Le « Village », situé au cœur de Melbourne, est organisé et aménagé comme beaucoup de concepts similaires. Dans un environnement agréable et ouvert de 500 m2, les visiteurs – recrutés parmi la clientèle d'entreprises de l'établissement – disposent gratuitement de positions de travail individuelles, d'un accès à un réseau WiFi performant, de quelques salles de réunions à réserver (capables d'accueillir jusqu'à 20 personnes)… En parallèle de cette offre, le lieu a également une vocation pédagogique, à travers la tenue de conférences – à un rythme soutenu, presque quotidien – sur différents thèmes susceptibles d'intéresser directement les entrepreneurs.
Le dispositif mis en place par NAB comporte tout de même une petite originalité. En effet, le volet « physique » du Village s'accompagne d'une plate-forme d'échanges en ligne (hébergée sur la solution Yammer de Microsoft), sur laquelle les participants peuvent prolonger leur expérience. Ainsi, l'ensemble prend une dimension complémentaire de réseau social professionnel mixte – à la fois réel et virtuel – qui contribue à la mise en relation, l'entraide, le partage de connaissance… entre les clients de la banque et fait ainsi de celle-ci un catalyseur de leur développement.
Cet aspect est d'ailleurs particulièrement mis en valeur dans la communication de l'institution, à la fois par le succès qu'il rencontre auprès des 1 400 membres du Village (dont les bénéfices qu'ils retirent de leurs interactions seraient très visibles) et par la pertinence d'un modèle fondé sur les échanges en face à face dans un monde numérique. En forçant légèrement le trait, la vision proposée est que l'agence n'a plus de rôle à jouer dans la relation bancaire traditionnelle mais qu'elle peut désormais devenir un atout stratégique dans l'instauration de collaborations fructueuses entre clients.
La perspective qu'ouvre cette réflexion mérite de s'y attarder, puisqu'elle dessinerait un avenir dans lequel la banque serait un acteur majeur du dynamisme de l'économie, en permettant l'accélération du développement des entreprises, non seulement grâce à ses solutions de financements, comme aujourd'hui, mais aussi par la mise en œuvre d'approches radicalement nouvelles, éloignées de ses métiers historiques. Si sa connaissance intime de ses clients lui donne une certaine légitimité dans cette orientation, l'exécution est plus délicate… Il semble que NAB réussisse dans l'exercice : de quoi inspirer de futures déclinaisons ?
Le dispositif mis en place par NAB comporte tout de même une petite originalité. En effet, le volet « physique » du Village s'accompagne d'une plate-forme d'échanges en ligne (hébergée sur la solution Yammer de Microsoft), sur laquelle les participants peuvent prolonger leur expérience. Ainsi, l'ensemble prend une dimension complémentaire de réseau social professionnel mixte – à la fois réel et virtuel – qui contribue à la mise en relation, l'entraide, le partage de connaissance… entre les clients de la banque et fait ainsi de celle-ci un catalyseur de leur développement.
Cet aspect est d'ailleurs particulièrement mis en valeur dans la communication de l'institution, à la fois par le succès qu'il rencontre auprès des 1 400 membres du Village (dont les bénéfices qu'ils retirent de leurs interactions seraient très visibles) et par la pertinence d'un modèle fondé sur les échanges en face à face dans un monde numérique. En forçant légèrement le trait, la vision proposée est que l'agence n'a plus de rôle à jouer dans la relation bancaire traditionnelle mais qu'elle peut désormais devenir un atout stratégique dans l'instauration de collaborations fructueuses entre clients.
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