Pour la huitième année consécutive, France FinTech, l’association représentative du secteur, présente le Panorama des fintech françaises, document de référence réalisé avec le soutien de Bpifrance.
Le Panorama recense 1 145 fintech françaises à différents stades de maturité (jeunes pousses, start-up, scale-up, licornes et centaures).
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Le Panorama recense 1 145 fintech françaises à différents stades de maturité (jeunes pousses, start-up, scale-up, licornes et centaures).
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Elles couvrent l’ensemble des verticales des services financiers innovants : métiers bancaires, assurantiels, risque, paiements, gestion d’actifs, outils et services de financement, conformité, comptabilité, trésorerie, RH, etc.
Celles-ci sont référencées à partir d’une nomenclature organisée en 8 catégories et 23 sous-catégories, afin de mieux refléter la diversité des activités, des métiers, des clientèles et des champs d’application.
Celles-ci sont référencées à partir d’une nomenclature organisée en 8 catégories et 23 sous-catégories, afin de mieux refléter la diversité des activités, des métiers, des clientèles et des champs d’application.
L’écosystème continue de s’agrandir (+20 % en 2024), alors qu’on identifie 18 situations de difficulté publiques (procédure de sauvegarde, mise en redressement judiciaire, cessation d’activité) et 38 opérations de fusion ou acquisition depuis le début de l’année.La verticale qui a connu la plus forte croissance est la gestion du risque, dont le nombre d’acteurs a quasiment doublé.
Près d’un quart des acteurs de la fintech sont issus des territoires, avec une prédominance de la Région Auvergne-Rhône-Alpes.
Les fintech françaises ont créé près de 50 000 emplois qualifiés : spécialistes des données et de l’IA, développeurs, ingénieurs en cybersécurité, experts en conformité, commerciaux, etc.
Près d’un quart des acteurs de la fintech sont issus des territoires, avec une prédominance de la Région Auvergne-Rhône-Alpes.
Les fintech françaises ont créé près de 50 000 emplois qualifiés : spécialistes des données et de l’IA, développeurs, ingénieurs en cybersécurité, experts en conformité, commerciaux, etc.
Point sur l’activité
L’écosystème de la fintech française se porte plutôt bien.
Il a fait face à une forte contraction de son financement en capital risque en 2022-2023, à l’instar de la tech mondiale, provoquée par les conséquences de la pandémie, la remontée des taux et le contexte géopolitique global.Cet état de fait avait conduit nos entreprises à prendre des mesures de rationalisation, de recentrage sur leur cœur de métier et à diversifier leurs sources de financement.
L’année 2024 semble, de ce point de vue, montrer une reprise, qui devra être confirmée.
À ce jour, les levées dépassent le milliard d’euros, soit davantage que l’année 2023 entière, avec un doublement du ticket moyen (à 15 M€). qui reflète la part croissante des opérations de maturité (séries A à F). L’assurtech contribue largement, avec notamment Alan et Akur8 qui ont respectivement levé 173 M€ et 108 M€.
L’analyse de l’origine des fonds révèle une activité accrue des segments suivants :
business angels,
fonds internationaux, et en particulier américains, qui comptent pour un investisseur sur cinq, soit un quasi doublement de leur part en un an,
fonds majoritaires (12 transactions, soit de 3 % à 7 % du total),
family offices (de 7 % à 9 %).
Enfin, on constate un recours en forte croissance à la dette (bancaire ou via les fonds spécialisés).
Ces ressources donnent à nos start-up les moyens de relancer leurs investissements, en particulier en matière de développement technologique et international. L’exercice est marqué par un mouvement de consolidation. Plus d’un tiers des opérations de fusions-acquisitions est intra-sectorielle.
Bien que l’on manque de données consolidées, le niveau d’activité général paraît bon et la monétisation en bonne voie. Un tiers des fintech ont atteint le seuil de rentabilité (vs 30 % en 2023).
Il a fait face à une forte contraction de son financement en capital risque en 2022-2023, à l’instar de la tech mondiale, provoquée par les conséquences de la pandémie, la remontée des taux et le contexte géopolitique global.Cet état de fait avait conduit nos entreprises à prendre des mesures de rationalisation, de recentrage sur leur cœur de métier et à diversifier leurs sources de financement.
L’année 2024 semble, de ce point de vue, montrer une reprise, qui devra être confirmée.
À ce jour, les levées dépassent le milliard d’euros, soit davantage que l’année 2023 entière, avec un doublement du ticket moyen (à 15 M€). qui reflète la part croissante des opérations de maturité (séries A à F). L’assurtech contribue largement, avec notamment Alan et Akur8 qui ont respectivement levé 173 M€ et 108 M€.
L’analyse de l’origine des fonds révèle une activité accrue des segments suivants :
business angels,
fonds internationaux, et en particulier américains, qui comptent pour un investisseur sur cinq, soit un quasi doublement de leur part en un an,
fonds majoritaires (12 transactions, soit de 3 % à 7 % du total),
family offices (de 7 % à 9 %).
Enfin, on constate un recours en forte croissance à la dette (bancaire ou via les fonds spécialisés).
Ces ressources donnent à nos start-up les moyens de relancer leurs investissements, en particulier en matière de développement technologique et international. L’exercice est marqué par un mouvement de consolidation. Plus d’un tiers des opérations de fusions-acquisitions est intra-sectorielle.
Bien que l’on manque de données consolidées, le niveau d’activité général paraît bon et la monétisation en bonne voie. Un tiers des fintech ont atteint le seuil de rentabilité (vs 30 % en 2023).
14 licornes
FRANCE FINTECH
Créée en 2015 à l’initiative des entrepreneurs, France FinTech fédère les sociétés utilisant des modèles opérationnels, technologiques ou économiques, innovants et disruptifs, visant à traiter des problématiques existantes ou émergentes de l’industrie des services financiers et représentant les principales composantes de la filière. L’association s’est donnée pour mission de promouvoir l’excellence du secteur en France et à l’étranger et de représenter les fintech françaises auprès des pouvoirs publics, du régulateur et de l’écosystème.
France FinTech est aujourd’hui la plus grande association sectorielle de start-up en France et en Europe. Elle est présidée par Alain Clot et Kristen Charvin en est sa déléguée générale.
Son comité directeur rassemble les fondateurs et dirigeants de +Simple, AML Factory, Anaxago, Defacto, Epsor, Kriptown, Lydia, Pennylane, October, Rosaly, Virgil. L’association comporte désormais les Collèges Assurtech et Financement Participatif, suite à l’intégration des associations « Insurtech France » et « Financement Participatif France ».
Outre ses actions sur les terrains réglementaires et législatifs, ses nombreuses publications, ses ateliers et rencontres diverses, l’association organise chaque année l’événement de référence de l’écosystème, FinTech R:Evolution.
France FinTech est co-organisatrice de la French FinTech Week, membre du Comité Fintech ACPR-AMF et membre fondateur de l’EDFA (European Digital Finance Association).
France Fintech
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France FinTech est aujourd’hui la plus grande association sectorielle de start-up en France et en Europe. Elle est présidée par Alain Clot et Kristen Charvin en est sa déléguée générale.
Son comité directeur rassemble les fondateurs et dirigeants de +Simple, AML Factory, Anaxago, Defacto, Epsor, Kriptown, Lydia, Pennylane, October, Rosaly, Virgil. L’association comporte désormais les Collèges Assurtech et Financement Participatif, suite à l’intégration des associations « Insurtech France » et « Financement Participatif France ».
Outre ses actions sur les terrains réglementaires et législatifs, ses nombreuses publications, ses ateliers et rencontres diverses, l’association organise chaque année l’événement de référence de l’écosystème, FinTech R:Evolution.
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Disclaimer: The text above is an advertising that was not written by Finyear.com.
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Avertissement : Le texte ci-dessus est une publicité qui n'a pas été rédigée par Finyear.com.
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Les avis financiers et/ou économiques présentés par les contributeurs de Finyear.com (experts, avocats, observateurs, bloggers, etc...) sont les leurs et peuvent évoluer sans qu’il soit nécessaire de faire une mise à jour des contenus. Les articles présentés ne constituent en rien une invitation à réaliser un quelconque investissement.
The financial and/or economic opinions presented by Finyear.com contributors (experts, lawyers, observers, bloggers, etc.) are their own and may change without the need to update the content. The articles presented do not constitute an invitation to make any investment.
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