Sommaire :
- Crise, réaction, inaction
- Inflation, perception, différenciation
- Prix des actifs : un environnement favorable à davantage d’excès de valorisation
- A enjeu commun, diagnostic commun ; à mandat propre, politique autonome
Crise, réaction, inaction
Force est de reconnaître que la banque centrale américaine a vraiment réagi à la crise immobilière et financière et à ses conséquences en termes de croissance économique (déflation sur certains marchés d’actifs, élargissement des « cercles d’insolvabilité » et au final une distribution plus sélective du crédit). Elle a considéré que la dynamique des prix n’était pas un obstacle à la mise en œuvre d’une politique monétaire plus accommodante.
Sa consœur européenne, dans un environnement de croissance, de prix des logements et de résistance du système bancaire de meilleure qualité, a mis l’accent sur le profil insatisfaisant des prix.
- Crise, réaction, inaction
- Inflation, perception, différenciation
- Prix des actifs : un environnement favorable à davantage d’excès de valorisation
- A enjeu commun, diagnostic commun ; à mandat propre, politique autonome
Crise, réaction, inaction
Force est de reconnaître que la banque centrale américaine a vraiment réagi à la crise immobilière et financière et à ses conséquences en termes de croissance économique (déflation sur certains marchés d’actifs, élargissement des « cercles d’insolvabilité » et au final une distribution plus sélective du crédit). Elle a considéré que la dynamique des prix n’était pas un obstacle à la mise en œuvre d’une politique monétaire plus accommodante.
Sa consœur européenne, dans un environnement de croissance, de prix des logements et de résistance du système bancaire de meilleure qualité, a mis l’accent sur le profil insatisfaisant des prix.