Les premiers au pointage de 05h00 le 04/12/08 :
1- Sébastien Josse (BT) à 18090 milles de l'arrivée
2- Jean Pierre Dick (Paprec-Virbac 2) à 1,7 milles du leader
3- Yann Eliès (Generali) à 3,7 milles
4- Loïck Peyron (Gitana Eighty) à 21,9 milles
5- Jean le Cam (VM Materiaux) 46,5 milles
Sac de noeuds
Ça croise dans tous les sens aux abords de la porte de sécurité glaces que sept concurrents ont respectée depuis mercredi après-midi. Ce matin, au sein des 10 hommes de tête, seuls Jean- Pierre Dick (Paprec-Virbac 2), Loïck Peyron (Gitana Eighty) et plus loin Michel Desjoyeaux (Foncia) devaient encore se soustraire à cette obligation, à savoir, laisser un point de cette ligne virtuelle à tribord.
Les trajectoires des leaders forment sur la cartographie un vrai sac de nœuds et le pointage de ce matin révèle quelques évolutions dans le classement.
Sébastien Josse (BT), n'est plus qu'un fragile leader au regard de ces 1,7 milles d'avance sur son nouveau second Jean-Pierre Dick (Paprec-Virbac), très rapide sur une heure avec 17,7 nœuds au compteur. Troisième, à 3,7 milles, Yann Eliès (Generali) navigue littéralement bord à bord avec Josse. Les deux hommes ont plongé vers le sud pour aller chercher du vent plus fort, de même que Jourdain, Riou et Golding.
Vitesses disparates
Une seule chose est sûre : le skipper de BT est toujours plus lent que ses poursuivants (plus de deux nœuds en moyenne), d'où un retour tonitruant de quelques-uns dans son tableau arrière, à l'instar de Loïck Peyron et Jean Le Cam qui ont gagné une trentaine de milles dans la nuit.
Deuxième certitude ce matin : les vitesses de progression sont toujours aussi variables. Il y a fort à parier que le vent soit très irrégulier sur le plan d'eau. Dans un message envoyé cette nuit, Michel Desjoyeaux (10e à 154 milles) relatait des transitions rapides de 20 à 30 nœuds, d'où des manœuvres incessantes de changement de voile. Il suffit d'être un temps sous-toilé, ou simplement moins bien servi par Éole que ses camardes, pour perdre immédiatement 1, 2 voire 3 nœuds de vitesse.
Troisième (quasi) certitude: avec des écarts aussi infimes et des options nuancées sur la route du cap de Bonne Espérance, les pointages de la journée devraient continuer de semer le trouble dans la hiérarchie.
www.vendeeglobe.org
1- Sébastien Josse (BT) à 18090 milles de l'arrivée
2- Jean Pierre Dick (Paprec-Virbac 2) à 1,7 milles du leader
3- Yann Eliès (Generali) à 3,7 milles
4- Loïck Peyron (Gitana Eighty) à 21,9 milles
5- Jean le Cam (VM Materiaux) 46,5 milles
Sac de noeuds
Ça croise dans tous les sens aux abords de la porte de sécurité glaces que sept concurrents ont respectée depuis mercredi après-midi. Ce matin, au sein des 10 hommes de tête, seuls Jean- Pierre Dick (Paprec-Virbac 2), Loïck Peyron (Gitana Eighty) et plus loin Michel Desjoyeaux (Foncia) devaient encore se soustraire à cette obligation, à savoir, laisser un point de cette ligne virtuelle à tribord.
Les trajectoires des leaders forment sur la cartographie un vrai sac de nœuds et le pointage de ce matin révèle quelques évolutions dans le classement.
Sébastien Josse (BT), n'est plus qu'un fragile leader au regard de ces 1,7 milles d'avance sur son nouveau second Jean-Pierre Dick (Paprec-Virbac), très rapide sur une heure avec 17,7 nœuds au compteur. Troisième, à 3,7 milles, Yann Eliès (Generali) navigue littéralement bord à bord avec Josse. Les deux hommes ont plongé vers le sud pour aller chercher du vent plus fort, de même que Jourdain, Riou et Golding.
Vitesses disparates
Une seule chose est sûre : le skipper de BT est toujours plus lent que ses poursuivants (plus de deux nœuds en moyenne), d'où un retour tonitruant de quelques-uns dans son tableau arrière, à l'instar de Loïck Peyron et Jean Le Cam qui ont gagné une trentaine de milles dans la nuit.
Deuxième certitude ce matin : les vitesses de progression sont toujours aussi variables. Il y a fort à parier que le vent soit très irrégulier sur le plan d'eau. Dans un message envoyé cette nuit, Michel Desjoyeaux (10e à 154 milles) relatait des transitions rapides de 20 à 30 nœuds, d'où des manœuvres incessantes de changement de voile. Il suffit d'être un temps sous-toilé, ou simplement moins bien servi par Éole que ses camardes, pour perdre immédiatement 1, 2 voire 3 nœuds de vitesse.
Troisième (quasi) certitude: avec des écarts aussi infimes et des options nuancées sur la route du cap de Bonne Espérance, les pointages de la journée devraient continuer de semer le trouble dans la hiérarchie.
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