Les causes de cette perte de confiance sont bien identifiées : forte révision à la baisse de la croissance américaine par le BEA (Bureau of Economic Analysis) fin juillet, perte du AAA américain suite au relèvement laborieux du plafond de la dette souveraine, croissance en zone Euro bridée par des cures d’amaigrissement budgétaire à venir.
Qui dit marchés stressés dit opportunités d’achat sur des classes d’actifs injustement pénalisées. Reste la question du timing qui repose principalement sur 2 facteurs :
- l’adoption définitive du plan du 21 juillet pour la Grèce,
- l’orientation des prochains indicateurs de croissance.
Dans le cas où ces épées de Damoclès viendraient à disparaître, parmi les stratégies qui devraient bénéficier d’un rattrapage significatif, nous avons :
- le crédit corporate High Yield européen,
- les dettes subordonnées bancaires
par David MARTIN, Responsable Relations Banques, Entreprises et Régions chez UFG-LFP
- l’adoption définitive du plan du 21 juillet pour la Grèce,
- l’orientation des prochains indicateurs de croissance.
Dans le cas où ces épées de Damoclès viendraient à disparaître, parmi les stratégies qui devraient bénéficier d’un rattrapage significatif, nous avons :
- le crédit corporate High Yield européen,
- les dettes subordonnées bancaires
par David MARTIN, Responsable Relations Banques, Entreprises et Régions chez UFG-LFP