espère faire croître de 25 % dans les trois prochaines années.
Depuis sa création, Mipise estime avoir aidé ses clients à collecter 3 milliards d'euros, dont 1,5 milliard sur cette seule année 2023.
Bien que déployé plus tardivement, le private equity représente presque les 2/3 de son activité. Une performance qui devrait poursuivre sa croissance au rythme de l'éclosion actuelle des sociétés de gestion.
Anne-Laure Allain
C'est en 2013 que Michel Ivanovsky et Sébastien Bik, deux anciens dirigeants de banque et consultants financier, se lancent dans l'aventure Mipise. Leur idée : offrir une solution clef en main aux entreprises de crowdfunding incluant le site web, l'architecture du compte de paiement. Et, ce afin d'apporter une certaine "sécurité " à leurs clients.
Parmi leurs clients (les premiers et toujours actuels) : Gwenneg ou CredoFounding.
En 2018, à l'occasion de la première levée de fonds d'1,3 million d'euros auprès, notamment, du family office, THEOS, Mipise ouvre sa plateforme au monde du Private Equity. Premier client : Rothschild, d'autres suivront assez rapidement.
Dans l'intervalle Sébastien Bik, toujours aux côtés de Michel Ivanovsky, crée une société de conseil spécialisée dans les domaines de la monétique et des moyens de paiement : White’In.
Et c'est donc cette entreprise qui est aujourd'hui absorbée par la nouvelle holding créée pour l'occasion. Michel Ivanovsky en a pris la présidence et Sébastien Bik, est devenu le CEO.
Quant aux salariés des deux entités désormais au nombre de 40 (30/10 - Mipise/White’In), ils ont tous emménagé sous le même toit rue de Paradis à Paris, et ont eu l'occasion de s'associer au capital de la nouvelle structure.
"Notre idée est d'avoir une réelle proposition de valeur dans le système des paiements" relate Michel Ivanovsky.
Dans la foulée de cette première opération de croissance pas si externe que cela finalement, Mipise devrait procéder au rachat de société Smart Float. Qui là non plus est loin d'être une inconnue puisque c'est elle qui déploie les back offices spécialisés.
"Nos projets ne s'arrêtent pas la ! Nous devrions prochainement vous annoncer le lancement d'un nouveau service, voire d'une nouvelle filiale. "
Pour 2023, l'entreprise revendique un chiffre d'affaires, cumulé, de 3,8 millions d'euros, qu'elle espère faire croître de 25 % dans les trois prochaines années.
Depuis sa création, Mipise estime avoir aidé ses clients à collecter 3 milliards d'euros, dont 1,5 milliard sur cette seule année 2023.
Bien que déployé plus tardivement, le private equity représente presque les 2/3 de son activité. Une performance qui devrait poursuivre sa croissance au rythme de l'éclosion actuelle des sociétés de gestion.
Anne-Laure Allain