Quelles sont d'après vous les priorités des responsables de la supply chain en 2022 ?
La crise sanitaire a mis la chaîne d’approvisionnement sur le devant de la scène. Entre pénuries, chaînes logistiques à l’arrêt, perturbation de la circulation des marchandises ou encore fermeture des frontières, la supply chain était au cœur des préoccupations en entreprise l’année dernière, et le sera encore dans les années à venir.
Il est clair que les priorités des services supply chain ont fortement évolué en deux ans. Du jour au lendemain, les organisations ont dû ajuster leurs modes de fonctionnement pour répondre à l’évolution de la demande de leurs clients et des fluctuations du côté des offres de leurs fournisseurs. Dans des environnements dynamiques et complexes, je dirais que la réactivité et l’agilité sont les mots-clés de la fonction cette année. Sans perdre de vue les objectifs business ! C’est pourquoi les responsables supply ont tout intérêt à travailler main dans la main avec les DAF pour mieux anticiper les risques liés à la gestion des stocks en temps de crise.
Les crises que nous traversons peuvent d’ailleurs être l’occasion d’engager des projets de digitalisation afin de faire face à ces nouveaux défis. La numérisation de cette fonction est donc l’un des chantiers les plus importants, à mon sens, en 2022.
Comment la technologie peut-elle aider les responsables supply chain et les DAF à mieux anticiper les risques liés à la gestion des stocks en période de crise ?
Dans ce contexte, s’appuyer sur des technologies de pointe est précieux. C’est une vraie opportunité pour les entreprises qui veulent gagner en rapidité et en précision dans leurs prévisions. Les logiciels de planification avancés, comme CCH® Tagetik Supply Chain Planning de Wolters Kluwer, permettent aux équipes de travailler sur la même plateforme, grâce à une intégration de bout en bout, et de prendre des décisions éclairées fondées sur la donnée.
Etant donné que la solution peut être intégrée très facilement à la solution CCH Tagetik qui s’adresse aux DAF, le dialogue s’établit aisément entre responsables supply et directions financières pour améliorer l’efficacité opérationnelle. Les DAF disposent non seulement d’une visibilité en temps réel sur les plans, mais peuvent également prévoir des ajustements tout en visualisant leurs impacts de façon quasi-instantanée, en cas de crise ou d’imprévu.
Pensez-vous que l’IA permette de faire de meilleures prévisions ?
La réponse est oui ! Les entreprises ont tout à gagner à miser sur l’intelligence artificielle, et plus particulièrement celles qui s’inscrivent dans l’industrie 4.0. Notre solution CCH® Tagetik Supply Chain Planning, elle-même basée sur de l’intelligence artificielle, propose aux entreprises la technologie prédictive et le Machine Learning comme leviers de transformation. C’est sa puissance d’analyse qui permet à nos clients de se baser sur des données historiques pour mieux anticiper l’avenir. L’intelligence artificielle va extraire les informations les plus importantes, les structurer, les classer, et identifier des signaux faibles qui nous échappent trop souvent ! En s’appuyant sur un logiciel reposant sur de l’IA, les responsables des chaînes d’approvisionnement et les directions financières peuvent réaliser de multiples simulations, s’ouvrent à de nouveaux scénarios à tester et à personnaliser afin d’améliorer l’agilité et la résilience de leurs organisations.
A quoi ressemblera la supply chain de demain ?
Les transformations que j’observe dans les services supply chain des entreprises me laissent penser qu’à l’avenir, l’effet de silos tendra à disparaître au profit d’un modèle « circulaire », bien mieux adapté à l’imprévu. Dans ce modèle, les équipes travaillent sur une solution unique qui intègre en temps réel les nouveautés et changements qui affectent l’ensemble de la chaîne d’approvisionnement, pour une meilleure réactivité.
Ensuite, l’avenir est à l’automatisation de la prise de décision. Afin d’appréhender la transformation numérique, au service du client final, la supply chain s’appuiera incontestablement sur l’intelligence artificielle, pour des prévisions précises et une planification dynamique de la chaîne logistique.
Enfin, je suis convaincu que les professionnels de la supply chain ont un rôle à jouer dans la stratégie RSE des entreprises. On entend de plus en plus parler de « Green Supply Chain » qui met un accent particulier sur la durabilité et tient compte des critères ESG fixés par l’entreprise. Elle implique par exemple de s’approvisionner en priorité auprès de fournisseurs responsables et de s’orienter vers des matériaux naturels et écologiques. Je crois que la supply chain du futur doit être orientée vers ces objectifs RSE, car le développement durable est l’affaire de tous les collaborateurs en entreprise, chacun ayant son rôle à jouer, y compris les fonctions supply chain.
La crise sanitaire a mis la chaîne d’approvisionnement sur le devant de la scène. Entre pénuries, chaînes logistiques à l’arrêt, perturbation de la circulation des marchandises ou encore fermeture des frontières, la supply chain était au cœur des préoccupations en entreprise l’année dernière, et le sera encore dans les années à venir.
Il est clair que les priorités des services supply chain ont fortement évolué en deux ans. Du jour au lendemain, les organisations ont dû ajuster leurs modes de fonctionnement pour répondre à l’évolution de la demande de leurs clients et des fluctuations du côté des offres de leurs fournisseurs. Dans des environnements dynamiques et complexes, je dirais que la réactivité et l’agilité sont les mots-clés de la fonction cette année. Sans perdre de vue les objectifs business ! C’est pourquoi les responsables supply ont tout intérêt à travailler main dans la main avec les DAF pour mieux anticiper les risques liés à la gestion des stocks en temps de crise.
Les crises que nous traversons peuvent d’ailleurs être l’occasion d’engager des projets de digitalisation afin de faire face à ces nouveaux défis. La numérisation de cette fonction est donc l’un des chantiers les plus importants, à mon sens, en 2022.
Comment la technologie peut-elle aider les responsables supply chain et les DAF à mieux anticiper les risques liés à la gestion des stocks en période de crise ?
Dans ce contexte, s’appuyer sur des technologies de pointe est précieux. C’est une vraie opportunité pour les entreprises qui veulent gagner en rapidité et en précision dans leurs prévisions. Les logiciels de planification avancés, comme CCH® Tagetik Supply Chain Planning de Wolters Kluwer, permettent aux équipes de travailler sur la même plateforme, grâce à une intégration de bout en bout, et de prendre des décisions éclairées fondées sur la donnée.
Etant donné que la solution peut être intégrée très facilement à la solution CCH Tagetik qui s’adresse aux DAF, le dialogue s’établit aisément entre responsables supply et directions financières pour améliorer l’efficacité opérationnelle. Les DAF disposent non seulement d’une visibilité en temps réel sur les plans, mais peuvent également prévoir des ajustements tout en visualisant leurs impacts de façon quasi-instantanée, en cas de crise ou d’imprévu.
Pensez-vous que l’IA permette de faire de meilleures prévisions ?
La réponse est oui ! Les entreprises ont tout à gagner à miser sur l’intelligence artificielle, et plus particulièrement celles qui s’inscrivent dans l’industrie 4.0. Notre solution CCH® Tagetik Supply Chain Planning, elle-même basée sur de l’intelligence artificielle, propose aux entreprises la technologie prédictive et le Machine Learning comme leviers de transformation. C’est sa puissance d’analyse qui permet à nos clients de se baser sur des données historiques pour mieux anticiper l’avenir. L’intelligence artificielle va extraire les informations les plus importantes, les structurer, les classer, et identifier des signaux faibles qui nous échappent trop souvent ! En s’appuyant sur un logiciel reposant sur de l’IA, les responsables des chaînes d’approvisionnement et les directions financières peuvent réaliser de multiples simulations, s’ouvrent à de nouveaux scénarios à tester et à personnaliser afin d’améliorer l’agilité et la résilience de leurs organisations.
A quoi ressemblera la supply chain de demain ?
Les transformations que j’observe dans les services supply chain des entreprises me laissent penser qu’à l’avenir, l’effet de silos tendra à disparaître au profit d’un modèle « circulaire », bien mieux adapté à l’imprévu. Dans ce modèle, les équipes travaillent sur une solution unique qui intègre en temps réel les nouveautés et changements qui affectent l’ensemble de la chaîne d’approvisionnement, pour une meilleure réactivité.
Ensuite, l’avenir est à l’automatisation de la prise de décision. Afin d’appréhender la transformation numérique, au service du client final, la supply chain s’appuiera incontestablement sur l’intelligence artificielle, pour des prévisions précises et une planification dynamique de la chaîne logistique.
Enfin, je suis convaincu que les professionnels de la supply chain ont un rôle à jouer dans la stratégie RSE des entreprises. On entend de plus en plus parler de « Green Supply Chain » qui met un accent particulier sur la durabilité et tient compte des critères ESG fixés par l’entreprise. Elle implique par exemple de s’approvisionner en priorité auprès de fournisseurs responsables et de s’orienter vers des matériaux naturels et écologiques. Je crois que la supply chain du futur doit être orientée vers ces objectifs RSE, car le développement durable est l’affaire de tous les collaborateurs en entreprise, chacun ayant son rôle à jouer, y compris les fonctions supply chain.