Le risque de ces actifs s'élève en valeur à 26.600 milliards de dollars et les pertes y sont de 1600 milliards de dollars (dixit Bridgewaters). «Nous nous trouvons face à une avalanche d'actifs douteux», peut-on lire dans l'étude. Les plus grandes pertes seraient localisées aux États-Unis. «Nous avons de grands doutes en ce qui concerne les institutions financières quant à leur capacité à trouver de nouveaux fonds propres pour couvrir les pertes», écrivent les auteurs.
En outre, les États-Unis sont dépendants de capitaux étrangers pour leur style de vie. «Les perspectives pour le dollar sont sombres. Très, très sombre », déclare un ancien banquier suisse.
Phase 1 : la crise des subprime a été marquée par l'effondrement du marché immobilier aux Etats-Unis et le crash Subprime sur le marché des hypothèques.
Phase 2 : une sorte de répit a commencé avec le secours de la banque d'affaires américaine Bear Stearns à la mi-mars. Cette action s'est achevée en juin acommpagnée d'un regain d'optimisme sur les marchés financiers.
Maintenant commence la phase 3...
«Bridgewater est pessimiste sur le papier, rien à dire», déclare George Magnus, Senior Economic Adviser de l'UBS à Londres, «mais Bridgewater a absolument raison».
Bridgewater Associates jouit dans les milieux financiers d'une réputation de premier ordre et en particulier Ray Dalio créateur du cabinet il y a plus de 30 ans. Plusieurs grandes banques comptent aussi parmi leurs clients.
Synthèse Laurent Leloup / CFO-news
En outre, les États-Unis sont dépendants de capitaux étrangers pour leur style de vie. «Les perspectives pour le dollar sont sombres. Très, très sombre », déclare un ancien banquier suisse.
Phase 1 : la crise des subprime a été marquée par l'effondrement du marché immobilier aux Etats-Unis et le crash Subprime sur le marché des hypothèques.
Phase 2 : une sorte de répit a commencé avec le secours de la banque d'affaires américaine Bear Stearns à la mi-mars. Cette action s'est achevée en juin acommpagnée d'un regain d'optimisme sur les marchés financiers.
Maintenant commence la phase 3...
«Bridgewater est pessimiste sur le papier, rien à dire», déclare George Magnus, Senior Economic Adviser de l'UBS à Londres, «mais Bridgewater a absolument raison».
Bridgewater Associates jouit dans les milieux financiers d'une réputation de premier ordre et en particulier Ray Dalio créateur du cabinet il y a plus de 30 ans. Plusieurs grandes banques comptent aussi parmi leurs clients.
Synthèse Laurent Leloup / CFO-news