Ces relations personnelles et à haut niveau sont un vecteur unique de développement de relations d’affaires solides et de grande ampleur : rien ne remplace les relations établies en FACE-à-FACE et dans un cadre exclusif (FACE représente aussi les initiales de la French American Conference of Entrepreneurs).
En perspective de cette conférence, CFO-news lance avec The Triana Group, Inc., l’un des sponsors et membres fondateurs de ce réseau exclusif de dirigeants, une série d’entretiens permettant aux lecteurs de CFO-news d’alimenter leur réflexion au sujet du marché nord-américain et de préparer leur participation éventuelle à New York.
ALORS QUE LA CRISE BAT SON PLEIN, QUE LES INCERTITUDES DOMINENT, QUE LES LIQUIDITES MANQUENT DRASTIQUEMENT; UNE PME EUROPEENNE PEUT ELLE ENCORE ENVISAGER DE FAIRE UNE PERCEE SUR LE MARCHE AMERICAIN ?
Le contexte : Cette crise est alimentée en partie par une crise de confiance à court-terme ; cette situation va-t-elle durer ou les signes et les données soutiennent-ils l’idée d’une reprise à moyen terme d’une forte confiance en l’avenir ?
Une situation actuelle encore centrée sur la crispation
Les nombreux dirigeants d’entreprises de l’économie réelle consultés par The Triana Group, Inc. dans le cadre de son baromètre des entreprises innovantes à forte croissance confirment une situation de crispation, qu’ils sont les premiers à regretter mais qu’ils sont obligés de suivre soit sous la pression de leurs investisseurs soit par prudence.
La complexité et la prolifération des instruments financiers ont contribué à déconnecter la sphère financière de la réalité, explique Gilles Pouzenc, directeur financier de TEMIS, une PME à forte croissance internationale. La difficulté croissante à évaluer ces instruments et, aujourd’hui encore à mesurer l’ampleur de leurs ramifications, nourri l’incertitude générale et conduit à des comportements irrationnels à un niveau global. L’asymétrie d’information mène à des scénarios défavorables : un faible choc de liquidité a incité et incite encore les détenteurs de liquidité à ne pas s’en dessaisir, et accentue ainsi le cercle vicieux de la pénurie.
Cependant, Jacques-Olivier d’Halluin, CFO de The Triana Group, Inc., constate qu’après six mois d’attentisme, les interlocuteurs sont de plus en plus nombreux à réfléchir et à préparer leurs prochaines actions, face aux mouvements qu’engendrent les reconfigurations en cours de pans industriels entiers.
Il y aura une reprise de la confiance et de la croissance
Si la crise bouleverse l’économie à court terme, elle joue déjà un rôle de régulateur à plus long terme. La crise est le révélateur des déséquilibres et tend à les corriger de manière brutale. Il est probable, notamment que la crise parvienne à diversifier l’activité économique qui gravitait indéniablement de manière disproportionnée autour des services financiers ces dernières années en défaveur parfois de l’économie réelle. Ainsi le paysage financier change rapidement offrant certainement de nouvelles opportunités derrière ce chaos apparent. A la notion de crise s’ajoute celle de reconstruction. Le redémarrage de l’économie dépend de la capacité de chaque pays et de chaque entreprise à rebondir, à se positionner pendant cette phase d’immobilisme afin de profiter le mieux possible de la relance.
« L’Amérique est un pays d’entrepreneurs, elle a déjà fait preuve de sa grande capacité de rebond » fait remarquer Diana Torres, dont le rôle est de veiller a la compétitivité de New York au sein du New York Partnership. En effet, le marché des risqueurs de capital est plus actif aux USA que n’importe où ailleurs et bien équipé pour faire face à un environnement incertain.
En outre, le pragmatisme et la flexibilité américaine conduisent à une série de mesures dont l’impact reste encore peu visible mais qui mèneront probablement en quelques années à une nouvelle période de très forte croissance : l’investissement de l’Etat américain dans la relance de l’économie ne servira pas qu’à sauvegarder et rénover certaines industries anciennes ; il canalisera aussi des budgets très importants dans les institutions de R&D et dans les infrastructures.
Si les chiffres publics concernant le plan de relance avoisinent les 800 milliards de dollars, selon les modes de calcul l’investissement dans la relance est très nettement plus fort. Ces seuls 800 milliards de dollars sont supérieur aux PIBs de la plupart des pays du monde. C’est l’équivalent de toute l’économie sud-coréenne, belge, suisse, suédoise, ou saoudienne, qui est injectée et donnera naissance à des opportunités de marché considérables.
Ainsi, l'Amérique, forte de son vaste marché unique représentant encore un PIB proche de 14000 milliards de dollars, de sa flexibilité et sa capacité de rebond, reste un des principaux pays à inspirer confiance. La remontée du dollar serait révélatrice de la confiance envers la perspective du rebond.
Les solutions : Comment une PME peut-elle préparer la reprise du marché américain et miser sur une très forte croissance à plus long terme, en l’absence actuelle de capitaux pour investir ?
Si les USA demeurent un pays d'entrepreneurs, chacun s'accorde à rappeler la méfiance des investisseurs qui contribuent au ralentissement de l’activité. L'accélérateur de développement que constituait le marché américain est affaibli : on ne trouve plus aux Etats-Unis la même ampleur de capitaux qu’il y a quelques années pour financer des projets de croissance ambitieux.
Ainsi, alors que les possibilités traditionnelles de financement semblent réduites par la crise, est-il encore possible pour une PME européenne de financer son développement sur les USA ?
Oui, car même de modestes capitaux peuvent aujourd’hui permettre de prendre des positions solides sur le marché américain. La crise du marché américain facilite la prise de participation, le rachat d'entreprises mais aussi le recrutement de personnes hautement qualifiées à des prix historiquement bas. Cette situation ne durera pas, et les implantations d’aujourd’hui à des niveaux de valorisation très bas feront sans doute certaines des grandes fortunes de la prochaine décennie.
Le gouvernement français et les régions sont fortement engagées à soutenir le développement international des PMEs. De plus, « les aides restant fortes en temps de crise, l'état a tendance à jouer un rôle contracylique renforçant ainsi l'effet de levier (des aides) » ; précise Didier Chaton, responsable d'OSEO innovation. L'accompagnement des PMEs innovantes à l'international est au cœur de la réforme du dispositif public d'aide à l'export. C'est pourquoi les institutions comme OSEO, établissement public spécialisé dans le soutien à l'innovation et à la croissance des PMEs, ou la COFACE, agence destinée à assurer les risques liés à l'exportation des entreprises françaises , renforcent leurs liens au bénéfice des entreprises afin d'offrir de nouveaux services de financement et de garantie à l'export (avances remboursables, prêts a taux préférentiel, crédits d'impôts).
OSEO propose l'APTI (Aide au Partenariat Technologique International) et cherche à faciliter la participation des PMEs à des projets collaboratifs de R&D ou d'innovation entre partenaires internationaux. Ces accords de coopération peuvent aboutir à la création d'une filiale.
De nouvelles mesures de défiscalisation ont été prises par le gouvernement, dans le cadre de la loi TEPA, afin d’encourager l’investissement dans les PMEs. Arnaud Mourier, Associé du cabinet Taj (membre du réseau Deloitte), explique que les contribuables assujettis à l’ISF peuvent bénéficier d’un avantage fiscal en investissant, soit au capital de PMEs de manière directe ou indirecte (via une holding) - la réduction est alors de 75% des versements, limitée a 50 000 euros- soit en investissant via un FCPI (fonds commun de placement dans l’innovation) - le souscripteur peut alors bénéficier d’une réduction d’ISF plafonnée à 20 000 euros par an, correspondant à 50% des versements, en proportion de la partie de l’actif éligible au FCPI, ainsi que d’une réduction d’impôt sur le revenu s’élevant à 25% des versements (dans la limite de 24 000 Euros pour un couple, soit 6 000 Euros d’impôt), sur la partie non éligible.
Le gouvernement américain offre également des alternatives de crédit, notamment à travers le programme fédéral de crédit pour les PME (Small Business Administration Loan, SBA loan) et plus spécifiquement, pour les entreprises innovantes, au travers du Small Business Technology Transfer (STTR) Program, ainsi que du Small Business Innovation Research (SBIR) Program ou d’institutions telles que le National Institutes of Health (NIH). La plupart de ces aides sont réservées aux entreprises à majorité de capitaux américains (même si certains programmes sont ouverts à d’autres) ce qui rend utiles les partenariats ou les prises de participations minoritaires conditionnées par une forte collaboration stratégique.
Les solutions de financement institutionnelles ne sont pas les seules, il existe d'autres mécanismes : financement par une banque ; financement via une simple avance de fonds par la maison mère a sa filiale américaine (prêt remboursable); financement par un fonds d'investissement ou un groupe de private equity. Les possibilités de financement continuent d’exister pour les PMEs déjà bien établies en France et cherchant à financer de nouvelles parts de marché aux Etats-Unis.
Enfin, il reste de nombreuses solutions peu mobilisatrices de capitaux, par le biais de partenariats ou de développements organiques. Parallèlement aux nouvelles tentatives des vieilles institutions du secteur, certaines solutions portées par les acteurs non traditionnels tels que TRIANA LABS et d’autres émergent rapidement. C’est ainsi que le système de vente en ligne par marketing viral de la société Xinek.com est parvenu à susciter l’attention sur le marché américain sur un marché pourtant hyper compétitif. De telles solutions permettent aux PMEs d’allier les contraintes de prudence financière et de méthode d’action à celles de dynamique commerciale et de construction stratégique en testant leur modèle de développement nord-américain, en remportant leurs premières grandes références sur le marché, et en commençant à gagner du terrain en préparation à la reprise.
M. Boissier
www.face-newyork.com
CFO-news est partenaire-presse de FACE 2009.
En perspective de cette conférence, CFO-news lance avec The Triana Group, Inc., l’un des sponsors et membres fondateurs de ce réseau exclusif de dirigeants, une série d’entretiens permettant aux lecteurs de CFO-news d’alimenter leur réflexion au sujet du marché nord-américain et de préparer leur participation éventuelle à New York.
ALORS QUE LA CRISE BAT SON PLEIN, QUE LES INCERTITUDES DOMINENT, QUE LES LIQUIDITES MANQUENT DRASTIQUEMENT; UNE PME EUROPEENNE PEUT ELLE ENCORE ENVISAGER DE FAIRE UNE PERCEE SUR LE MARCHE AMERICAIN ?
Le contexte : Cette crise est alimentée en partie par une crise de confiance à court-terme ; cette situation va-t-elle durer ou les signes et les données soutiennent-ils l’idée d’une reprise à moyen terme d’une forte confiance en l’avenir ?
Une situation actuelle encore centrée sur la crispation
Les nombreux dirigeants d’entreprises de l’économie réelle consultés par The Triana Group, Inc. dans le cadre de son baromètre des entreprises innovantes à forte croissance confirment une situation de crispation, qu’ils sont les premiers à regretter mais qu’ils sont obligés de suivre soit sous la pression de leurs investisseurs soit par prudence.
La complexité et la prolifération des instruments financiers ont contribué à déconnecter la sphère financière de la réalité, explique Gilles Pouzenc, directeur financier de TEMIS, une PME à forte croissance internationale. La difficulté croissante à évaluer ces instruments et, aujourd’hui encore à mesurer l’ampleur de leurs ramifications, nourri l’incertitude générale et conduit à des comportements irrationnels à un niveau global. L’asymétrie d’information mène à des scénarios défavorables : un faible choc de liquidité a incité et incite encore les détenteurs de liquidité à ne pas s’en dessaisir, et accentue ainsi le cercle vicieux de la pénurie.
Cependant, Jacques-Olivier d’Halluin, CFO de The Triana Group, Inc., constate qu’après six mois d’attentisme, les interlocuteurs sont de plus en plus nombreux à réfléchir et à préparer leurs prochaines actions, face aux mouvements qu’engendrent les reconfigurations en cours de pans industriels entiers.
Il y aura une reprise de la confiance et de la croissance
Si la crise bouleverse l’économie à court terme, elle joue déjà un rôle de régulateur à plus long terme. La crise est le révélateur des déséquilibres et tend à les corriger de manière brutale. Il est probable, notamment que la crise parvienne à diversifier l’activité économique qui gravitait indéniablement de manière disproportionnée autour des services financiers ces dernières années en défaveur parfois de l’économie réelle. Ainsi le paysage financier change rapidement offrant certainement de nouvelles opportunités derrière ce chaos apparent. A la notion de crise s’ajoute celle de reconstruction. Le redémarrage de l’économie dépend de la capacité de chaque pays et de chaque entreprise à rebondir, à se positionner pendant cette phase d’immobilisme afin de profiter le mieux possible de la relance.
« L’Amérique est un pays d’entrepreneurs, elle a déjà fait preuve de sa grande capacité de rebond » fait remarquer Diana Torres, dont le rôle est de veiller a la compétitivité de New York au sein du New York Partnership. En effet, le marché des risqueurs de capital est plus actif aux USA que n’importe où ailleurs et bien équipé pour faire face à un environnement incertain.
En outre, le pragmatisme et la flexibilité américaine conduisent à une série de mesures dont l’impact reste encore peu visible mais qui mèneront probablement en quelques années à une nouvelle période de très forte croissance : l’investissement de l’Etat américain dans la relance de l’économie ne servira pas qu’à sauvegarder et rénover certaines industries anciennes ; il canalisera aussi des budgets très importants dans les institutions de R&D et dans les infrastructures.
Si les chiffres publics concernant le plan de relance avoisinent les 800 milliards de dollars, selon les modes de calcul l’investissement dans la relance est très nettement plus fort. Ces seuls 800 milliards de dollars sont supérieur aux PIBs de la plupart des pays du monde. C’est l’équivalent de toute l’économie sud-coréenne, belge, suisse, suédoise, ou saoudienne, qui est injectée et donnera naissance à des opportunités de marché considérables.
Ainsi, l'Amérique, forte de son vaste marché unique représentant encore un PIB proche de 14000 milliards de dollars, de sa flexibilité et sa capacité de rebond, reste un des principaux pays à inspirer confiance. La remontée du dollar serait révélatrice de la confiance envers la perspective du rebond.
Les solutions : Comment une PME peut-elle préparer la reprise du marché américain et miser sur une très forte croissance à plus long terme, en l’absence actuelle de capitaux pour investir ?
Si les USA demeurent un pays d'entrepreneurs, chacun s'accorde à rappeler la méfiance des investisseurs qui contribuent au ralentissement de l’activité. L'accélérateur de développement que constituait le marché américain est affaibli : on ne trouve plus aux Etats-Unis la même ampleur de capitaux qu’il y a quelques années pour financer des projets de croissance ambitieux.
Ainsi, alors que les possibilités traditionnelles de financement semblent réduites par la crise, est-il encore possible pour une PME européenne de financer son développement sur les USA ?
Oui, car même de modestes capitaux peuvent aujourd’hui permettre de prendre des positions solides sur le marché américain. La crise du marché américain facilite la prise de participation, le rachat d'entreprises mais aussi le recrutement de personnes hautement qualifiées à des prix historiquement bas. Cette situation ne durera pas, et les implantations d’aujourd’hui à des niveaux de valorisation très bas feront sans doute certaines des grandes fortunes de la prochaine décennie.
Le gouvernement français et les régions sont fortement engagées à soutenir le développement international des PMEs. De plus, « les aides restant fortes en temps de crise, l'état a tendance à jouer un rôle contracylique renforçant ainsi l'effet de levier (des aides) » ; précise Didier Chaton, responsable d'OSEO innovation. L'accompagnement des PMEs innovantes à l'international est au cœur de la réforme du dispositif public d'aide à l'export. C'est pourquoi les institutions comme OSEO, établissement public spécialisé dans le soutien à l'innovation et à la croissance des PMEs, ou la COFACE, agence destinée à assurer les risques liés à l'exportation des entreprises françaises , renforcent leurs liens au bénéfice des entreprises afin d'offrir de nouveaux services de financement et de garantie à l'export (avances remboursables, prêts a taux préférentiel, crédits d'impôts).
OSEO propose l'APTI (Aide au Partenariat Technologique International) et cherche à faciliter la participation des PMEs à des projets collaboratifs de R&D ou d'innovation entre partenaires internationaux. Ces accords de coopération peuvent aboutir à la création d'une filiale.
De nouvelles mesures de défiscalisation ont été prises par le gouvernement, dans le cadre de la loi TEPA, afin d’encourager l’investissement dans les PMEs. Arnaud Mourier, Associé du cabinet Taj (membre du réseau Deloitte), explique que les contribuables assujettis à l’ISF peuvent bénéficier d’un avantage fiscal en investissant, soit au capital de PMEs de manière directe ou indirecte (via une holding) - la réduction est alors de 75% des versements, limitée a 50 000 euros- soit en investissant via un FCPI (fonds commun de placement dans l’innovation) - le souscripteur peut alors bénéficier d’une réduction d’ISF plafonnée à 20 000 euros par an, correspondant à 50% des versements, en proportion de la partie de l’actif éligible au FCPI, ainsi que d’une réduction d’impôt sur le revenu s’élevant à 25% des versements (dans la limite de 24 000 Euros pour un couple, soit 6 000 Euros d’impôt), sur la partie non éligible.
Le gouvernement américain offre également des alternatives de crédit, notamment à travers le programme fédéral de crédit pour les PME (Small Business Administration Loan, SBA loan) et plus spécifiquement, pour les entreprises innovantes, au travers du Small Business Technology Transfer (STTR) Program, ainsi que du Small Business Innovation Research (SBIR) Program ou d’institutions telles que le National Institutes of Health (NIH). La plupart de ces aides sont réservées aux entreprises à majorité de capitaux américains (même si certains programmes sont ouverts à d’autres) ce qui rend utiles les partenariats ou les prises de participations minoritaires conditionnées par une forte collaboration stratégique.
Les solutions de financement institutionnelles ne sont pas les seules, il existe d'autres mécanismes : financement par une banque ; financement via une simple avance de fonds par la maison mère a sa filiale américaine (prêt remboursable); financement par un fonds d'investissement ou un groupe de private equity. Les possibilités de financement continuent d’exister pour les PMEs déjà bien établies en France et cherchant à financer de nouvelles parts de marché aux Etats-Unis.
Enfin, il reste de nombreuses solutions peu mobilisatrices de capitaux, par le biais de partenariats ou de développements organiques. Parallèlement aux nouvelles tentatives des vieilles institutions du secteur, certaines solutions portées par les acteurs non traditionnels tels que TRIANA LABS et d’autres émergent rapidement. C’est ainsi que le système de vente en ligne par marketing viral de la société Xinek.com est parvenu à susciter l’attention sur le marché américain sur un marché pourtant hyper compétitif. De telles solutions permettent aux PMEs d’allier les contraintes de prudence financière et de méthode d’action à celles de dynamique commerciale et de construction stratégique en testant leur modèle de développement nord-américain, en remportant leurs premières grandes références sur le marché, et en commençant à gagner du terrain en préparation à la reprise.
M. Boissier
www.face-newyork.com
CFO-news est partenaire-presse de FACE 2009.