Commentaires et chiffres du jour
N°6 - 9H15
La volatilité domine sur les marchés
Marchés actions
Sur les marchés actions, une nouvelle fois les principales bourses européennes ont sorti leur épingle du jeu, contrairement à Wall Street qui a continué à souffrir hier au sein d’une séance une nouvelle fois très volatile. Le baril pénalise à nouveau les parapétrolières, mais cette baisse handicape et se propage dorénavant à tous les compartiments des indices.
Les places européennes ont profité des rumeurs et spéculations de plus en plus insistantes sur la mise en place d’un QE au cours de la prochaine réunion de la FED, alors qu’un conseiller de la BCE a déclaré que ce programme était très avancé et la décision imminente. Cette mesure semblerait, selon les analystes, inéluctable pour relancer la croissance au sein de la zone euro. Les bourses européennes profitent donc largement de cette situation et sont dopées depuis le début de la semaine, en dépit de la chute du pétrole, qui pénalise Outre-Atlantique. Les investisseurs semblent même se détourner du vote en Grèce. Rappelons que ce nouveau vote en Grèce pourrait voir le parti anti européen et anti austérité Syriza s’imposer, et qu’une sortie de la Grèce de l’Union Européenne pourrait être envisagée.
Il est également intéressant de noter la forte volatilité sur la séance, alors que l’Europe avait commencé dans le rouge hier, plombé par la chute du baril avant de se refaire grâce à la future réunion de la BCE, qui se fera dorénavant toutes les six semaines, et non plus une fois par mois. Dans ce contexte le CAC 40 s’est adjugé 1.47% à 4 29.28 points, tout comme le Dax en progression de 1.63% à 9 941.00 points, tandis que le Footsie britannique n’affiche un gain que de 0.63% à 6 542.20 points. En effet, le Footsie est très fortement exposé aux entreprises liées à l’énergie qui, dans le contexte actuel, restent un secteur fortement pénalisé alors que Goldman Sachs voit le baril toujours plus bas à court et moyen terme.
Wall Street accusait le coup et voyait le Dow Jones concéder 0.15% à 17 613.68 points, le S&P500 0.26% à 2 023.03 points et le Nasdaq 0.07% à 4 661.50 points.
Il y a quelques dizaines de minutes, la Bourse de Tokyo abandonnait pas moins de 1.71% à 16 795.96 points, plombée par la chute de l’or noir, ce qui amène les investisseurs à s’inquiéter sur les perspectives économiques mondiales.
Dans le sillage de Wall Street et de la Bourse de Tokyo, et selon les dernières informations disponibles les principales bourses européennes sont attendues en légère baisse ce matin à l’ouverture, minées par les craintes de l’impact brutal que pourrait avoir la chute du baril sur la croissance économique mondiale, alors que la Banque Mondiale a réduit hier ses prévisions de croissances pour cette nouvelle année. La zone euro, la Chine, le Japon sont particulièrement dans le viseur. On pourrait assister à une nouvelle séance volatile, les investisseurs pesant le pour et le contre entre les prévisions de croissance négative et l’espoir de voir la BCE mettre réellement en place ce fameux programme de rachats de dettes souveraines tant attendu et espéré.
Forex
La parité phare du marché des devises progresse ce matin et cote aux encablures des 1.1806$, à la limite des 1.18$, soit en hausse de 0.27% depuis l’ouverture. Depuis le début de la semaine, la parité n’a pu sortir de son range à la hausse par le niveau des 1.1870$, le dollar américain ayant du mal à se renforcer face à l’euro mais également face à l’ensemble de ses principales contreparties. Le cours de la parité reste relativement stable depuis Lundi dans la mesure où les investisseurs restent prudents avant la prochaine réunion de la BCE la semaine prochaine et des élections en Grèce, mais devrait cependant davantage varier sur la journée d’aujourd’hui car certains indicateurs américains sont attendus. En effet, les principales ventes au détail (chiffre mensuel pour Décembre 2014) sont attendues en baisse à 0.1% contre 0.5% précédemment et le consensus des ventes au détail est également attendu en fort recul à -0.1% contre 0.7% le mois dernier. Ces chiffres, moins bons pour les Etats-Unis, pourraient entrainer une baisse du cours du billet vert au profit de la monnaie unique européenne.
Le dollar contre le yen s’échange ce matin à 117.09 yens, soit un recul de 0.67% depuis l’ouverture, après avoir encaissé une baisse de 0.42% sur le journée d’hier. En effet, la devise nippone s’apprécie et se renforce face au billet vert grâce à des chiffres plutôt encourageants, publiés depuis Lundi : le solde de la balance des paiements japonaise est meilleur qu’attendu avec une balance positive à 433 milliards de yens sur le mois de Décembre 2014. Par ailleurs, le compte courant du Japon progresse par rapport au consensus à 0.91 T contre 0.69 T attendu. L’euro de son côté s’échange aux alentours des 138.12 yens, en baisse de 0.50% ce matin.
De son côté la livre sterling reste dans son range depuis le début de la semaine face au dollar, avec un top à 1.5193$ et un niveau bas à 1.5076$. La paire s’échange ce matin à 1.5183 $, en hausse de 0.15%. Par ailleurs, le rouble continue de progresser et se négocie face au dollar à 65.87 roubles, contre 61.38 roubles au plus bas depuis le début de la semaine.
Matières premières
Le pétrole chute pour un quatrième jour d’affilé sur des plus bas de cinq ans et demi. Les Emirats arabes unis et le Koweit admettent que la surabondance de l’offre mondiale va persister au moins jusqu’à la seconde moitié de 2015.
Le contrat Février sur le WTI perdait 68 centimes à $45.21 le baril ce matin, il a clôturé hier soir à $45.89. Les volumes échangés sont toujours à 50% au-dessus de la moyenne des 100 jours. Le nombre d’échanges est très élevé déjà depuis trois jours. Le Brent lui perdait 76 centimes à $45.83 le baril. La prime entre les deux s’est quant à elle complètement rétrécie à 61 centimes jusqu’à même se retrouver négative hier en séance avec un WTI plus cher que le Brent.
Du côté des statistiques, les stocks de brut américains se sont encore accrus la semaine dernière, dans le pays, plus gros consommateur de pétrole au monde. Les stocks devraient augmentés à 384.1 millions la semaine dernière. Les données hebdomadaires du département américain de l'Energie, qui paraîtront mercredi après-midi, devraient faire état d'une hausse de 500 000 barils de brut la semaine dernière aux Etats-Unis.
Le WTI a été brièvement échangé au-dessus du Brent pour la première fois depuis juillet 2013. Un premier signe peut être que la production de schiste américaine commence à battre de l’aile face à la production massive de la péninsule arabique. La guerre économique à laquelle se livrent les acteurs pétroliers depuis un an prendra fin lorsque l’un des acteurs finira par plier. Si les prix continuent leur dégringolade, des fissures commenceront à apparaitre. Les Emirats arabes Unis semblent être sûrs d'eux en annonçant hier, que ce seront les producteurs de schiste aux Etats Unis qui ralentiront la production les premiers.
Sur les métaux précieux, l’or se maintient sur un plus haut de douze semaines alors que la Banque mondiale a réduit ses prévisions pour la croissance. L’once d’or a perdu 0.5% hier à $1225.16 et s’échangeait ce matin à $1231.59. Le métal a grimpé à $1244.29 hier, niveau le plus élevé depuis le 23 octobre, avant de perdre 0.2% face à l'euro qui s’est affaibli. L’or est donc tiraillé entre l’effet valeur refuge face au ralentissement de la croissance mondiale et sa cotation en dollar qui rend l’once moins attractive.
Saxo Banque (France)
www.saxobanque.fr
N°5 - 9H05
Peregrine & Black: Mid-Morning Market Comment
Good Morning Finyear Readers!
European shares are trading lower this morning with pressure coming from overseas where US and Asia closed lower overnight.
Renewed global economic growth concerns are souring the general sentiment with an not unexpected downgrade of their global growth forecast for 2015 late yesterday by the World Bank not necessarily helping matters either.
Main focus today will be on Euro-zone industrial production data and US retail sales followed by the release of the Beige Book later tonight.
Stock markets seem to be torn a bit at the moment between anticipation that the ECB will implement some form of QE as early as their next meeting on the 22nd January and increasing global growth concerns which explains the heightened intra-day volatility seen over the past few days. While nobody really wants to be too ‘short’ in the run-up of the upcoming ECB meeting very few seem to appear confident enough either to increase their ‘longs’ in major way as economic data paints a rather bleak picture especially what the Euro-zone is concerned.
While more volatility appears likely for now, the US earnings season is getting into full swing today with JPM and Wells Fargo reporting prior to the US open possibly shifting temporarily some of the focus away from the ECB and global growth concerns.
Markus Huber | Senior Sales-Trader/Senior Analyst
Peregrine & Black
www.peregrineblack.com
N°4 - 9H00
Robustesse de la croissance américaine, chute des prix du pétrole
Bulletin hebdomadaire JP Morgan AM (12 janvier 2015).
- La robustesse de la croissance américaine (U.S.) reste au coeur de notre vision de l’évolution du marché
- Malgré quelques déceptions sur certaines statistiques récentes, nous restons persuadés de la pertinence de nos prévisions
- La chute des prix du pétrole constitue un courant porteur pour les dépenses de consommation et devrait facilement compenser l’appréciation du dollar
Notre prévision de maintien d’une forte croissance aux Etats-Unis est au coeur de notre analyse économique et du marché. Il est donc pertinent de réévaluer en permanence cette hypothèse à la lumière des informations que nous recevons. Dans l’ensemble, et malgré quelques notes discordantes, nous estimons que les récentes évolutions renforcent nos anticipations. Nous prévoyons par conséquent une progression d’environ 3 % du PIB des Etats-Unis au cours des prochains trimestres et estimons justifiée notre surpondération en actions des grandes capitalisations américaines (U.S.), notre position acheteuse sur le dollar U.S., et notre positionnement positionnés en vue d’u aplatissement de la courbe des taux des bons du Trésor américain (U.S.).
Le rapport sur le marché de l’emploi aux Etats-Unis en décembre est rassurant. L’emploi salarié a crû de 252 000, presque exactement la progression moyenne de l’an dernier. Le détail par type d’industrie ne fait apparaître de distorsions importantes par rapport au chiffre global, mais au contraire une robustesse d’ensemble (même l’emploi minier a progressé, sans apparemment souffrir particulièrement de la chute des prix du pétrole). La combinaison de créations d’emplois et d’un léger allongement de la semaine de travail signifie que les heures travaillées au quatrième trimestre se sont accrues de 3,5 % (en variation annuelle) par rapport au troisième trimestre, annonçant une hausse satisfaisante du PIB même si la productivité reste faible. Et, même si l’inflation salariale a en réalité récemment ralenti, les ménages bénéficient de cette tendance en matière de recrutement. L’augmentation implicite des salaires des ménages au cours du quatrième trimestre (combinant emplois, salaires et heures travaillées) a évolué à un rythme annualisé de 4,4 %.
Pour ce qui concerne les fondamentaux, nous estimons que la chute des prix du pétrole est un facteur favorable pour l’économie américaine, en particulier pour les dépenses de consommation. Nous quantifions son effet de deux manières. Nous examinons d’abord l’élasticité des dépenses de consommation par rapport aux évolutions des prix du pétrole à la fin des années 1990, le plus récent choc de l’offre dans l’énergie. Au cours de cette période, le recul de 10 % des prix du pétrole était associé à une accélération des dépenses de consommation réelles d’environ 0,3 points de pourcentage. En appliquant cette relation à la chute actuelle du Brent, la consommation pourrait avoir progressé en termes réels à un rythme d’environ 4 % fin 2014. En second lieu, nous examinons la croissance supérieure à 4% des revenus salariaux totaux ci-dessus mentionnée. Nous prévoyons une tendance stable, voire en baisse, du taux d’épargne à court terme, étant donné son augmentation quelque peu surprenante au premier semestre de l’an dernier, impliquant un taux de croissance des dépenses nominales de consommation supérieur à 4%. Avec des prix de l’essence en forte baisse, l’inflation globale évolue probablement autour de zéro ou à un rythme négatif, comme le montre le chiffre de – 0,3 % en variation mensuelle du CPI en novembre.
La progression nominale des dépenses devrait ainsi se traduire presque intégralement en croissance réelle de la consommation. Ces deux argumentations laissent entrevoir de rapides progressions des dépenses de consommation. Il convient d’admettre que l’appréciation du dollar U.S. compense partiellement la bouffée d’oxygène que représente la baisse des prix du pétrole. Mais nous estimons que la seconde l’emportera sur la première, particulièrement à court terme. Le modèle de la Réserve fédérale suggère une pénalisation pour le PIB d’environ 0,25 à 0,50% qui se fera sentir plus tard en 2015. Ce facteur légèrement négatif survient cependant dans un contexte de solides bilans du secteur privé et d’un dosage macro-économique par ailleurs favorable : d’un côté, un resserrement de la politique de la Réserve fédérale mais de l’autre une évolution de la politique budgétaire s’éloignant de l’austérité pour se rapprocher de la neutralité.
Les informations récentes suggèrent trois risques pesant sur notre vision positive de la croissance aux Etats-Unis. Tout d’abord, la chute des prix du pétrole a dépassé les prévisions et pourrait annoncer une soudaine diminution de la demande, soit aux Etats-Unis, soit ailleurs. Nous continuons à nous appuyer sur l’explication émanant du côté de l’offre, étayée par la relative stabilité des prix des autres matières premières sensibles au cycle, comme le cuivre (de même que la tendance sans éclat, globalement inchangée, des données macro-économiques de l’Asie émergente globalement inchangées). En second lieu, la confiance des entreprises mesurée par les enquêtes réalisées aux Etats-Unis a reculé au cours de ces derniers mois. L’indice Markit des directeurs d’achats du secteur manufacturier a par exemple baissé de 57,9 en août à 53,9 en décembre. Au cours de ces derniers trimestres cependant, la relation entre ce type d’indicateurs et les données brutes sur la croissance, comme le PIB ou la production industrielle, s’est presque complètement délitée et nous n’attachons par conséquent désormais qu’une importance limitée aux enquêtes. Troisièmement, les dépenses d’investissement des entreprises semblent s’être ralenties au quatrième trimestre. Les commandes et les ventes de biens d’équipement ont ainsi plongé en octobre/novembre par rapport au troisième trimestre. Nous interprétons cette décélération comme un rééquilibrage par rapport à des dépenses d’investissement des entreprises supérieures à la tendance au milieu de l’année 2014 et par conséquent comme un soubresaut normal des statistiques plutôt que comme un signe précurseur d’une réduction plus importante de l’activité des entreprises. La poursuite d’un rythme soutenu des recrutements conforte à notre avis cette vision des choses.
Du fait de ces incertitudes, nous allons étroitement surveiller trois catégories d’indicateurs au cours de ces prochaines semaines. Tout d’abord, nous allons surveiller l’environnement général des prix des matières premières en recherchant des signes montrant que d’autres articles de base souffrent de la baisse de la demande. En second lieu, nous allons chercher des indices probants montrant que les entreprises deviennent moins expansionnistes. Sur le plan de l’investissement, si notre scénario s’avère exact, les commandes de biens durables devraient de nouveau progresser d’ici à la fin du premier trimestre. Plus important, une extension de la prudence des entreprises évoluant des investissements vers les recrutements constituerait une menace pour notre scénario global. Les statistiques des nouvelles demandes d’allocation de chômage, traditionnellement un excellent signal des points de retournement, joueront le rôle de l’oiseau de mauvais augure. La persistance d’un faible niveau des nouvelles inscriptions début 2015 est plutôt rassurante. Troisièmement, nous examinerons attentivement les indicateurs des dépenses de consommation, comme les ventes de détail et les statistiques de ventes de voitures pour confirmer la reprise attendue de la demande des ménages.
Notre vision de l’économie américaine (U.S.) semble cohérente avec le resserrement de la politique de la Réserve fédérale mi-2015, étant donné le recul en cours du taux de chômage. Cette perspective conforte deux de nos principales anticipations de marché : un aplatissement de la courbe des bons du Trésor américain (U.S.) et une nouvelle appréciation du dollar U.S. Les hausses de taux de la Réserve fédérale devraient pousser à la hausse les taux courts (stimulant à leur tour le dollar), l’extrémité longue de la courbe restant ancrée grâce à la faiblesse de l’inflation et à la chute des rendements internationaux. Nous prévoyons que le bon du Trésor américain (U.S.) à 10 ans devrait évoluer dans une étroite fourchette d’environ 100 points de base, approximativement entre 1,6 % et 2,6 %. Une croissance relativement forte devrait également favoriser le maintien de notre politique de surpondération en actions des grandes capitalisations américaines (U.S.).
Par Michael Hood
Réflexions diverses
- En règle générale nous considérons une baisse des prix du pétrole comme un facteur négatif pour les marchés émergents et positif pour les marchés développés, mais le coup porté aux émergents devrait affecter les classes d’actifs de façon très différente. Dans l’indice de la dette souveraine émergente, par exemple, les exportateurs de pétrole l’emportent sur les importateurs dans une proportion de deux contre un, mais les importateurs de pétrole représentent près des deux tiers de l’indice actions MSCI EM, les exportateurs étant à 26 %.
- Si le secteur de l’énergie au sein du marché high yield U.S. a enregistré un élargissement des spreads particulièrement brutal depuis octobre 2014, le reste de l’indice a également souffert. Le spread des crédits hors énergie se situe actuellement à 542 pb, soit à une distance raisonable de la moyenne de long terme et cohérente avec un taux de défaut proche de 4 %, bien supérieur à la récente tendance. Il est probable que les investisseurs attendent un mouvement de ventes technique de ces crédits résultant des pertes anticipées et réalisées dans le secteur de l’énergie.
- Au vu des chiffres du mois de décembre désormais disponibles, l’indice global aggregate PMI a évolué autour de 53,0 au cours du quatrième trimestre 2014, soit un chiffre conforme à la croissance de 2,7 % du PIB mondial, légèrement inférieur à notre estimation de 2,9 %, mais bien à l’intérieur de la marge d’erreur. La baisse de rythme de l’indice PMI au cours du trimestre reste cependant une source d’inquiétude.
Document produit par l’équipe Global Multi Asset Group de J.P. Morgan Asset Management.
Édité par David Shairp, Stratégiste.
N°3 - 8H15
UBS daily roundup - Courting bond buying
Paul Donovan daily briefing.
• The European Court of Justice rules this morning on the legality of the OMT – one of the ECB attempts to buy bonds that has fallen into obscurity now that Draghi seems likely to cast aside all pretence and buy Italian bonds in a quantitative policy measure (he'll buy other countries' bonds too).
• Inflation figures still feature – the UK saw a slowing of CPI (though RPI was as expected) with BoE governor Carney saying additional monetary stimulus was not necessary. Given that this is largely a relative price move this is obvious to most (although not necessarily the ECB).
• French and Italian consumer price inflation figures are expected to be flat in year on year terms. The United States offers import and export price inflation, which gets economists excited because of the conflicting interaction of oil, the dollar, and pricing to market strategies.
• The US Federal Reserve should publish their anecdotal Beige Book, which is worth trawling through for instances of wage pressures (especially in the higher skilled sectors), labour shortages, and just possibly elements of pricing power in the small business retail sector.
www.ubs.com/investmentbank
N°2 - 8H00
PwC anticipe 5 grandes tendances économiques mondiales pour 2015
Global Economy Watch : Predictions for 2015: The US back in the game!
Dans la dernière étude « Global Economy Watch », les experts du cabinet d’audit et de conseil PwC avancent leurs prévisions économiques pour l’année 2015 :
- Le rebond de la croissance américaine
- Le ralentissement économique de la Chine
- L’introduction d’un assouplissement quantitatif dans la zone Euro
- Le tournant économique de l’Inde
- La croissance de l’Afrique sub-saharienne, qui creuse l’écart avec la croissance mondiale
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La volatilité domine sur les marchés
Marchés actions
Sur les marchés actions, une nouvelle fois les principales bourses européennes ont sorti leur épingle du jeu, contrairement à Wall Street qui a continué à souffrir hier au sein d’une séance une nouvelle fois très volatile. Le baril pénalise à nouveau les parapétrolières, mais cette baisse handicape et se propage dorénavant à tous les compartiments des indices.
Les places européennes ont profité des rumeurs et spéculations de plus en plus insistantes sur la mise en place d’un QE au cours de la prochaine réunion de la FED, alors qu’un conseiller de la BCE a déclaré que ce programme était très avancé et la décision imminente. Cette mesure semblerait, selon les analystes, inéluctable pour relancer la croissance au sein de la zone euro. Les bourses européennes profitent donc largement de cette situation et sont dopées depuis le début de la semaine, en dépit de la chute du pétrole, qui pénalise Outre-Atlantique. Les investisseurs semblent même se détourner du vote en Grèce. Rappelons que ce nouveau vote en Grèce pourrait voir le parti anti européen et anti austérité Syriza s’imposer, et qu’une sortie de la Grèce de l’Union Européenne pourrait être envisagée.
Il est également intéressant de noter la forte volatilité sur la séance, alors que l’Europe avait commencé dans le rouge hier, plombé par la chute du baril avant de se refaire grâce à la future réunion de la BCE, qui se fera dorénavant toutes les six semaines, et non plus une fois par mois. Dans ce contexte le CAC 40 s’est adjugé 1.47% à 4 29.28 points, tout comme le Dax en progression de 1.63% à 9 941.00 points, tandis que le Footsie britannique n’affiche un gain que de 0.63% à 6 542.20 points. En effet, le Footsie est très fortement exposé aux entreprises liées à l’énergie qui, dans le contexte actuel, restent un secteur fortement pénalisé alors que Goldman Sachs voit le baril toujours plus bas à court et moyen terme.
Wall Street accusait le coup et voyait le Dow Jones concéder 0.15% à 17 613.68 points, le S&P500 0.26% à 2 023.03 points et le Nasdaq 0.07% à 4 661.50 points.
Il y a quelques dizaines de minutes, la Bourse de Tokyo abandonnait pas moins de 1.71% à 16 795.96 points, plombée par la chute de l’or noir, ce qui amène les investisseurs à s’inquiéter sur les perspectives économiques mondiales.
Dans le sillage de Wall Street et de la Bourse de Tokyo, et selon les dernières informations disponibles les principales bourses européennes sont attendues en légère baisse ce matin à l’ouverture, minées par les craintes de l’impact brutal que pourrait avoir la chute du baril sur la croissance économique mondiale, alors que la Banque Mondiale a réduit hier ses prévisions de croissances pour cette nouvelle année. La zone euro, la Chine, le Japon sont particulièrement dans le viseur. On pourrait assister à une nouvelle séance volatile, les investisseurs pesant le pour et le contre entre les prévisions de croissance négative et l’espoir de voir la BCE mettre réellement en place ce fameux programme de rachats de dettes souveraines tant attendu et espéré.
Forex
La parité phare du marché des devises progresse ce matin et cote aux encablures des 1.1806$, à la limite des 1.18$, soit en hausse de 0.27% depuis l’ouverture. Depuis le début de la semaine, la parité n’a pu sortir de son range à la hausse par le niveau des 1.1870$, le dollar américain ayant du mal à se renforcer face à l’euro mais également face à l’ensemble de ses principales contreparties. Le cours de la parité reste relativement stable depuis Lundi dans la mesure où les investisseurs restent prudents avant la prochaine réunion de la BCE la semaine prochaine et des élections en Grèce, mais devrait cependant davantage varier sur la journée d’aujourd’hui car certains indicateurs américains sont attendus. En effet, les principales ventes au détail (chiffre mensuel pour Décembre 2014) sont attendues en baisse à 0.1% contre 0.5% précédemment et le consensus des ventes au détail est également attendu en fort recul à -0.1% contre 0.7% le mois dernier. Ces chiffres, moins bons pour les Etats-Unis, pourraient entrainer une baisse du cours du billet vert au profit de la monnaie unique européenne.
Le dollar contre le yen s’échange ce matin à 117.09 yens, soit un recul de 0.67% depuis l’ouverture, après avoir encaissé une baisse de 0.42% sur le journée d’hier. En effet, la devise nippone s’apprécie et se renforce face au billet vert grâce à des chiffres plutôt encourageants, publiés depuis Lundi : le solde de la balance des paiements japonaise est meilleur qu’attendu avec une balance positive à 433 milliards de yens sur le mois de Décembre 2014. Par ailleurs, le compte courant du Japon progresse par rapport au consensus à 0.91 T contre 0.69 T attendu. L’euro de son côté s’échange aux alentours des 138.12 yens, en baisse de 0.50% ce matin.
De son côté la livre sterling reste dans son range depuis le début de la semaine face au dollar, avec un top à 1.5193$ et un niveau bas à 1.5076$. La paire s’échange ce matin à 1.5183 $, en hausse de 0.15%. Par ailleurs, le rouble continue de progresser et se négocie face au dollar à 65.87 roubles, contre 61.38 roubles au plus bas depuis le début de la semaine.
Matières premières
Le pétrole chute pour un quatrième jour d’affilé sur des plus bas de cinq ans et demi. Les Emirats arabes unis et le Koweit admettent que la surabondance de l’offre mondiale va persister au moins jusqu’à la seconde moitié de 2015.
Le contrat Février sur le WTI perdait 68 centimes à $45.21 le baril ce matin, il a clôturé hier soir à $45.89. Les volumes échangés sont toujours à 50% au-dessus de la moyenne des 100 jours. Le nombre d’échanges est très élevé déjà depuis trois jours. Le Brent lui perdait 76 centimes à $45.83 le baril. La prime entre les deux s’est quant à elle complètement rétrécie à 61 centimes jusqu’à même se retrouver négative hier en séance avec un WTI plus cher que le Brent.
Du côté des statistiques, les stocks de brut américains se sont encore accrus la semaine dernière, dans le pays, plus gros consommateur de pétrole au monde. Les stocks devraient augmentés à 384.1 millions la semaine dernière. Les données hebdomadaires du département américain de l'Energie, qui paraîtront mercredi après-midi, devraient faire état d'une hausse de 500 000 barils de brut la semaine dernière aux Etats-Unis.
Le WTI a été brièvement échangé au-dessus du Brent pour la première fois depuis juillet 2013. Un premier signe peut être que la production de schiste américaine commence à battre de l’aile face à la production massive de la péninsule arabique. La guerre économique à laquelle se livrent les acteurs pétroliers depuis un an prendra fin lorsque l’un des acteurs finira par plier. Si les prix continuent leur dégringolade, des fissures commenceront à apparaitre. Les Emirats arabes Unis semblent être sûrs d'eux en annonçant hier, que ce seront les producteurs de schiste aux Etats Unis qui ralentiront la production les premiers.
Sur les métaux précieux, l’or se maintient sur un plus haut de douze semaines alors que la Banque mondiale a réduit ses prévisions pour la croissance. L’once d’or a perdu 0.5% hier à $1225.16 et s’échangeait ce matin à $1231.59. Le métal a grimpé à $1244.29 hier, niveau le plus élevé depuis le 23 octobre, avant de perdre 0.2% face à l'euro qui s’est affaibli. L’or est donc tiraillé entre l’effet valeur refuge face au ralentissement de la croissance mondiale et sa cotation en dollar qui rend l’once moins attractive.
Saxo Banque (France)
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N°5 - 9H05
Peregrine & Black: Mid-Morning Market Comment
Good Morning Finyear Readers!
European shares are trading lower this morning with pressure coming from overseas where US and Asia closed lower overnight.
Renewed global economic growth concerns are souring the general sentiment with an not unexpected downgrade of their global growth forecast for 2015 late yesterday by the World Bank not necessarily helping matters either.
Main focus today will be on Euro-zone industrial production data and US retail sales followed by the release of the Beige Book later tonight.
Stock markets seem to be torn a bit at the moment between anticipation that the ECB will implement some form of QE as early as their next meeting on the 22nd January and increasing global growth concerns which explains the heightened intra-day volatility seen over the past few days. While nobody really wants to be too ‘short’ in the run-up of the upcoming ECB meeting very few seem to appear confident enough either to increase their ‘longs’ in major way as economic data paints a rather bleak picture especially what the Euro-zone is concerned.
While more volatility appears likely for now, the US earnings season is getting into full swing today with JPM and Wells Fargo reporting prior to the US open possibly shifting temporarily some of the focus away from the ECB and global growth concerns.
Markus Huber | Senior Sales-Trader/Senior Analyst
Peregrine & Black
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N°4 - 9H00
Robustesse de la croissance américaine, chute des prix du pétrole
Bulletin hebdomadaire JP Morgan AM (12 janvier 2015).
- La robustesse de la croissance américaine (U.S.) reste au coeur de notre vision de l’évolution du marché
- Malgré quelques déceptions sur certaines statistiques récentes, nous restons persuadés de la pertinence de nos prévisions
- La chute des prix du pétrole constitue un courant porteur pour les dépenses de consommation et devrait facilement compenser l’appréciation du dollar
Notre prévision de maintien d’une forte croissance aux Etats-Unis est au coeur de notre analyse économique et du marché. Il est donc pertinent de réévaluer en permanence cette hypothèse à la lumière des informations que nous recevons. Dans l’ensemble, et malgré quelques notes discordantes, nous estimons que les récentes évolutions renforcent nos anticipations. Nous prévoyons par conséquent une progression d’environ 3 % du PIB des Etats-Unis au cours des prochains trimestres et estimons justifiée notre surpondération en actions des grandes capitalisations américaines (U.S.), notre position acheteuse sur le dollar U.S., et notre positionnement positionnés en vue d’u aplatissement de la courbe des taux des bons du Trésor américain (U.S.).
Le rapport sur le marché de l’emploi aux Etats-Unis en décembre est rassurant. L’emploi salarié a crû de 252 000, presque exactement la progression moyenne de l’an dernier. Le détail par type d’industrie ne fait apparaître de distorsions importantes par rapport au chiffre global, mais au contraire une robustesse d’ensemble (même l’emploi minier a progressé, sans apparemment souffrir particulièrement de la chute des prix du pétrole). La combinaison de créations d’emplois et d’un léger allongement de la semaine de travail signifie que les heures travaillées au quatrième trimestre se sont accrues de 3,5 % (en variation annuelle) par rapport au troisième trimestre, annonçant une hausse satisfaisante du PIB même si la productivité reste faible. Et, même si l’inflation salariale a en réalité récemment ralenti, les ménages bénéficient de cette tendance en matière de recrutement. L’augmentation implicite des salaires des ménages au cours du quatrième trimestre (combinant emplois, salaires et heures travaillées) a évolué à un rythme annualisé de 4,4 %.
Pour ce qui concerne les fondamentaux, nous estimons que la chute des prix du pétrole est un facteur favorable pour l’économie américaine, en particulier pour les dépenses de consommation. Nous quantifions son effet de deux manières. Nous examinons d’abord l’élasticité des dépenses de consommation par rapport aux évolutions des prix du pétrole à la fin des années 1990, le plus récent choc de l’offre dans l’énergie. Au cours de cette période, le recul de 10 % des prix du pétrole était associé à une accélération des dépenses de consommation réelles d’environ 0,3 points de pourcentage. En appliquant cette relation à la chute actuelle du Brent, la consommation pourrait avoir progressé en termes réels à un rythme d’environ 4 % fin 2014. En second lieu, nous examinons la croissance supérieure à 4% des revenus salariaux totaux ci-dessus mentionnée. Nous prévoyons une tendance stable, voire en baisse, du taux d’épargne à court terme, étant donné son augmentation quelque peu surprenante au premier semestre de l’an dernier, impliquant un taux de croissance des dépenses nominales de consommation supérieur à 4%. Avec des prix de l’essence en forte baisse, l’inflation globale évolue probablement autour de zéro ou à un rythme négatif, comme le montre le chiffre de – 0,3 % en variation mensuelle du CPI en novembre.
La progression nominale des dépenses devrait ainsi se traduire presque intégralement en croissance réelle de la consommation. Ces deux argumentations laissent entrevoir de rapides progressions des dépenses de consommation. Il convient d’admettre que l’appréciation du dollar U.S. compense partiellement la bouffée d’oxygène que représente la baisse des prix du pétrole. Mais nous estimons que la seconde l’emportera sur la première, particulièrement à court terme. Le modèle de la Réserve fédérale suggère une pénalisation pour le PIB d’environ 0,25 à 0,50% qui se fera sentir plus tard en 2015. Ce facteur légèrement négatif survient cependant dans un contexte de solides bilans du secteur privé et d’un dosage macro-économique par ailleurs favorable : d’un côté, un resserrement de la politique de la Réserve fédérale mais de l’autre une évolution de la politique budgétaire s’éloignant de l’austérité pour se rapprocher de la neutralité.
Les informations récentes suggèrent trois risques pesant sur notre vision positive de la croissance aux Etats-Unis. Tout d’abord, la chute des prix du pétrole a dépassé les prévisions et pourrait annoncer une soudaine diminution de la demande, soit aux Etats-Unis, soit ailleurs. Nous continuons à nous appuyer sur l’explication émanant du côté de l’offre, étayée par la relative stabilité des prix des autres matières premières sensibles au cycle, comme le cuivre (de même que la tendance sans éclat, globalement inchangée, des données macro-économiques de l’Asie émergente globalement inchangées). En second lieu, la confiance des entreprises mesurée par les enquêtes réalisées aux Etats-Unis a reculé au cours de ces derniers mois. L’indice Markit des directeurs d’achats du secteur manufacturier a par exemple baissé de 57,9 en août à 53,9 en décembre. Au cours de ces derniers trimestres cependant, la relation entre ce type d’indicateurs et les données brutes sur la croissance, comme le PIB ou la production industrielle, s’est presque complètement délitée et nous n’attachons par conséquent désormais qu’une importance limitée aux enquêtes. Troisièmement, les dépenses d’investissement des entreprises semblent s’être ralenties au quatrième trimestre. Les commandes et les ventes de biens d’équipement ont ainsi plongé en octobre/novembre par rapport au troisième trimestre. Nous interprétons cette décélération comme un rééquilibrage par rapport à des dépenses d’investissement des entreprises supérieures à la tendance au milieu de l’année 2014 et par conséquent comme un soubresaut normal des statistiques plutôt que comme un signe précurseur d’une réduction plus importante de l’activité des entreprises. La poursuite d’un rythme soutenu des recrutements conforte à notre avis cette vision des choses.
Du fait de ces incertitudes, nous allons étroitement surveiller trois catégories d’indicateurs au cours de ces prochaines semaines. Tout d’abord, nous allons surveiller l’environnement général des prix des matières premières en recherchant des signes montrant que d’autres articles de base souffrent de la baisse de la demande. En second lieu, nous allons chercher des indices probants montrant que les entreprises deviennent moins expansionnistes. Sur le plan de l’investissement, si notre scénario s’avère exact, les commandes de biens durables devraient de nouveau progresser d’ici à la fin du premier trimestre. Plus important, une extension de la prudence des entreprises évoluant des investissements vers les recrutements constituerait une menace pour notre scénario global. Les statistiques des nouvelles demandes d’allocation de chômage, traditionnellement un excellent signal des points de retournement, joueront le rôle de l’oiseau de mauvais augure. La persistance d’un faible niveau des nouvelles inscriptions début 2015 est plutôt rassurante. Troisièmement, nous examinerons attentivement les indicateurs des dépenses de consommation, comme les ventes de détail et les statistiques de ventes de voitures pour confirmer la reprise attendue de la demande des ménages.
Notre vision de l’économie américaine (U.S.) semble cohérente avec le resserrement de la politique de la Réserve fédérale mi-2015, étant donné le recul en cours du taux de chômage. Cette perspective conforte deux de nos principales anticipations de marché : un aplatissement de la courbe des bons du Trésor américain (U.S.) et une nouvelle appréciation du dollar U.S. Les hausses de taux de la Réserve fédérale devraient pousser à la hausse les taux courts (stimulant à leur tour le dollar), l’extrémité longue de la courbe restant ancrée grâce à la faiblesse de l’inflation et à la chute des rendements internationaux. Nous prévoyons que le bon du Trésor américain (U.S.) à 10 ans devrait évoluer dans une étroite fourchette d’environ 100 points de base, approximativement entre 1,6 % et 2,6 %. Une croissance relativement forte devrait également favoriser le maintien de notre politique de surpondération en actions des grandes capitalisations américaines (U.S.).
Par Michael Hood
Réflexions diverses
- En règle générale nous considérons une baisse des prix du pétrole comme un facteur négatif pour les marchés émergents et positif pour les marchés développés, mais le coup porté aux émergents devrait affecter les classes d’actifs de façon très différente. Dans l’indice de la dette souveraine émergente, par exemple, les exportateurs de pétrole l’emportent sur les importateurs dans une proportion de deux contre un, mais les importateurs de pétrole représentent près des deux tiers de l’indice actions MSCI EM, les exportateurs étant à 26 %.
- Si le secteur de l’énergie au sein du marché high yield U.S. a enregistré un élargissement des spreads particulièrement brutal depuis octobre 2014, le reste de l’indice a également souffert. Le spread des crédits hors énergie se situe actuellement à 542 pb, soit à une distance raisonable de la moyenne de long terme et cohérente avec un taux de défaut proche de 4 %, bien supérieur à la récente tendance. Il est probable que les investisseurs attendent un mouvement de ventes technique de ces crédits résultant des pertes anticipées et réalisées dans le secteur de l’énergie.
- Au vu des chiffres du mois de décembre désormais disponibles, l’indice global aggregate PMI a évolué autour de 53,0 au cours du quatrième trimestre 2014, soit un chiffre conforme à la croissance de 2,7 % du PIB mondial, légèrement inférieur à notre estimation de 2,9 %, mais bien à l’intérieur de la marge d’erreur. La baisse de rythme de l’indice PMI au cours du trimestre reste cependant une source d’inquiétude.
Document produit par l’équipe Global Multi Asset Group de J.P. Morgan Asset Management.
Édité par David Shairp, Stratégiste.
N°3 - 8H15
UBS daily roundup - Courting bond buying
Paul Donovan daily briefing.
• The European Court of Justice rules this morning on the legality of the OMT – one of the ECB attempts to buy bonds that has fallen into obscurity now that Draghi seems likely to cast aside all pretence and buy Italian bonds in a quantitative policy measure (he'll buy other countries' bonds too).
• Inflation figures still feature – the UK saw a slowing of CPI (though RPI was as expected) with BoE governor Carney saying additional monetary stimulus was not necessary. Given that this is largely a relative price move this is obvious to most (although not necessarily the ECB).
• French and Italian consumer price inflation figures are expected to be flat in year on year terms. The United States offers import and export price inflation, which gets economists excited because of the conflicting interaction of oil, the dollar, and pricing to market strategies.
• The US Federal Reserve should publish their anecdotal Beige Book, which is worth trawling through for instances of wage pressures (especially in the higher skilled sectors), labour shortages, and just possibly elements of pricing power in the small business retail sector.
www.ubs.com/investmentbank
N°2 - 8H00
PwC anticipe 5 grandes tendances économiques mondiales pour 2015
Global Economy Watch : Predictions for 2015: The US back in the game!
Dans la dernière étude « Global Economy Watch », les experts du cabinet d’audit et de conseil PwC avancent leurs prévisions économiques pour l’année 2015 :
- Le rebond de la croissance américaine
- Le ralentissement économique de la Chine
- L’introduction d’un assouplissement quantitatif dans la zone Euro
- Le tournant économique de l’Inde
- La croissance de l’Afrique sub-saharienne, qui creuse l’écart avec la croissance mondiale
Lire la suite
N°1 - 7H15
À fin octobre, le nombre de défaillances enregistrées sur les douze derniers mois augmente de 0,9 %
- A fin octobre, le cumul sur 12 mois du nombre de défaillances s’est élevé à 63 254, soit une hausse de + 0,9 % par rapport à octobre 2013.
- Les défaillances cumulées progressent encore de 1,4 % dans les microentreprises, mais reculent dans toutes les autres catégories d’entreprises (- 6,5 % pour les autres PME et - 15,7 % pour les ETI et grandes entreprises).
- Les encours de crédits associés aux défaillances représentent environ 0,5 % du total des encours de crédit déclarés au Service central des Risques de la Banque de France.
À fin octobre, le nombre de défaillances enregistrées sur les douze derniers mois augmente de 0,9 %
- A fin octobre, le cumul sur 12 mois du nombre de défaillances s’est élevé à 63 254, soit une hausse de + 0,9 % par rapport à octobre 2013.
- Les défaillances cumulées progressent encore de 1,4 % dans les microentreprises, mais reculent dans toutes les autres catégories d’entreprises (- 6,5 % pour les autres PME et - 15,7 % pour les ETI et grandes entreprises).
- Les encours de crédits associés aux défaillances représentent environ 0,5 % du total des encours de crédit déclarés au Service central des Risques de la Banque de France.
Corporate Finance : commentaires du jour
L'actu Corporate Finance par FinActu:
- Edmond de Rothschild Investment Partner en passe de racheter le Groupe Eurogiciel 13/01/2015
- Omnes Capital accompagne Eratome Groupe dans sa stratégie de build-up avec l’acquisition de TPM, spécialisée dans les chantiers publics d’aménagement extérieur 13/01/2015
- PwC anticipe 5 grandes tendances économiques mondiales pour 2015 13/01/2015
- Cession de l’intégralité de la participation de Jean-François Fourt dans la société Truffle Capital 13/01/2015
- Tronics Microsystems annonce l’enregistrement de son document de base 13/01/2015
- Midi Capital accompagne la transmission du groupe LMS 13/01/2015
- Team Trade s’adosse à l’indo-américain Synechron 13/01/2015
- Avenir Finance reprend l’activité de Gemofis 13/01/2015
- Somfy finalise la cession de sa participation dans CIAT pour 117 M€ 13/01/2015
- Reinhart Marville Torre accompagne Groupe Express Roularta dans l’acquisition de la société Decovery 13/01/2015
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- Edmond de Rothschild Investment Partner en passe de racheter le Groupe Eurogiciel 13/01/2015
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TAUX D'INTERET LEGAL
Le taux d'intérêt légal 2014 reste inchangé par rapport à 2013. Il demeure fixé à 0,04%.
Par Décret n° 2014-98 du 4 février 2014 (J.O. du 6 février) le taux de l'intérêt légal est fixé à 0,04 % pour l'année 2014.
Rappelons que :
- En 2013, il était de 0,04%
- En 2012, il était de 0,71%
- En 2011, il était de 0,38%
- En 2010, il était de 0,65%
- En 2009, il était de 3,79%
- En 2008, il était de 3,99%
- En 2007, il était de 2,95 %
Lisez notre article "Taux d'intérêt légal et taux interbancaires (définitions et historiques)" en suivant ce lien
Par Décret n° 2014-98 du 4 février 2014 (J.O. du 6 février) le taux de l'intérêt légal est fixé à 0,04 % pour l'année 2014.
Rappelons que :
- En 2013, il était de 0,04%
- En 2012, il était de 0,71%
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- En 2010, il était de 0,65%
- En 2009, il était de 3,79%
- En 2008, il était de 3,99%
- En 2007, il était de 2,95 %
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TAUX INTERBANCAIRES
Taux quotidiens (Mise à jour quotidienne, tableau fourni par la Banque de France)
+
Moyennes mensuelles (Mise à jour mensuelle, tableau fourni par la Banque de France)
* Moyennes calculées avec le nombre de jours calendaires du mois
+
Moyennes mensuelles (Mise à jour mensuelle, tableau fourni par la Banque de France)
* Moyennes calculées avec le nombre de jours calendaires du mois
Notes :
- Euro Overnight Index Average (EONIA) : taux calculé par la BCE et diffusé par la FBE (Fédération Bancaire de l'Union Européenne). Il résulte de la moyenne pondérée de toutes les transactions au jour le jour de prêts non garantis réalisées par les banques retenues pour le calcul de l'euribor.
- Euro Interbank Offered Rate (EURIBOR) : taux interbancaire offert entre banques de meilleures signatures pour la rémunération de dépôts dans la zone euro. Il est calculé en effectuant une moyenne quotidienne des taux prêteurs sur 13 échéances communiqués par un échantillon de 57 établissements bancaires les plus actifs de la zone Euro. Il est calculé sur la base de 360 jours et est diffusé à 11h le matin si au moins 50% des établissements constituant l'échantillon ont effectivement fourni une contribution. La moyenne est effectuée après élimination des 15% de cotation extrêmes (le nombre éliminé est toujours arrondi) et exprimée avec trois décimales.
Tableaux et historiques des TAUX D'INTERET DU MARCHE INTERBANCAIRE DE LA ZONE EURO édités par la Banque de France
- Euro Overnight Index Average (EONIA) : taux calculé par la BCE et diffusé par la FBE (Fédération Bancaire de l'Union Européenne). Il résulte de la moyenne pondérée de toutes les transactions au jour le jour de prêts non garantis réalisées par les banques retenues pour le calcul de l'euribor.
- Euro Interbank Offered Rate (EURIBOR) : taux interbancaire offert entre banques de meilleures signatures pour la rémunération de dépôts dans la zone euro. Il est calculé en effectuant une moyenne quotidienne des taux prêteurs sur 13 échéances communiqués par un échantillon de 57 établissements bancaires les plus actifs de la zone Euro. Il est calculé sur la base de 360 jours et est diffusé à 11h le matin si au moins 50% des établissements constituant l'échantillon ont effectivement fourni une contribution. La moyenne est effectuée après élimination des 15% de cotation extrêmes (le nombre éliminé est toujours arrondi) et exprimée avec trois décimales.
Tableaux et historiques des TAUX D'INTERET DU MARCHE INTERBANCAIRE DE LA ZONE EURO édités par la Banque de France
Taux de référence des bons du Trésor et OAT
Taux quotidiens (Mise à jour quotidienne, tableau fourni par la Banque de France)
+
Moyennes mensuelles (Mise à jour mensuelle, tableau fourni par la Banque de France)
* Moyennes calculées avec le nombre de jours calendaires du mois
Tableaux et historiques des taux de référence des bons du Trésor et OAT édités par la Banque de France
+
Moyennes mensuelles (Mise à jour mensuelle, tableau fourni par la Banque de France)
* Moyennes calculées avec le nombre de jours calendaires du mois
Tableaux et historiques des taux de référence des bons du Trésor et OAT édités par la Banque de France
INDICES OBLIGATAIRES
Indices Quotidiens TEC-N (Mise à jour quotidienne, tableau fourni par la Banque de France)
Description : L’indice quotidien CNO-TEC n, Taux de l’Echéance Constante n ans, pour n variant de 1 à 30, est le taux de rendement actuariel d’une valeur du Trésor fictive dont la durée de vie serait à chaque instant égale à n années.
Ce taux est obtenu par interpolation linéaire entre les taux de rendement actuariels annuels des 2 valeurs du Trésor qui encadrent au plus proche la maturité n.
Les historiques, réunis en un seul fichier, sont accessibles ici sur le site de la Banque de France.
Description : L’indice quotidien CNO-TEC n, Taux de l’Echéance Constante n ans, pour n variant de 1 à 30, est le taux de rendement actuariel d’une valeur du Trésor fictive dont la durée de vie serait à chaque instant égale à n années.
Ce taux est obtenu par interpolation linéaire entre les taux de rendement actuariels annuels des 2 valeurs du Trésor qui encadrent au plus proche la maturité n.
Les historiques, réunis en un seul fichier, sont accessibles ici sur le site de la Banque de France.
Indices Hebdomadaires (Mise à jour hebdomadaire, tableau fourni par la Banque de France)
Notice : (description et calcul)
THO : Taux hebdomadaire du marché primaire des émissions à plus de 7 ans (TEC 10 +0,25%)
THE : Taux hebdomadaire des emprunts d'Etat ayant une échéance de plus de 7 ans (TEC 10 +0,05%)
FELT : Rendement secondaire des emprunts d'Etat à plus de 7 ans (TEC 10 +0,05%)
FECT : Rendement secondaire des emprunts d'Etat entre 3 et 7 ans (TEC 5 +0,05%)
PRLT : Rendement secondaire des emprunts du secteur privé à plus de 7 ans (TEC 10 +0,25%)
PUCT : Rendement secondaire des emprunts du secteur public de 3 à 7 ans (TEC 5 +0,25%)
PULT : Rendement secondaire des emprunts du secteur public à plus de 7 ans (TEC 10 +0,25%)
Les historiques, réunis en un seul fichier, sont accessibles ici sur le site de la Banque de France.
Notice : (description et calcul)
THO : Taux hebdomadaire du marché primaire des émissions à plus de 7 ans (TEC 10 +0,25%)
THE : Taux hebdomadaire des emprunts d'Etat ayant une échéance de plus de 7 ans (TEC 10 +0,05%)
FELT : Rendement secondaire des emprunts d'Etat à plus de 7 ans (TEC 10 +0,05%)
FECT : Rendement secondaire des emprunts d'Etat entre 3 et 7 ans (TEC 5 +0,05%)
PRLT : Rendement secondaire des emprunts du secteur privé à plus de 7 ans (TEC 10 +0,25%)
PUCT : Rendement secondaire des emprunts du secteur public de 3 à 7 ans (TEC 5 +0,25%)
PULT : Rendement secondaire des emprunts du secteur public à plus de 7 ans (TEC 10 +0,25%)
Les historiques, réunis en un seul fichier, sont accessibles ici sur le site de la Banque de France.
Indices mensuels (Mise à jour mensuelle, tableau fourni par la Banque de France)
Description :
TMO : Moyenne arithmétique des THO du mois
TMB : Moyenne arithmétique des THB du mois ( THB = Taux Hebdomadaire d'adjudication des Bons du trésor à 13 semaines)
TME : Moyenne arithmétique des THE du mois
Les historiques, réunis en un seul fichier, sont accessibles ici sur le site de la Banque de France.
Tableaux et historiques des INDICES OBLIGATAIRES édités par la Banque de France
Description :
TMO : Moyenne arithmétique des THO du mois
TMB : Moyenne arithmétique des THB du mois ( THB = Taux Hebdomadaire d'adjudication des Bons du trésor à 13 semaines)
TME : Moyenne arithmétique des THE du mois
Les historiques, réunis en un seul fichier, sont accessibles ici sur le site de la Banque de France.
Tableaux et historiques des INDICES OBLIGATAIRES édités par la Banque de France
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