Le concept de “Repeat Economy” revient souvent chez SlimPay. Pouvez-vous nous expliquer en quoi cela consiste ?
La Repeat Economy est tout simplement la consommation répétée, selon les termes et aux choix du consommateur ! Avec la Repeat Economy, le paiement se fait à l’usage, les consommateurs paient en fonction de leur utilisation et ne sont plus forcément soumis à un abonnement mensuel. Cette approche est basée sur les besoins réels des consommateurs. Ces derniers peuvent faire appel à une offre ou à un service en fonction de leurs besoins. Avec la Repeat Economy, un client satisfait revient pour des achats récurrents selon ses besoins et non pas selon les termes du marchand qui lui dictent un abonnement, une offre limitée, un temps limité, ou un montant fixe !
Aujourd’hui, le paysage du paiement est très varié. Entre l’abonnement ou encore le paiement fractionné, en quoi le paiement à l’usage révolutionne-t-il le secteur du paiement ?
Le paysage du paiement a beaucoup évolué, notamment depuis l’arrivée de l’Open Banking et de la DSP2. Avant, le paiement était un écosystème fermé, que les innovations technologiques et les nouveaux modes de consommation ont permis d’ouvrir. Notre économie est toujours très marquée par les achats ponctuels d’une part et les abonnements d’autre part. L’abonnement est le mode de consommation toujours phare des Français mais qui ne répond pas forcément aux usages de tous. De nouvelles solutions sont arrivées pour que les consommateurs puissent trouver le moyen de paiement idéal à chaque expérience. Et il en existe : paiements fractionnés, abonnement, virement instantané (nous avons d'ailleurs lancé SlimCollect, solution de virement bancaire instantané), paiement à l’usage,… Ce dernier est particulièrement intéressant car très simple pour l’utilisateur qui n’est plus bridé par le temps, pas la quantité ou par la complexité du paiement. On paie…sans avoir l’impression de payer (un système à la uber).
Du point de vue de la lutte contre la surconsommation, le paiement à l’usage est-il une solution pour une consommation plus responsable ?
Les Français sont marqués par le désir de consommer de manière plus responsable. Ils commencent à réfléchir à de nouveaux moyens de consommation. La lutte contre la surconsommation est un des principaux avantages permis par le paiement à l’usage. Il est donc tout à fait cohérent de voir ce nouvel usage comme une solution de consommation responsable.
Payer à l’usage sans avoir l’impression de payer : une utopie possible à mettre en place ?
Aujourd’hui, l’expérience client est au cœur du parcours de paiement. Les consommateurs réclament des parcours simplifiés ne nécessitant aucune action de leur part (comme devoir rentrer son IBAN). Il est tout à fait possible d’imaginer un paiement à l’usage qui ne donne pas l’impression de payer. C’est déjà le cas quand vous utilisez certaines plateformes de VTC ou de livraison; vous commandez un service, calculé en fonction de vos besoins, sans avoir à rentrer vos identifiants de paiement. Il est tout à fait probable d’imaginer qu’il sera possible de payer pour n’importe quel service de cette manière dans le futur.
Comment voyez-vous l’avenir de ce moyen de consommation ? Pensez-vous qu’il puisse s’inscrire dans le panorama des paiements au niveau européen ? Et mondial ?
Le paiement à l’usage n’en est qu’à ses débuts. Cela se démocratise petit à petit sur les différents marchés. Ce que l’on appelle Repeat Economy s’installe déjà dans le paysage de consommation européen mais aussi américain. Avec L’Open-Banking, l’initiation de paiement offre une innovation adaptée au paiement à l’usage, que ce soit en one-off, de façon récurrente ou pour un abonnement. C’est justement pour répondre à ces évolutions que nous avons lancé la solution SlimCollect, qui, en s’appuyant sur les technologies de l’Open Banking, permet d’éviter aux consommateurs finaux de renseigner leur IBAN ou leurs coordonnées de carte bancaire lors de l’acte d’achat. En effet, maintenant, dès achat, SlimCollect active l’application bancaire de l’utilisateur pour valider le virement.
La Repeat Economy est tout simplement la consommation répétée, selon les termes et aux choix du consommateur ! Avec la Repeat Economy, le paiement se fait à l’usage, les consommateurs paient en fonction de leur utilisation et ne sont plus forcément soumis à un abonnement mensuel. Cette approche est basée sur les besoins réels des consommateurs. Ces derniers peuvent faire appel à une offre ou à un service en fonction de leurs besoins. Avec la Repeat Economy, un client satisfait revient pour des achats récurrents selon ses besoins et non pas selon les termes du marchand qui lui dictent un abonnement, une offre limitée, un temps limité, ou un montant fixe !
Aujourd’hui, le paysage du paiement est très varié. Entre l’abonnement ou encore le paiement fractionné, en quoi le paiement à l’usage révolutionne-t-il le secteur du paiement ?
Le paysage du paiement a beaucoup évolué, notamment depuis l’arrivée de l’Open Banking et de la DSP2. Avant, le paiement était un écosystème fermé, que les innovations technologiques et les nouveaux modes de consommation ont permis d’ouvrir. Notre économie est toujours très marquée par les achats ponctuels d’une part et les abonnements d’autre part. L’abonnement est le mode de consommation toujours phare des Français mais qui ne répond pas forcément aux usages de tous. De nouvelles solutions sont arrivées pour que les consommateurs puissent trouver le moyen de paiement idéal à chaque expérience. Et il en existe : paiements fractionnés, abonnement, virement instantané (nous avons d'ailleurs lancé SlimCollect, solution de virement bancaire instantané), paiement à l’usage,… Ce dernier est particulièrement intéressant car très simple pour l’utilisateur qui n’est plus bridé par le temps, pas la quantité ou par la complexité du paiement. On paie…sans avoir l’impression de payer (un système à la uber).
Du point de vue de la lutte contre la surconsommation, le paiement à l’usage est-il une solution pour une consommation plus responsable ?
Les Français sont marqués par le désir de consommer de manière plus responsable. Ils commencent à réfléchir à de nouveaux moyens de consommation. La lutte contre la surconsommation est un des principaux avantages permis par le paiement à l’usage. Il est donc tout à fait cohérent de voir ce nouvel usage comme une solution de consommation responsable.
Payer à l’usage sans avoir l’impression de payer : une utopie possible à mettre en place ?
Aujourd’hui, l’expérience client est au cœur du parcours de paiement. Les consommateurs réclament des parcours simplifiés ne nécessitant aucune action de leur part (comme devoir rentrer son IBAN). Il est tout à fait possible d’imaginer un paiement à l’usage qui ne donne pas l’impression de payer. C’est déjà le cas quand vous utilisez certaines plateformes de VTC ou de livraison; vous commandez un service, calculé en fonction de vos besoins, sans avoir à rentrer vos identifiants de paiement. Il est tout à fait probable d’imaginer qu’il sera possible de payer pour n’importe quel service de cette manière dans le futur.
Comment voyez-vous l’avenir de ce moyen de consommation ? Pensez-vous qu’il puisse s’inscrire dans le panorama des paiements au niveau européen ? Et mondial ?
Le paiement à l’usage n’en est qu’à ses débuts. Cela se démocratise petit à petit sur les différents marchés. Ce que l’on appelle Repeat Economy s’installe déjà dans le paysage de consommation européen mais aussi américain. Avec L’Open-Banking, l’initiation de paiement offre une innovation adaptée au paiement à l’usage, que ce soit en one-off, de façon récurrente ou pour un abonnement. C’est justement pour répondre à ces évolutions que nous avons lancé la solution SlimCollect, qui, en s’appuyant sur les technologies de l’Open Banking, permet d’éviter aux consommateurs finaux de renseigner leur IBAN ou leurs coordonnées de carte bancaire lors de l’acte d’achat. En effet, maintenant, dès achat, SlimCollect active l’application bancaire de l’utilisateur pour valider le virement.