Un investissement qui doit permettre à l’ancien groupe public de poursuivre sa croissance en France et à l’international.
Ancienne structure publique, très liée aux intérêts souverains de la France, l’ADIT connait une très forte croissance depuis plusieurs années, concrétisée ces derniers mois par plusieurs acquisitions prestigieuses dans le secteur de la sécurité et de l’intelligence économique (DCI, Geos, ESL Network,Startinfo, Eurotradia,…). L’entrée au capital du fonds Sagard a pour ambition de conforter la place de l’ADIT comme numéro un français du secteur, et d’accélérer son développement dans les espaces francophones et en Amérique du Nord.
« Notre stratégie ambitieuse en matière de croissance externe nous a permis de consolider notre position de leader européen en proposant à plus de 500 clients un ensemble d’activités couvrant un spectre complet : intelligence stratégique, éthique des affaires, affaires publiques et stratégies d’influence, déploiement des PME et ETI, sécurité des affaires et assistance technique, MCO aéronautique. Nous devons notre succès à l’ensemble des équipes, soit plus 650 salariés, à leur engagement au quotidien », a indiqué le PDG de l’ADIT, Philippe Caduc.
Le fonds Sagard, un fonds professionnel de capital investissement (FPCI) créé en France en 2002 autour de la famille Desmarais (Québec), dispose d’un capital majoritairement européen (environ les deux tiers du capital) et est essentiellement actif en France, où il accompagne plus de 35 entreprises dans divers secteurs stratégiques pour la souveraineté nationale, comme Sabena (maintenance aéronautique) ou Souriau (conception et fabrication de solutions de connectique).
Malgré son statut d’actionnaire de référence, le fonds Sagard demeure minoritaire face aux trois actionnaires actuels du groupe ADIT : BpiFrance, Parquest et Amundi. Une prise de participation qui permet de garantir que le capital de l’ADIT demeure majoritairement français, et que le fonds Sagard investit dans une logique de consortium de fonds et non pas de prise de contrôle. Selon l’ADIT, les droits de BpiFrance, acteur public, et de l’ADIT, ont été renforcés grâce à cette opération.
« Le fonds Sagard succèdera à Parquest en tant qu’actionnaire de référence du groupe. L’ensemble des actionnaires actuels – Parquest, Bpifrance et Amundi – ont choisi de réinvestir significativement aux côtés de Sagard, témoignant ainsi leur confiance dans le groupe et leur souhait de continuer à accompagner ses futurs développements. L’opération ne remet pas en cause les garanties exceptionnelles dont bénéficient historiquement l’Etat et Bpifrance, en particulier s’agissant de la localisation en France du siège social, de l’agrément formel des actionnaires au travers d’une action de préférence ou de la nomination des dirigeants », a conclu Philippe Caduc.
Interrogé par le média numérique Souveraineté tech, il a précisé « notre projet est de continuer à bâtir un groupe français, avec un siège à Paris et à dimension souveraine, mais aussi européen, francophone et transatlantique. Par-dessus tout, nous serons toujours autonomes et indépendants, aucun actionnaire ne devant avoir un droit de regard sur les dossiers traités pour tous nos clients ».
Ancienne structure publique, très liée aux intérêts souverains de la France, l’ADIT connait une très forte croissance depuis plusieurs années, concrétisée ces derniers mois par plusieurs acquisitions prestigieuses dans le secteur de la sécurité et de l’intelligence économique (DCI, Geos, ESL Network,Startinfo, Eurotradia,…). L’entrée au capital du fonds Sagard a pour ambition de conforter la place de l’ADIT comme numéro un français du secteur, et d’accélérer son développement dans les espaces francophones et en Amérique du Nord.
« Notre stratégie ambitieuse en matière de croissance externe nous a permis de consolider notre position de leader européen en proposant à plus de 500 clients un ensemble d’activités couvrant un spectre complet : intelligence stratégique, éthique des affaires, affaires publiques et stratégies d’influence, déploiement des PME et ETI, sécurité des affaires et assistance technique, MCO aéronautique. Nous devons notre succès à l’ensemble des équipes, soit plus 650 salariés, à leur engagement au quotidien », a indiqué le PDG de l’ADIT, Philippe Caduc.
Le fonds Sagard, un fonds professionnel de capital investissement (FPCI) créé en France en 2002 autour de la famille Desmarais (Québec), dispose d’un capital majoritairement européen (environ les deux tiers du capital) et est essentiellement actif en France, où il accompagne plus de 35 entreprises dans divers secteurs stratégiques pour la souveraineté nationale, comme Sabena (maintenance aéronautique) ou Souriau (conception et fabrication de solutions de connectique).
Malgré son statut d’actionnaire de référence, le fonds Sagard demeure minoritaire face aux trois actionnaires actuels du groupe ADIT : BpiFrance, Parquest et Amundi. Une prise de participation qui permet de garantir que le capital de l’ADIT demeure majoritairement français, et que le fonds Sagard investit dans une logique de consortium de fonds et non pas de prise de contrôle. Selon l’ADIT, les droits de BpiFrance, acteur public, et de l’ADIT, ont été renforcés grâce à cette opération.
« Le fonds Sagard succèdera à Parquest en tant qu’actionnaire de référence du groupe. L’ensemble des actionnaires actuels – Parquest, Bpifrance et Amundi – ont choisi de réinvestir significativement aux côtés de Sagard, témoignant ainsi leur confiance dans le groupe et leur souhait de continuer à accompagner ses futurs développements. L’opération ne remet pas en cause les garanties exceptionnelles dont bénéficient historiquement l’Etat et Bpifrance, en particulier s’agissant de la localisation en France du siège social, de l’agrément formel des actionnaires au travers d’une action de préférence ou de la nomination des dirigeants », a conclu Philippe Caduc.
Interrogé par le média numérique Souveraineté tech, il a précisé « notre projet est de continuer à bâtir un groupe français, avec un siège à Paris et à dimension souveraine, mais aussi européen, francophone et transatlantique. Par-dessus tout, nous serons toujours autonomes et indépendants, aucun actionnaire ne devant avoir un droit de regard sur les dossiers traités pour tous nos clients ».