Ce n’est visiblement pas qu’un effet d’annonce…Le 21 mars alors que la Paris Blockchain Week battait son plein au carrousel du Louvre à Paris, une information de l’agence de presse Bloomberg, révélait que Circle ambitionnait de rayonner en Europe via la France. L’annonce (confirmée) fait le tour des stands et des visiteurs.
A peine 48 heures plus tard, Jeremy Allaire, le PDG de Circle, profite de sa Keynote, sur la master stage de la PBW pour entériner l’actualité : Oui, Circle a bien choisi Paris. Il détaille ses raisons sur le plateau de BFM Crypto installé au cœur de l’événement.
« Nous développons notre activité dans le monde et nous souhaitons le faire de manière réglementée. Ce que nous avons constaté en France et aussi avec la future réglementation Mica, c’est qu’il y a clairement la possibilité d’offrir notre plateforme à toute l’union européenne. Et lorsque nous nous sommes penchés sur les pays européens pour le choix de notre futur siège, le gouvernement français présentait le plus grand sponsorship de l’industrie blockchain avec un cadre réglementaire qui était déjà en place et bien plus avancé que dans d’autres pays. Par ailleurs, nous sommes convaincus du rôle que va jouer la France dans la future réglementation européenne, il était important pour nousd’y d’être. »
Aujourd’hui, un autre communiqué de presse édité par le cabinet De Gaulle Fleurance, confirme, à son tour, le stade du développement des projets de Circle pour la France.
Comme annoncé le 21 mars dernier, Circle a déposé une demande d’enregistrement en qualité de prestataire de services sur actifs numériques (PSAN) auprès de l’Autorité des marchés financiers (AMF) ainsi qu’une demande d’agrément en qualité d’établissement de monnaie électronique auprès de l’Autorité de contrôle prudentiel et de résolution (ACPR). Et comme l’indique le communiqué de presse du célèbre cabinet d’avocats : « L’instruction de ces demandes est en cours auprès de ces autorités. »
Et le cabinet de poursuivre via son communiqué : « Nous sommes fiers d’accompagner Circle dans son projet d’implantation en France », expliquent Henri-Nicolas Fleurance, Anne Maréchal et Cyril Tour. « La France a été précurseur pour mettre en place une réglementation protectrice des investisseurs tout en encourageant l’innovation. C’est une formidable opportunité pour les acteurs des crypto-actifs et de la blockchain du monde entier, comme Circle, qui choisissent Paris pour implanter et développer leurs activités en Europe. »
Dans le cadre de ce projet, donc, Circle est conseillé par Henri-Nicolas Fleurance, directeur général de De Gaulle Fleurance, Anne Maréchal et Cyril Tour, associés, Adam Stolcz, juriste, Alexis Tandeau, Léa Oïffer-Bomsel et Guillaume Jagerschmidt, avocats.
Anne-Laure Allain
Lire aussi l'article relatif à l'annonce de l'arrivée de Circle en France
Photo : Jeremy Allaire sur le plateau de BFM Crypto au coeur de la Paris Blockchain Week
A peine 48 heures plus tard, Jeremy Allaire, le PDG de Circle, profite de sa Keynote, sur la master stage de la PBW pour entériner l’actualité : Oui, Circle a bien choisi Paris. Il détaille ses raisons sur le plateau de BFM Crypto installé au cœur de l’événement.
« Nous développons notre activité dans le monde et nous souhaitons le faire de manière réglementée. Ce que nous avons constaté en France et aussi avec la future réglementation Mica, c’est qu’il y a clairement la possibilité d’offrir notre plateforme à toute l’union européenne. Et lorsque nous nous sommes penchés sur les pays européens pour le choix de notre futur siège, le gouvernement français présentait le plus grand sponsorship de l’industrie blockchain avec un cadre réglementaire qui était déjà en place et bien plus avancé que dans d’autres pays. Par ailleurs, nous sommes convaincus du rôle que va jouer la France dans la future réglementation européenne, il était important pour nousd’y d’être. »
Aujourd’hui, un autre communiqué de presse édité par le cabinet De Gaulle Fleurance, confirme, à son tour, le stade du développement des projets de Circle pour la France.
Comme annoncé le 21 mars dernier, Circle a déposé une demande d’enregistrement en qualité de prestataire de services sur actifs numériques (PSAN) auprès de l’Autorité des marchés financiers (AMF) ainsi qu’une demande d’agrément en qualité d’établissement de monnaie électronique auprès de l’Autorité de contrôle prudentiel et de résolution (ACPR). Et comme l’indique le communiqué de presse du célèbre cabinet d’avocats : « L’instruction de ces demandes est en cours auprès de ces autorités. »
Et le cabinet de poursuivre via son communiqué : « Nous sommes fiers d’accompagner Circle dans son projet d’implantation en France », expliquent Henri-Nicolas Fleurance, Anne Maréchal et Cyril Tour. « La France a été précurseur pour mettre en place une réglementation protectrice des investisseurs tout en encourageant l’innovation. C’est une formidable opportunité pour les acteurs des crypto-actifs et de la blockchain du monde entier, comme Circle, qui choisissent Paris pour implanter et développer leurs activités en Europe. »
Dans le cadre de ce projet, donc, Circle est conseillé par Henri-Nicolas Fleurance, directeur général de De Gaulle Fleurance, Anne Maréchal et Cyril Tour, associés, Adam Stolcz, juriste, Alexis Tandeau, Léa Oïffer-Bomsel et Guillaume Jagerschmidt, avocats.
Anne-Laure Allain
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Photo : Jeremy Allaire sur le plateau de BFM Crypto au coeur de la Paris Blockchain Week