Elle s’appuie sur un sondage IPSOS réalisé en décembre 2021. On vous propose donc de découvrir la place de la cryptomonnaie dans la société française.
Quel est le rapport des Français envers la cryptomonnaie ?
Le rapport des Français envers la cryptomonnaie ne cesse d’évoluer et les plateformes de trading, à l’exemple de Margex, se développent toujours plus. À la différence des non fongibles tokens (NFT), la majorité d’entre eux en a déjà entendu parler et 37 % a déjà investi dedans. Cet écart de notoriété réside notamment dans le fait que les NFT n’ont connu une médiatisation accrue que depuis l’année dernière. Du côté des monnaies virtuelles, c’est le Bitcoin qui reste privilégié par les investisseurs, suivi de l’Ether et du Bitcoin cash. Cependant, le Bitcoin est de plus en plus considéré comme un actif dépassé et les investisseurs tendent à se tourner vers des projets qu’ils considèrent plus jeunes et comme ayant du potentiel.
UN ÉCART GÉNÉRATIONNEL
Ces investisseurs ont d’ailleurs un profil intéressant. La première chose que l’on remarque est l’écart générationnel important, puisque 46 % des personnes détenant de la cryptomonnaie ou ayant pour projet d’en acheter ont moins de 35 ans. Les plus de 66 ans, quant à eux, ne représentent que 10 % des investisseurs. Les foyers ayant des revenus les plus faibles sont ceux qui détiennent le plus d’actifs numériques, étant également plus jeunes. Par ailleurs, la majorité des investisseurs se situeraient dans les grandes villes, ainsi qu’en région parisienne.
Un secteur porteur et générateur d’emplois
L’industrie de la cryptomonnaie ayant connu une forte croissance en 2021, elle génère aussi des emplois. Une croissance de 64 % des effectifs a ainsi été notée en janvier 2022, en comparaison à l’année précédente. Et selon les estimations, elle devrait se poursuivre, de sorte que le secteur de la cryptomonnaie emploierait plus de 2 400 personnes en janvier 2023. Il faut également noter que cette industrie recrute principalement du côté de l’Île-de-France, la première licorne se situant à Paris.
LES PROFILS TECHNIQUES PARTICULIÈREMENT RECHERCHÉS
Pour 93 % des entreprises, les profils recherchés sont techniques. Parmi eux, les développeurs smart contract, qui sont spécialisés dans certains langages, mais aussi les développeurs ayant un profil plus généraliste. Cependant, l’offre demeure pour le moment plus élevée que la demande. En raison du caractère récent des technologies liées aux actifs numériques et à la blockchain, les développeurs restent rares et les formations ne sont, pour le moment, que peu développées.
UNE MISE EN PLACE DE FORMATIONS PAR LES SOCIÉTÉS
Pour pallier ce manque, les entreprises tendent à mettre en place des programmes de formation. De cette façon, elles ont l’opportunité d’employer des profils dits « juniors » et forment elles-mêmes leurs salariés. Autre option, établir des partenariats avec des universités afin de sensibiliser les étudiants au secteur de la cryptomonnaie. De cette façon, les jeunes ont un aperçu des nouveaux débouchés qui s’offrent à eux.
Quel est le rapport des Français envers la cryptomonnaie ?
Le rapport des Français envers la cryptomonnaie ne cesse d’évoluer et les plateformes de trading, à l’exemple de Margex, se développent toujours plus. À la différence des non fongibles tokens (NFT), la majorité d’entre eux en a déjà entendu parler et 37 % a déjà investi dedans. Cet écart de notoriété réside notamment dans le fait que les NFT n’ont connu une médiatisation accrue que depuis l’année dernière. Du côté des monnaies virtuelles, c’est le Bitcoin qui reste privilégié par les investisseurs, suivi de l’Ether et du Bitcoin cash. Cependant, le Bitcoin est de plus en plus considéré comme un actif dépassé et les investisseurs tendent à se tourner vers des projets qu’ils considèrent plus jeunes et comme ayant du potentiel.
UN ÉCART GÉNÉRATIONNEL
Ces investisseurs ont d’ailleurs un profil intéressant. La première chose que l’on remarque est l’écart générationnel important, puisque 46 % des personnes détenant de la cryptomonnaie ou ayant pour projet d’en acheter ont moins de 35 ans. Les plus de 66 ans, quant à eux, ne représentent que 10 % des investisseurs. Les foyers ayant des revenus les plus faibles sont ceux qui détiennent le plus d’actifs numériques, étant également plus jeunes. Par ailleurs, la majorité des investisseurs se situeraient dans les grandes villes, ainsi qu’en région parisienne.
Un secteur porteur et générateur d’emplois
L’industrie de la cryptomonnaie ayant connu une forte croissance en 2021, elle génère aussi des emplois. Une croissance de 64 % des effectifs a ainsi été notée en janvier 2022, en comparaison à l’année précédente. Et selon les estimations, elle devrait se poursuivre, de sorte que le secteur de la cryptomonnaie emploierait plus de 2 400 personnes en janvier 2023. Il faut également noter que cette industrie recrute principalement du côté de l’Île-de-France, la première licorne se situant à Paris.
LES PROFILS TECHNIQUES PARTICULIÈREMENT RECHERCHÉS
Pour 93 % des entreprises, les profils recherchés sont techniques. Parmi eux, les développeurs smart contract, qui sont spécialisés dans certains langages, mais aussi les développeurs ayant un profil plus généraliste. Cependant, l’offre demeure pour le moment plus élevée que la demande. En raison du caractère récent des technologies liées aux actifs numériques et à la blockchain, les développeurs restent rares et les formations ne sont, pour le moment, que peu développées.
UNE MISE EN PLACE DE FORMATIONS PAR LES SOCIÉTÉS
Pour pallier ce manque, les entreprises tendent à mettre en place des programmes de formation. De cette façon, elles ont l’opportunité d’employer des profils dits « juniors » et forment elles-mêmes leurs salariés. Autre option, établir des partenariats avec des universités afin de sensibiliser les étudiants au secteur de la cryptomonnaie. De cette façon, les jeunes ont un aperçu des nouveaux débouchés qui s’offrent à eux.