Constant Calvo
Cette diversité de la RSE conduit à la production de méthodologies, de définitions, ainsi que d’éléments de langage très différents.
Certains peuvent le regretter et penser que cette diversité des approches et cette profusion lexicale jettent le trouble et la confusion, voire sont préjudiciables à l’ancrage de la RSE dans les organisations, ainsi qu’à sa crédibilité et sa légitimité, peut-être plus encore à son universalité.
D’autres peuvent au contraire considérer que cette diversité est source de richesse, car elle tend à prouver que la RSE jouit d’une insolente santé, vitalité et créativité, et est douée d’une grande capacité à s’adapter à l’environnement humain, culturel, industriel et économique, quel qu’il soit, et à n’importe quelle organisation, partout dans le monde, comme en témoigne ce Benchmark International des plans et initiatives nationaux en matière de RSE.
La capacité d’adaptation de la RSE fait partie de son ADN. Tout comme dans le monde du vivant la diversité génétique désigne le degré de variétés des gènes au sein d’une même espèce, car la diversité au sein d’une espèce est nécessaire pour maintenir la diversité des espèces.
La RSE est, pour tout dire, changeante ; elle a plusieurs identités, elle est cosmopolite; elle est fertile, unique, et, pourtant, elle n’est jamais la même ; elle n’a de cesse de se ressourcer, de se réinventer, de se reproduire, de donner naissance à de nouvelles pousses, au grand dam de ses détracteurs et des sceptiques. Plus on annonce la fin ou la mort de la RSE, plus elle semble vouloir croître, se différencier et se multiplier.
L’un des derniers avatars de la RSE nous vient de l’OCDE (Organisation de Coopération et de Développement Économiques) dans le cadre des Principes Directeurs pour les Entreprises Multinationales, lesquels sont des «recommandations que les gouvernements adressent aux entreprises multinationales afin de favoriser une conduite raisonnable des entreprises dans les domaines des relations professionnelles, des droits de l’homme, de l’environnement, de la fiscalité, de la publication d’informations, de la lutte contre la corruption, des intérêts des consommateurs, de la science et de la technologie, et de la concurrence. »
Considérant que le terme de RSE (CSR en anglais) est galvaudé, qu’il a vécu parce qu’il ne rend pas compte des évolutions de l’économie mondialisée ni de la pratique des affaires, ni aussi et surtout de la nécessité d’intégrer ses principes, valeurs et objectifs à la stratégie des organisations, l’OCDE a décidé d’opérer une rupture et de le remplacer par Responsible Business Conduct (RBC) qu’on peut traduire par Comportement Responsable dans la Conduite des Affaires.
« CSR is dead. It’s over! » (La RSE est morte. C’est terminé !) a déclaré Peter Bakker le Président du World Business Council for Sustainable Development (WBCSD) – Conseil Mondial des Affaires pour le Développement Durable.
Rappelons que, basée à Genève, WBCSD est une coalition de 190 entreprises internationales unies par un engagement commun de développement durable à travers les trois piliers de la croissance économique, de l’«équilibre écologique » et du « progrès social ».
Nul doute, qu’on assistera dans les années ou les décennies à venir à de nouveaux épisodes de la croissance interne et externe de la RSE.
Certains peuvent le regretter et penser que cette diversité des approches et cette profusion lexicale jettent le trouble et la confusion, voire sont préjudiciables à l’ancrage de la RSE dans les organisations, ainsi qu’à sa crédibilité et sa légitimité, peut-être plus encore à son universalité.
D’autres peuvent au contraire considérer que cette diversité est source de richesse, car elle tend à prouver que la RSE jouit d’une insolente santé, vitalité et créativité, et est douée d’une grande capacité à s’adapter à l’environnement humain, culturel, industriel et économique, quel qu’il soit, et à n’importe quelle organisation, partout dans le monde, comme en témoigne ce Benchmark International des plans et initiatives nationaux en matière de RSE.
La capacité d’adaptation de la RSE fait partie de son ADN. Tout comme dans le monde du vivant la diversité génétique désigne le degré de variétés des gènes au sein d’une même espèce, car la diversité au sein d’une espèce est nécessaire pour maintenir la diversité des espèces.
La RSE est, pour tout dire, changeante ; elle a plusieurs identités, elle est cosmopolite; elle est fertile, unique, et, pourtant, elle n’est jamais la même ; elle n’a de cesse de se ressourcer, de se réinventer, de se reproduire, de donner naissance à de nouvelles pousses, au grand dam de ses détracteurs et des sceptiques. Plus on annonce la fin ou la mort de la RSE, plus elle semble vouloir croître, se différencier et se multiplier.
L’un des derniers avatars de la RSE nous vient de l’OCDE (Organisation de Coopération et de Développement Économiques) dans le cadre des Principes Directeurs pour les Entreprises Multinationales, lesquels sont des «recommandations que les gouvernements adressent aux entreprises multinationales afin de favoriser une conduite raisonnable des entreprises dans les domaines des relations professionnelles, des droits de l’homme, de l’environnement, de la fiscalité, de la publication d’informations, de la lutte contre la corruption, des intérêts des consommateurs, de la science et de la technologie, et de la concurrence. »
Considérant que le terme de RSE (CSR en anglais) est galvaudé, qu’il a vécu parce qu’il ne rend pas compte des évolutions de l’économie mondialisée ni de la pratique des affaires, ni aussi et surtout de la nécessité d’intégrer ses principes, valeurs et objectifs à la stratégie des organisations, l’OCDE a décidé d’opérer une rupture et de le remplacer par Responsible Business Conduct (RBC) qu’on peut traduire par Comportement Responsable dans la Conduite des Affaires.
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Nul doute, qu’on assistera dans les années ou les décennies à venir à de nouveaux épisodes de la croissance interne et externe de la RSE.
Constant Calvo, Directeur associé ADHERE RH
http://blog.adhere-rh.com
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