La crise va-t-elle amener le monde au bord du gouffre, c’est-à-dire à la pire des solutions de résolution des problèmes, la guerre.
C’est à cette interrogation que s’efforce de répondre le duo d’auteurs Pierre PASCALLON, homme politique et professeur agrégé de sciences économiques et Pascal HORTEFEUX, professeur à SUP de CO Clermont-Ferrand
La guerre, même si nous sommes tentés de l’oublier s’est révélée à travers l’histoire de l’homme (qui est souvent l’histoire des guerres) comme un mécanisme de régulation forte et de dernier ressort du « procès général de production/répartition ».
La guerre, serait-elle une nouvelle fois comme le rappelle F. PERROUX chargée d’assurer une fonction « inéliminable de rééquilibration des maux économiques dans nos sociétés concrètes, tissées des « luttes concours » et des « conflits coopérations » que portent inévitablement les hommes confrontés à la rareté et au besoin ».
En analysant les conséquences géopolitiques des dysfonctionnements de l’hypercapitalisme et du duo-pôle Chinamérique les auteurs s’efforcent d’avancer les hypothèses qui peuvent permettre d’échapper à ces dangers tout en restant dubitatifs sur l’évolution d’un monde « qui ne peut être rendu définitivement pacifique ».
Un regard lucide sur des risques tangibles.
C’est à cette interrogation que s’efforce de répondre le duo d’auteurs Pierre PASCALLON, homme politique et professeur agrégé de sciences économiques et Pascal HORTEFEUX, professeur à SUP de CO Clermont-Ferrand
La guerre, même si nous sommes tentés de l’oublier s’est révélée à travers l’histoire de l’homme (qui est souvent l’histoire des guerres) comme un mécanisme de régulation forte et de dernier ressort du « procès général de production/répartition ».
La guerre, serait-elle une nouvelle fois comme le rappelle F. PERROUX chargée d’assurer une fonction « inéliminable de rééquilibration des maux économiques dans nos sociétés concrètes, tissées des « luttes concours » et des « conflits coopérations » que portent inévitablement les hommes confrontés à la rareté et au besoin ».
En analysant les conséquences géopolitiques des dysfonctionnements de l’hypercapitalisme et du duo-pôle Chinamérique les auteurs s’efforcent d’avancer les hypothèses qui peuvent permettre d’échapper à ces dangers tout en restant dubitatifs sur l’évolution d’un monde « qui ne peut être rendu définitivement pacifique ».
Un regard lucide sur des risques tangibles.
Jean-Louis Chambon
Jean-Louis Chambon
Président du Prix et du Cercle TURGOT, et de la Fédération Nationale des Cadres Dirigeants
Retrouvez les chroniques de Jean-Louis Chambon sur www.canalacademie.com
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