Suite de l’étude après l’infographie ci-dessous
Les industriels ont conscience de l’importance de l’IoT
Le premier enseignement de notre analyse est que le niveau de maturité des industriels peut encore s’améliorer puisque seulement 35% d’entre eux ont déjà eu une réflexion sur le sujet de l’IoT !
Il s’avère que parmi ceux-ci, moins d’un sur trois déclare avoir mis en place une stratégie. Cela revient donc à dire qu’il y a environ 10% des industriels en France qui ont élaboré une stratégie IoT à fin 2015.
« Même si les entreprises industrielles ne sont pas à un niveau de maturité très élevé aujourd’hui, elles ont toutefois bien intégré l’importance du rôle que l’IoT pourrait jouer dans les années à venir pour leurs processus internes comme externes (services). », explique Franck Nassah, VP Research & Consulting chez PAC.
Les niveaux d’avancements sont différents selon les processus
Cette prise de conscience ne veut cependant pas dire que la majorité des industriels a d’ores et déjà réalisé des projets IoT. Ils ont commencé par adresser les processus qu’ils maîtrisent le mieux et / ou ceux sur lesquels ils sont confrontés à des obligations réglementaires ou contractuelles.
Ainsi, c’est au niveau des processus de traçabilité qu’ils sont les plus nombreux à avoir déjà réalisé des projets (27%), suivi par la gestion de la production (22%), puis l’amélioration de services existants (17%), le shop floor, la supply chain étendue (13%) et enfin le développement de nouveaux services, assez loin derrière, à 6%.
Selon Franck Nassah, « Que ce soit pour les processus internes ou pour les services, les principaux objectifs des industriels pour la mise en place de l’IoT sont majoritairement centrés sur l’interne et visent à l’amélioration de la compétitivité au sens large : améliorer la productivité, baisser les coûts, rester compétitif. »
Les objectifs plus « offensifs » et orientés clients arrivent bien plus loin : améliorer la satisfaction client ou augmenter la part des revenus récurrents (sous-entendu sous forme d’abonnement ou à l’utilisation) par exemple.
Le manque de maturité des industriels sur le sujet de l’IoT les amène à avoir des comportements contradictoires. Les questions « que faire des données collectées ?, comment les monétiser ? » sont dans le top 3 de leurs challenges face à un nouveau modèle économique plus orienté services. En revanche, la capacité à proposer des prestations autour de l’analyse des données collectées à travers le big data est le dernier critère de choix des fournisseurs / partenaires dans le cadre du développement de projets IoT. Et ce, aussi bien pour les processus internes (17%) que pour les services (14%).
« Aujourd’hui certains industriels exploitent le potentiel de l’internet des objets, d’autres les solutions de big data, et d’autres encore les outils de mobilité, mais peu combinent l’ensemble de ces technologies. Je suis convaincu que les entreprises du secteur industriel qui le feront parviendront à sortir du lot pour proposer des services innovants et concurrentiels, lesquels viendront soutenir les nouveaux business models » conclut Karim Benyoucef, Vice président en charge des activités Digital, Data & analytics pour le secteur industriel, CGI.
Enfin, il existe une vraie dynamique, très certainement liée à la réelle prise de conscience de l’importance de l’IoT, aussi bien au niveau de l’élaboration d’une stratégie que des réflexions/projets.
« L’étude réalisée par PAC dresse un bilan complet de l’état de l’Internet des Objets au sein du secteur industriel français. Désormais technologie clé de la transformation numérique et de l’industrie 4.0, l’IoT constitue un des principaux axes de développement sur lesquels nous travaillons avec nos clients. Cet état des lieux nous permet de mieux appréhender la maturité du secteur pour concevoir et piloter les projets de demain. » Karim Benyoucef, Vice-président en charge des activités Digital, Data et Analytics pour le secteur industriel, CGI
L’étude a été sponsorisée par le sponsor Premium : CGI et les sponsors Gold : ESI et Tech Mahindra.
À propos PAC
Fondé en 1976, Pierre Audoin Consultants (PAC) fait partie du CXP Group, le premier cabinet européen indépendant d’analyse et de conseil dans le domaine des logiciels, des services informatiques et de la transformation numérique.
Il offre à ses clients un service complet d’assistance pour l’évaluation, la sélection et l’optimisation de solutions logicielles, l’évaluation et la sélection des ESN et les accompagne dans l’optimisation de leur stratégie de sourcing et dans leurs projets d’investissements. Ainsi, le CXP Group accompagne DSI et directions fonctionnelles dans leur transformation numérique.
Enfin, le Groupe CXP aide les éditeurs et les ESN à optimiser leur stratégie et leur go-to-market à travers des analyses quantitatives et qualitatives ainsi que des prestations de conseil opérationnel et stratégique. Les organisations et les institutions publiques se réfèrent également à nos études pour développer leurs politiques informatiques.
Capitalisant sur 40 ans d’expérience, implanté dans 8 pays (et 17 bureaux dans le monde), fort de 140 collaborateurs, le CXP Group apporte chaque année son expertise à plus de 1 500 DSI et directions fonctionnelles de grands comptes et entreprises du mid-market et à ses fournisseurs. Le CXP Group est composé de 3 filiales : le CXP, BARC (Business Application Research Center) et Pierre Audoin Consultants (PAC).
www.pac-online.com
Le premier enseignement de notre analyse est que le niveau de maturité des industriels peut encore s’améliorer puisque seulement 35% d’entre eux ont déjà eu une réflexion sur le sujet de l’IoT !
Il s’avère que parmi ceux-ci, moins d’un sur trois déclare avoir mis en place une stratégie. Cela revient donc à dire qu’il y a environ 10% des industriels en France qui ont élaboré une stratégie IoT à fin 2015.
« Même si les entreprises industrielles ne sont pas à un niveau de maturité très élevé aujourd’hui, elles ont toutefois bien intégré l’importance du rôle que l’IoT pourrait jouer dans les années à venir pour leurs processus internes comme externes (services). », explique Franck Nassah, VP Research & Consulting chez PAC.
Les niveaux d’avancements sont différents selon les processus
Cette prise de conscience ne veut cependant pas dire que la majorité des industriels a d’ores et déjà réalisé des projets IoT. Ils ont commencé par adresser les processus qu’ils maîtrisent le mieux et / ou ceux sur lesquels ils sont confrontés à des obligations réglementaires ou contractuelles.
Ainsi, c’est au niveau des processus de traçabilité qu’ils sont les plus nombreux à avoir déjà réalisé des projets (27%), suivi par la gestion de la production (22%), puis l’amélioration de services existants (17%), le shop floor, la supply chain étendue (13%) et enfin le développement de nouveaux services, assez loin derrière, à 6%.
Selon Franck Nassah, « Que ce soit pour les processus internes ou pour les services, les principaux objectifs des industriels pour la mise en place de l’IoT sont majoritairement centrés sur l’interne et visent à l’amélioration de la compétitivité au sens large : améliorer la productivité, baisser les coûts, rester compétitif. »
Les objectifs plus « offensifs » et orientés clients arrivent bien plus loin : améliorer la satisfaction client ou augmenter la part des revenus récurrents (sous-entendu sous forme d’abonnement ou à l’utilisation) par exemple.
Le manque de maturité des industriels sur le sujet de l’IoT les amène à avoir des comportements contradictoires. Les questions « que faire des données collectées ?, comment les monétiser ? » sont dans le top 3 de leurs challenges face à un nouveau modèle économique plus orienté services. En revanche, la capacité à proposer des prestations autour de l’analyse des données collectées à travers le big data est le dernier critère de choix des fournisseurs / partenaires dans le cadre du développement de projets IoT. Et ce, aussi bien pour les processus internes (17%) que pour les services (14%).
« Aujourd’hui certains industriels exploitent le potentiel de l’internet des objets, d’autres les solutions de big data, et d’autres encore les outils de mobilité, mais peu combinent l’ensemble de ces technologies. Je suis convaincu que les entreprises du secteur industriel qui le feront parviendront à sortir du lot pour proposer des services innovants et concurrentiels, lesquels viendront soutenir les nouveaux business models » conclut Karim Benyoucef, Vice président en charge des activités Digital, Data & analytics pour le secteur industriel, CGI.
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« L’étude réalisée par PAC dresse un bilan complet de l’état de l’Internet des Objets au sein du secteur industriel français. Désormais technologie clé de la transformation numérique et de l’industrie 4.0, l’IoT constitue un des principaux axes de développement sur lesquels nous travaillons avec nos clients. Cet état des lieux nous permet de mieux appréhender la maturité du secteur pour concevoir et piloter les projets de demain. » Karim Benyoucef, Vice-président en charge des activités Digital, Data et Analytics pour le secteur industriel, CGI
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