SOURCE : https://cdn.pixabay.com/photo/2016/11/03/21/34/google-on-your-smartphone-1796337_960_720.jpg
Le Wall Street Journal révèle que Google abandonne son projet fintech, basé sur Google Pay. Google Plex ne devrait finalement pas voir le jour après avoir été repoussé à plusieurs reprises.
C'était quoi Google Plex ?
Google Plex a été lancé en grande pompe fin 2020. Il s'agissait d'un compte bancaire nommé "Plex" qui devait être intégré à l'application Google Pay, qui permet actuellement de stocker des cartes de fidélité et des cartes de crédit. Le but est évidemment de proposer une alternative à Apple Card, service disponible uniquement sur les appareils de la marque à la pomme. Google ne deviendrait pas alors une fintech en tant que tel, mais plutôt un support pour une nouvelle offre bancaire, un produit financier en partenariat avec de vraies banques. Le but était surtout de proposer un compte bancaire avec un suivi des dépenses et des rentrées d'argent pour conseiller les utilisateurs afin de réaliser des économies.
Google, qui malgré cette nouvelle se porte toujours très bien, notamment pour ses dirigeants selon Betway Insider. Le site a réalisé une infographie complète sur les milliardaires du monde entier et positionne les cofondateurs à la sixième et septième place des plus grandes fortunes : Larry Page posséderait 121 milliards de dollars et Sergey Brin 117 milliards de dollars. Au niveau de la bourse, le cours de l'action de Google a augmenté de plus de 90% en un an, l'entreprise se porte très bien.
Pourquoi Google abandonne Plex
Ce qui peut paraître surprenant, c'est que le projet de la firme de Mountain View était plutôt bien parti : on comptait pas moins de 400 000 utilisateurs sur la liste d'attente. Par ailleurs, Google avait trouvés de nombreuses banques partenaires à travers le monde entier : Citigroup en première ligne.
Contrairement à ce que l'on pourrait penser, il ne s'agit pas d'un problème au niveau des régulateurs ou des autorités publiques relatives aux produits financiers. Aucune interdiction ou restriction n'avait été prononcée à l'encontre de Google.
En fait, ce qui a causé la "mort" de Plex, c'est le départ du dirigeant de Google Pay : Caesar Sengupta, en avril dernier. Il était le principal défenseur de ce projet fintech, mais est parti. C'est Bill Ready, un ancien de PayPal qui a pris les commandes de Google Pay et des opérations de commerce en ligne du géant du web et qui n'était pas très intéressé par Plex. En effet, il pensait que cela allait créer des tensions avec les banques qui verraient cette offre comme une concurrente.
Un porte-parole de Google a fait savoir au Wall Street Journal que son activité se recentrera sur "la fourniture d'outils numériques aux banques et autres prestataires de services financiers, plutôt que sur la fourniture de ces services". Un revirement qui n'a pas l'air de traumatiser Citigroup puisque la banque annonce vouloir continuer sa collaboration avec Google mais sous d'autres formes, dans le but de proposer une alternative aux clients qui étaient sur la liste d'attente et aux autres potentiels utilisateurs.
Il n'est cependant pas impossible qu'à l'avenir Google s'intéresse de nouveaux aux fintechs pour un produit commercialisé par Google.
C'était quoi Google Plex ?
Google Plex a été lancé en grande pompe fin 2020. Il s'agissait d'un compte bancaire nommé "Plex" qui devait être intégré à l'application Google Pay, qui permet actuellement de stocker des cartes de fidélité et des cartes de crédit. Le but est évidemment de proposer une alternative à Apple Card, service disponible uniquement sur les appareils de la marque à la pomme. Google ne deviendrait pas alors une fintech en tant que tel, mais plutôt un support pour une nouvelle offre bancaire, un produit financier en partenariat avec de vraies banques. Le but était surtout de proposer un compte bancaire avec un suivi des dépenses et des rentrées d'argent pour conseiller les utilisateurs afin de réaliser des économies.
Google, qui malgré cette nouvelle se porte toujours très bien, notamment pour ses dirigeants selon Betway Insider. Le site a réalisé une infographie complète sur les milliardaires du monde entier et positionne les cofondateurs à la sixième et septième place des plus grandes fortunes : Larry Page posséderait 121 milliards de dollars et Sergey Brin 117 milliards de dollars. Au niveau de la bourse, le cours de l'action de Google a augmenté de plus de 90% en un an, l'entreprise se porte très bien.
Pourquoi Google abandonne Plex
Ce qui peut paraître surprenant, c'est que le projet de la firme de Mountain View était plutôt bien parti : on comptait pas moins de 400 000 utilisateurs sur la liste d'attente. Par ailleurs, Google avait trouvés de nombreuses banques partenaires à travers le monde entier : Citigroup en première ligne.
Contrairement à ce que l'on pourrait penser, il ne s'agit pas d'un problème au niveau des régulateurs ou des autorités publiques relatives aux produits financiers. Aucune interdiction ou restriction n'avait été prononcée à l'encontre de Google.
En fait, ce qui a causé la "mort" de Plex, c'est le départ du dirigeant de Google Pay : Caesar Sengupta, en avril dernier. Il était le principal défenseur de ce projet fintech, mais est parti. C'est Bill Ready, un ancien de PayPal qui a pris les commandes de Google Pay et des opérations de commerce en ligne du géant du web et qui n'était pas très intéressé par Plex. En effet, il pensait que cela allait créer des tensions avec les banques qui verraient cette offre comme une concurrente.
Un porte-parole de Google a fait savoir au Wall Street Journal que son activité se recentrera sur "la fourniture d'outils numériques aux banques et autres prestataires de services financiers, plutôt que sur la fourniture de ces services". Un revirement qui n'a pas l'air de traumatiser Citigroup puisque la banque annonce vouloir continuer sa collaboration avec Google mais sous d'autres formes, dans le but de proposer une alternative aux clients qui étaient sur la liste d'attente et aux autres potentiels utilisateurs.
Il n'est cependant pas impossible qu'à l'avenir Google s'intéresse de nouveaux aux fintechs pour un produit commercialisé par Google.
Disclaimer: The text above is a press release that was not written by Finyear.com.
The issuer is solely responsible for the content of this announcement.
Avertissement : Le texte ci-dessus est un communiqué de presse qui n'a pas été rédigé par Finyear.com.
L'émetteur est seul responsable du contenu de cette annonce.
The issuer is solely responsible for the content of this announcement.
Avertissement : Le texte ci-dessus est un communiqué de presse qui n'a pas été rédigé par Finyear.com.
L'émetteur est seul responsable du contenu de cette annonce.