Eurasian Resources Group (ERG) est un groupe de production minière naturelle à l’échelle globale. Le géant s’apprête à investir 1 milliard de dollars dans le projet de construction portuaire de Porto Sul au Brésil.
Le Président du groupe ERG, Benedikt Sobotka, prévoit que le nouveau super port sera capable de gérer 40 T annuelles de minerais, et par la suite faire profiter de ses nouvelles infrastructures l’industrie agricole brésilienne, qui pourra exporter des céréales et importer des engrais.
Implantée au Kazakhstan et au Brésil notamment, du moins pour ce qui est de sa production de minerais de fer, ERG estime que le marché en général se porte bien, et que les perspectives pour la production de minerais de qualité sont très prometteuses.
C’est dans ce contexte que Pedra de Ferro n’en est qu’à ses débuts, et des débuts très prometteurs, toujours selon le Président Sobotka.
« Notre partenariat sans précédent avec le gouvernement de l’état de Bahia au Brésil nous permet de travailler étroitement avec les populations locales pour préparer le site à la construction du futur port ».
Le projet Pedra de Ferro hissera Bahia au troisième rang des producteurs de minerais de fer au Brésil. Porto Sul lui permettra d’acheminer sa production vers les marchés du globe.
Porto Sul sera également partenaire de Ferrovia de Integração Oeste Leste (FIOL), le réseau de chemin de fer, pour mettre en place une infrastructure unique, avec des frais de fonctionnement à l’économie, pour faire la passerelle entre les marchés globaux et Bahia et ses régions voisines.
Le Président du groupe ERG met en avant le profit que retireront de ce projet les entreprises déjà en place, ainsi que les futures entreprises de la région, dans le secteur minier ou agricole. « Ce projet portuaire a la capacité de créer 30 000 emplois, directs et indirects, ne serait-ce que dans sa phase de construction. Les opérations quant à elles devraient employer à l’avenir quelque 10 000 postes, de près ou de loin ».
Les études préliminaires ont débuté le mois dernier, incluant les accès et la sécurisation du chantier.
Si tout se passe selon les projections du groupe, Porto Sul devrait voir le jour dans 3 à 4 années, en même temps que le réseau ferroviaire FIOL et la mine Pedra de Ferro auront atteint leurs pleines capacités. Les échéances et le respect du calendrier dépendent uniquement de la bonne marche de la concession du réseau ferré.
« ERG veut faire au Brésil ce qu’elle fait ailleurs : se distinguer en tant que producteur indépendant de minerais de fer supérieur, et Pedra de Ferro sera son étendard. Il sera la pierre fondatrice d’une opération sur de nombreuses années à venir, avec le développement durable à cœur, pour fournir à l’industrie de l’acier une source alternative et intéressante ».
Minerais de fer
« L’industrie du minerai de fer doit affronter un manque de ressources, qui trouve sa cause en Chine. Les mines de fer chinoises achètent en grande quantité du minerai de fer pour combler leurs ressources avant que le marché ne devienne trop impénétrable », commente le Président Sobotka.
Selon lui, la Chine qui produit plus de la moitié de l’acier à l’échelle planétaire et 70 % du minerai de fer marin connaît une situation sans précédent, de demande largement supérieure à l’offre qu’elle est capable de fournir. Et ce depuis environ 3 ans. Ce qui a pour conséquence de faire grimper les prix.
« L’attention soulignée portée au contrôle environnemental oblige la Chine à se tourner vers des minerais de qualité supérieure, plutôt que de recourir à sa production nationale. Le record de demande en minerais a atteint un chiffre impressionnant en mai dernier, au paroxysme de la consommation de minerais du pays. En parallèle, la nécessité pour la Chine de recourir à du minerai de qualité pour réduire les émissions de CO2 devrait se poursuivre à moyen, et probablement à long terme ».
La production d’acier est en pleine croissance, dévorant environ 150 millions T annuelles supplémentaires de minerais de fer. Cependant la production de minerais est à la baisse d’environ 80 millions de T, si on regarde du côté des plus gros fournisseurs du marché. C’est là que les nouveaux projets, forts de leurs 120 millions de tonnes, prennent l’avantage, alors qu’il reste une demande de 110 millions de tonnes supplémentaires à produire si l’on veut atteindre la stabilité entre la demande et l’offre », souligne Mr Sobotka.
La chute des ressources fait grimper les prix du minerai de fer
La chute des stocks de matière première en Chine et globalement une baisse de production de ressources ont littéralement fait grimper le prix du minerai de fer au plafond ces derniers temps.
Selon Benedikt Sobotka, Président de Eurasian Resources Group (ERG), d’autres événements, comme le Cyclone Veronica en Australie et le désastre du barrage de Brumadinho au Brésil en début d’année, ont eu des effets collatéraux sur le marché.
« Notre défi, et celui de tous les producteurs est de remettre en marche le permis d’opérer en regard des accidents tragiques qui se sont déroulés dans notre industrie. Pour cela, faire usage des ressources naturelles de panière responsable, en réduisant l’empreinte carbone et en mettant en place les digues en aval comme norme, seront des gages de succès pour le futur ».
Selon le Président, l’une des garanties pour mener à bien ces défis importants est un sursaut collectif dans un effort de la part du secteur minier, des gouvernements et des institutions.
Toute une série de mesures et d’acteurs doit se rassembler pour trouver les meilleures solutions pour le secteur dans sa totalité, afin de solidifier la confiance entre l’industrie et les actionnaires et partenaires.
« Un flux de communication sans filtre, réciproque, entre les entreprises minières et leurs communautés sera crucial pour faire naître des projets neufs et relancer les projets existants. »
Toujours selon le Président, chaque initiative minière a des caractéristiques techniques, environnementales et sociales différentes des autres. Selon le minerai, la technologie et les défis varient. L’origine des minerais en soi est elle aussi cruciale, d’une région à l’autre les caractéristiques étant propres à chaque production.
« Pour un groupe comme ERG, avec un portfolio aussi diversifié que le nôtre, c’est un des défis : cerner ces caractéristiques et implémenter des projets qui en tiennent compte de la meilleure manière, et dans le respect de l’environnement », insiste Sobotka.
Il conclut sur le fait qu’un portfolio aussi large ouvre indiscutablement de nombreuses possibilités sur lesquelles la compagnie compte bien continuer à se développer, tout en gardant une attention et un œil particulièrement attentif aux défis parallèles.
Le Président du groupe ERG, Benedikt Sobotka, prévoit que le nouveau super port sera capable de gérer 40 T annuelles de minerais, et par la suite faire profiter de ses nouvelles infrastructures l’industrie agricole brésilienne, qui pourra exporter des céréales et importer des engrais.
Implantée au Kazakhstan et au Brésil notamment, du moins pour ce qui est de sa production de minerais de fer, ERG estime que le marché en général se porte bien, et que les perspectives pour la production de minerais de qualité sont très prometteuses.
C’est dans ce contexte que Pedra de Ferro n’en est qu’à ses débuts, et des débuts très prometteurs, toujours selon le Président Sobotka.
« Notre partenariat sans précédent avec le gouvernement de l’état de Bahia au Brésil nous permet de travailler étroitement avec les populations locales pour préparer le site à la construction du futur port ».
Le projet Pedra de Ferro hissera Bahia au troisième rang des producteurs de minerais de fer au Brésil. Porto Sul lui permettra d’acheminer sa production vers les marchés du globe.
Porto Sul sera également partenaire de Ferrovia de Integração Oeste Leste (FIOL), le réseau de chemin de fer, pour mettre en place une infrastructure unique, avec des frais de fonctionnement à l’économie, pour faire la passerelle entre les marchés globaux et Bahia et ses régions voisines.
Le Président du groupe ERG met en avant le profit que retireront de ce projet les entreprises déjà en place, ainsi que les futures entreprises de la région, dans le secteur minier ou agricole. « Ce projet portuaire a la capacité de créer 30 000 emplois, directs et indirects, ne serait-ce que dans sa phase de construction. Les opérations quant à elles devraient employer à l’avenir quelque 10 000 postes, de près ou de loin ».
Les études préliminaires ont débuté le mois dernier, incluant les accès et la sécurisation du chantier.
Si tout se passe selon les projections du groupe, Porto Sul devrait voir le jour dans 3 à 4 années, en même temps que le réseau ferroviaire FIOL et la mine Pedra de Ferro auront atteint leurs pleines capacités. Les échéances et le respect du calendrier dépendent uniquement de la bonne marche de la concession du réseau ferré.
« ERG veut faire au Brésil ce qu’elle fait ailleurs : se distinguer en tant que producteur indépendant de minerais de fer supérieur, et Pedra de Ferro sera son étendard. Il sera la pierre fondatrice d’une opération sur de nombreuses années à venir, avec le développement durable à cœur, pour fournir à l’industrie de l’acier une source alternative et intéressante ».
Minerais de fer
« L’industrie du minerai de fer doit affronter un manque de ressources, qui trouve sa cause en Chine. Les mines de fer chinoises achètent en grande quantité du minerai de fer pour combler leurs ressources avant que le marché ne devienne trop impénétrable », commente le Président Sobotka.
Selon lui, la Chine qui produit plus de la moitié de l’acier à l’échelle planétaire et 70 % du minerai de fer marin connaît une situation sans précédent, de demande largement supérieure à l’offre qu’elle est capable de fournir. Et ce depuis environ 3 ans. Ce qui a pour conséquence de faire grimper les prix.
« L’attention soulignée portée au contrôle environnemental oblige la Chine à se tourner vers des minerais de qualité supérieure, plutôt que de recourir à sa production nationale. Le record de demande en minerais a atteint un chiffre impressionnant en mai dernier, au paroxysme de la consommation de minerais du pays. En parallèle, la nécessité pour la Chine de recourir à du minerai de qualité pour réduire les émissions de CO2 devrait se poursuivre à moyen, et probablement à long terme ».
La production d’acier est en pleine croissance, dévorant environ 150 millions T annuelles supplémentaires de minerais de fer. Cependant la production de minerais est à la baisse d’environ 80 millions de T, si on regarde du côté des plus gros fournisseurs du marché. C’est là que les nouveaux projets, forts de leurs 120 millions de tonnes, prennent l’avantage, alors qu’il reste une demande de 110 millions de tonnes supplémentaires à produire si l’on veut atteindre la stabilité entre la demande et l’offre », souligne Mr Sobotka.
La chute des ressources fait grimper les prix du minerai de fer
La chute des stocks de matière première en Chine et globalement une baisse de production de ressources ont littéralement fait grimper le prix du minerai de fer au plafond ces derniers temps.
Selon Benedikt Sobotka, Président de Eurasian Resources Group (ERG), d’autres événements, comme le Cyclone Veronica en Australie et le désastre du barrage de Brumadinho au Brésil en début d’année, ont eu des effets collatéraux sur le marché.
« Notre défi, et celui de tous les producteurs est de remettre en marche le permis d’opérer en regard des accidents tragiques qui se sont déroulés dans notre industrie. Pour cela, faire usage des ressources naturelles de panière responsable, en réduisant l’empreinte carbone et en mettant en place les digues en aval comme norme, seront des gages de succès pour le futur ».
Selon le Président, l’une des garanties pour mener à bien ces défis importants est un sursaut collectif dans un effort de la part du secteur minier, des gouvernements et des institutions.
Toute une série de mesures et d’acteurs doit se rassembler pour trouver les meilleures solutions pour le secteur dans sa totalité, afin de solidifier la confiance entre l’industrie et les actionnaires et partenaires.
« Un flux de communication sans filtre, réciproque, entre les entreprises minières et leurs communautés sera crucial pour faire naître des projets neufs et relancer les projets existants. »
Toujours selon le Président, chaque initiative minière a des caractéristiques techniques, environnementales et sociales différentes des autres. Selon le minerai, la technologie et les défis varient. L’origine des minerais en soi est elle aussi cruciale, d’une région à l’autre les caractéristiques étant propres à chaque production.
« Pour un groupe comme ERG, avec un portfolio aussi diversifié que le nôtre, c’est un des défis : cerner ces caractéristiques et implémenter des projets qui en tiennent compte de la meilleure manière, et dans le respect de l’environnement », insiste Sobotka.
Il conclut sur le fait qu’un portfolio aussi large ouvre indiscutablement de nombreuses possibilités sur lesquelles la compagnie compte bien continuer à se développer, tout en gardant une attention et un œil particulièrement attentif aux défis parallèles.
FINYEAR & CHAINEUM
Lisez gratuitement le quotidien Finyear & sa newsletter quotidienne.
Recevez chaque matin par mail la newsletter Finyear, une sélection quotidienne des meilleures infos et expertises en finance digitale, corporate finance & crypto finance.
Read for free The daily newspaper Finyear & its daily newsletter.
Receive the Finyear's newsletter every morning by email, a daily snapshot of the best news and expertise in digital finance, corporate finance & crypto finance.
------------------------
Chaineum :
Fondée en 2015, Chaineum est un cabinet de conseil en opérations de haut de bilan offrant une expertise de premier plan en matière d’ICO et STO, avec une vision stratégique orientée tant vers le métier de ses clients que sur la technologie blockchain. A ce titre, Chaineum a participé à la mise en œuvre de bonnes pratiques dans le secteur (ICO Charter, Security Token Network).
La division services blockchain de Chaineum, développe la technologie Chaineum Segment, une blockchain privée orientée objets.
About Chaineum:
Founded in 2015, Chaineum is a leading corporate finance advisory firm with a strong expertise in ICO and STO, and a strategic focus on both its clients' business and blockchain technology. As such, Chaineum paved the way in the implementation of certain best practices in this sector (ICO Charter, Security Token Network).
Chaineum's blockchain services division, is developing Chaineum Segment technology, an object-oriented private blockchain.
-------------------------
Recevez chaque matin par mail la newsletter Finyear, une sélection quotidienne des meilleures infos et expertises en finance digitale, corporate finance & crypto finance.
Read for free The daily newspaper Finyear & its daily newsletter.
Receive the Finyear's newsletter every morning by email, a daily snapshot of the best news and expertise in digital finance, corporate finance & crypto finance.
------------------------
Chaineum :
Fondée en 2015, Chaineum est un cabinet de conseil en opérations de haut de bilan offrant une expertise de premier plan en matière d’ICO et STO, avec une vision stratégique orientée tant vers le métier de ses clients que sur la technologie blockchain. A ce titre, Chaineum a participé à la mise en œuvre de bonnes pratiques dans le secteur (ICO Charter, Security Token Network).
La division services blockchain de Chaineum, développe la technologie Chaineum Segment, une blockchain privée orientée objets.
About Chaineum:
Founded in 2015, Chaineum is a leading corporate finance advisory firm with a strong expertise in ICO and STO, and a strategic focus on both its clients' business and blockchain technology. As such, Chaineum paved the way in the implementation of certain best practices in this sector (ICO Charter, Security Token Network).
Chaineum's blockchain services division, is developing Chaineum Segment technology, an object-oriented private blockchain.
-------------------------
No Offer, Solicitation, Investment Advice, or Recommendations
This website is for informational purposes only and does not constitute an offer to sell, a solicitation to buy, or a recommendation for any security, nor does it constitute an offer to provide investment advisory or other services by FINYEAR.
No reference to any specific security constitutes a recommendation to buy, sell or hold that security or any other security.
Nothing on this website shall be considered a solicitation or offer to buy or sell any security, future, option or other financial instrument or to offer or provide any investment advice or service to any person in any jurisdiction.
Nothing contained on the website constitutes investment advice or offers any opinion with respect to the suitability of any security, and the views expressed on this website should not be taken as advice to buy, sell or hold any security. In preparing the information contained in this website, we have not taken into account the investment needs, objectives and financial circumstances of any particular investor.
This information has no regard to the specific investment objectives, financial situation and particular needs of any specific recipient of this information and investments discussed may not be suitable for all investors.
Any views expressed on this website by us were prepared based upon the information available to us at the time such views were written. Changed or additional information could cause such views to change.
All information is subject to possible correction. Information may quickly become unreliable for various reasons, including changes in market conditions or economic circumstances.
No reference to any specific security constitutes a recommendation to buy, sell or hold that security or any other security.
Nothing on this website shall be considered a solicitation or offer to buy or sell any security, future, option or other financial instrument or to offer or provide any investment advice or service to any person in any jurisdiction.
Nothing contained on the website constitutes investment advice or offers any opinion with respect to the suitability of any security, and the views expressed on this website should not be taken as advice to buy, sell or hold any security. In preparing the information contained in this website, we have not taken into account the investment needs, objectives and financial circumstances of any particular investor.
This information has no regard to the specific investment objectives, financial situation and particular needs of any specific recipient of this information and investments discussed may not be suitable for all investors.
Any views expressed on this website by us were prepared based upon the information available to us at the time such views were written. Changed or additional information could cause such views to change.
All information is subject to possible correction. Information may quickly become unreliable for various reasons, including changes in market conditions or economic circumstances.