Après le boom du numérique ces trente dernières années, un nouveau virage industriel s’opère au niveau international avec la révolution deeptech. Combinaison d’innovations de rupture, issues d’avancées de la recherche dans une ou plusieurs disciplines scientifiques, le domaine de la deeptech est particulièrement porteur d'espoir et d'optimisme pour résoudre à grande échelle les principales problématiques de notre siècle. En mettant en pratique l’idée que la science peut apporter des solutions pérennes et globales, la deeptech fournit des réponses concrètes aux défis économiques, climatiques, énergétiques, ou encore liés à la santé et la souveraineté.
La complexité intrinsèque au secteur de la deeptech nécessitant un accompagnement sur mesure, tant financier que stratégique, les membres de l’association France Deeptech ont décidé d’unir leurs forces pour conduire ce momentum et favoriser la transformation de start-ups françaises et européennes en champions internationaux. En mettant au premier plan le rôle des start-ups dans cette révolution industrielle, l’association France Deeptech agit, en collaboration avec les initiatives publiques du Secrétariat général pour l’investissement, des ministères ou encore de la phase 2 de l’initiative Tibi, pour bâtir un écosystème deeptech durable en France et en Europe, au service de leur souveraineté.
« Nous sommes face à une véritable révolution industrielle, aux conséquences aussi importantes que celles du charbon, de l’électricité ou d’internet. Il est donc primordial que l’écosystème français, et a fortiori européen, se structure rapidement pour pouvoir rivaliser avec les autres puissances économiques qui nous entourent. La qualité de notre R&D, la reconnaissance internationale de notre expérience dans des secteurs d’excellence comme le quantique ou le nucléaire, l’envergure des financements publics et le dynamisme des startups deeptech françaises sont autant d’atouts pour y parvenir », analyse Michel de Lempdes, Managing Partner d’Omnes Capital et Président de France Deeptech.
Des partenaires de référence issus des sphères scientifiques et économiques Pour structurer efficacement cet écosystème et proposer des mesures concrètes aux pouvoirs publics, l’association France Deeptech fédère 120 acteurs multiples et complémentaires :
- des start-ups, telles que PASQAL, Exotec, The Exploration Company, TEHTRIS, Kalray, Cailabs, TrustInSoft, Alice & Bob ou encore Preligens ;
- des fonds d’investissement, tels que Omnes Capital, Jolt Capital, Supernova Invest, Audacia, Innovacom, Tikehau Capital, Elaia Partners ou encore 360 Capital ;
- des laboratoires de recherche, tels que le CNRS, le CEA, l’Institut Polytechnique de Paris, l’INRAE ou encore l’Udice.
- Bpifrance et BCG sont également partenaires.
Le bureau de l’association est composé d’un Président, Michel de Lempdes, Managing Partner d’Omnes Capital, de quatre Vice-Présidents, Jean-François Morizur, CEO de Cailabs, Eléna Poincet, CEO de Tehtris, Régis Saleur, Managing Partner de SuperNova Invest, et Jean Schmitt, Managing Partner de Jolt Capital, d’un secrétaire général, Charles Beigbeder, Founding Partner d’Audacia ainsi que d’une trésorière, Nadine Bongaerts, Chief Innovation Officer de Gourmey.
« Un grand nombre de chercheurs et de chercheuses sont aujourd’hui animés par l’envie de travailler sur des sujets aux impacts sociaux ou économiques forts. Pour un organisme de recherche comme le CNRS, il est primordial de jouer un rôle actif au sein d’une telle association, afin de mettre la recherche fondamentale au service de nos enjeux contemporains et créer des synergies fécondes pour l’avenir », ajoute Antoine Petit, Président du CNRS et membre de France Deeptech.
Quatre groupes de travail en étroite collaboration avec les autorités publiques Pour faire émerger et croître de véritables champions du secteur, l’association travaillera autour de 4 groupes de travail thématiques :
- Le financement de la deeptech, pour répondre aux besoins de fonds estimés à 12 milliards d’euros des pépites françaises entre 2024 et 20261 ;
- Les transferts de technologies, pour permettre aux recherches académiques de se concrétiser et de changer d’échelle ;
- La réglementation du vivant, pour élaborer un encadrement adapté aux innovations proposant des solutions pérennes aux problématiques environnementales ;
- La commande publique, pour favoriser les partenariats entre secteurs public et privé, et ainsi encourager le déploiement de technologies stratégiques.
Ces groupes de travail seront menés en étroite concertation avec les autorités publiques et le gouvernement pour qu’adviennent des mesures concrètes, déployées rapidement et à grande échelle.
« En se consacrant d’abord en priorité aux 4 grandes problématiques rencontrées par les startups du secteur, France Deeptech souhaite les accompagner au mieux dans leurs innovations, pour aboutir à la mise en application de leurs travaux et recherches. L’association contribue ainsi directement au changement d’échelle de la deeptech européenne » conclut GeorgesOlivier Reymond, président et cofondateur de PASQAL, membre de France Deeptech.
À propos de France Deeptech
France Deeptech est une association créée en 2023, ouverte à tous les acteurs de la deeptech dans une logique d’écosystème, de partenariat et de saine émulation créatrice. Elle s’est fixée pour objectif de rassembler et fédérer les différents acteurs de la deeptech française et européenne, en particulier les entrepreneurs, les investisseurs deeptech et les laboratoires de recherche afin de favoriser l’émergence et/ou la croissance rapide de projets entrepreneuriaux ambitieux et audacieux capables d’apporter une contribution décisive à la résolution d’enjeux majeurs contemporains et de maintenir la compétitivité et l’indépendance technologique française et européenne, gages de souveraineté et de liberté.
France DeepTech
La complexité intrinsèque au secteur de la deeptech nécessitant un accompagnement sur mesure, tant financier que stratégique, les membres de l’association France Deeptech ont décidé d’unir leurs forces pour conduire ce momentum et favoriser la transformation de start-ups françaises et européennes en champions internationaux. En mettant au premier plan le rôle des start-ups dans cette révolution industrielle, l’association France Deeptech agit, en collaboration avec les initiatives publiques du Secrétariat général pour l’investissement, des ministères ou encore de la phase 2 de l’initiative Tibi, pour bâtir un écosystème deeptech durable en France et en Europe, au service de leur souveraineté.
« Nous sommes face à une véritable révolution industrielle, aux conséquences aussi importantes que celles du charbon, de l’électricité ou d’internet. Il est donc primordial que l’écosystème français, et a fortiori européen, se structure rapidement pour pouvoir rivaliser avec les autres puissances économiques qui nous entourent. La qualité de notre R&D, la reconnaissance internationale de notre expérience dans des secteurs d’excellence comme le quantique ou le nucléaire, l’envergure des financements publics et le dynamisme des startups deeptech françaises sont autant d’atouts pour y parvenir », analyse Michel de Lempdes, Managing Partner d’Omnes Capital et Président de France Deeptech.
Des partenaires de référence issus des sphères scientifiques et économiques Pour structurer efficacement cet écosystème et proposer des mesures concrètes aux pouvoirs publics, l’association France Deeptech fédère 120 acteurs multiples et complémentaires :
- des start-ups, telles que PASQAL, Exotec, The Exploration Company, TEHTRIS, Kalray, Cailabs, TrustInSoft, Alice & Bob ou encore Preligens ;
- des fonds d’investissement, tels que Omnes Capital, Jolt Capital, Supernova Invest, Audacia, Innovacom, Tikehau Capital, Elaia Partners ou encore 360 Capital ;
- des laboratoires de recherche, tels que le CNRS, le CEA, l’Institut Polytechnique de Paris, l’INRAE ou encore l’Udice.
- Bpifrance et BCG sont également partenaires.
Le bureau de l’association est composé d’un Président, Michel de Lempdes, Managing Partner d’Omnes Capital, de quatre Vice-Présidents, Jean-François Morizur, CEO de Cailabs, Eléna Poincet, CEO de Tehtris, Régis Saleur, Managing Partner de SuperNova Invest, et Jean Schmitt, Managing Partner de Jolt Capital, d’un secrétaire général, Charles Beigbeder, Founding Partner d’Audacia ainsi que d’une trésorière, Nadine Bongaerts, Chief Innovation Officer de Gourmey.
« Un grand nombre de chercheurs et de chercheuses sont aujourd’hui animés par l’envie de travailler sur des sujets aux impacts sociaux ou économiques forts. Pour un organisme de recherche comme le CNRS, il est primordial de jouer un rôle actif au sein d’une telle association, afin de mettre la recherche fondamentale au service de nos enjeux contemporains et créer des synergies fécondes pour l’avenir », ajoute Antoine Petit, Président du CNRS et membre de France Deeptech.
Quatre groupes de travail en étroite collaboration avec les autorités publiques Pour faire émerger et croître de véritables champions du secteur, l’association travaillera autour de 4 groupes de travail thématiques :
- Le financement de la deeptech, pour répondre aux besoins de fonds estimés à 12 milliards d’euros des pépites françaises entre 2024 et 20261 ;
- Les transferts de technologies, pour permettre aux recherches académiques de se concrétiser et de changer d’échelle ;
- La réglementation du vivant, pour élaborer un encadrement adapté aux innovations proposant des solutions pérennes aux problématiques environnementales ;
- La commande publique, pour favoriser les partenariats entre secteurs public et privé, et ainsi encourager le déploiement de technologies stratégiques.
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« En se consacrant d’abord en priorité aux 4 grandes problématiques rencontrées par les startups du secteur, France Deeptech souhaite les accompagner au mieux dans leurs innovations, pour aboutir à la mise en application de leurs travaux et recherches. L’association contribue ainsi directement au changement d’échelle de la deeptech européenne » conclut GeorgesOlivier Reymond, président et cofondateur de PASQAL, membre de France Deeptech.
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Les avis financiers et/ou économiques présentés par les contributeurs de Finyear.com (experts, avocats, observateurs, bloggers, etc...) sont les leurs et peuvent évoluer sans qu’il soit nécessaire de faire une mise à jour des contenus. Les articles présentés ne constituent en rien une invitation à réaliser un quelconque investissement.
The financial and/or economic opinions presented by Finyear.com contributors (experts, lawyers, observers, bloggers, etc.) are their own and may change without the need to update the content. The articles presented do not constitute an invitation to make any investment.
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