Jean-Michel Richeton, co-Fondateur de Bangk
BANGK, sera-t-elle la future néobanque blockchain ? Pour le savoir, il faudra attendre le mois de juin 2025, date de son lancement programmé.
En attendant, le projet qui fourmille déjà vient de lancer son ICO. Le Bangk Coin, son utility token est actuellement en ventes privées au prix de 0,6 euro avant de passer à un peu plus de 0,7 euro en ventes publiques avec comme objectif de récolter 4 millions d'euros.
Alors qu'est ce qui ce cache derrière ce projet de structure financière s'adossant à la technologie blockchain.
"Je suis moi-même un entrepreneur issu du monde des énergies renouvelables. Et alors que nous sommes structurés de manière solide, les banques avaient du mal à financer nos projets." relate le co-fondateur de Bangk.
Et c'est ainsi que la première brique de Bangk est posée. Bangk souhaite accompagner ces entreprises dans leur financement via l'émission de token ou plutôt de Security Token. " Ces jetons basés sur des actifs du monde réel tokenisés (Real-World Assets) permettent d'offrir un instrument supplémentaire de financement, le tout de manière ouverte au public, totalement transparente et liquide."
Aussi pour pouvoir proposer ce service, Bangk est actuellement en discussions pour entrer dans le cadre de la réglementation Mifid Marchés d’instruments financiers (MiFID) et services d’investissement.
2nde brique du futur Bangk : la neobanque. Comprendre permettre à tout le monde d'ouvrir un compte courant, de disposer d'un Iban, d'avoir une carte de paiement, de faire des transferts d'argent, dans un banque basée sur la blockchain qui, par ailleurs, investit dans des projets favorables aux énergies renouvelables.
"La technologie blockchain offre un formidable moyen d'adresser toutes les transactions courantes des banques. Les transferts d'argent y sont transparents, sécurisés, rapides et beaucoup moins onéreux que via le système classique. Notre système propose de transformer les monnaies FIAT dans notre stablecoin émis sur Solana qui sera donc compensé en 1/1. Une garantie totale pour le client puisque si, dans la pire des situations, nous faisions faillite, le stock FIAT serait toujours à disposition."
La future néobanque est donc en préparation pour juin 2025. Les équipes de Bangk sont en demande d'agrément EME (Etablissement de Monnaie Electronique) auprès de l'ACPR.
L'autre volet de Bangk (le troisième, donc) concerne la mise à disposition d'outils DeFi.
En attendant, place à la clôture de l'ICO (Juin 2025) et à la course aux agréments qui devrait s'auréoler par un coup de tampon européen version Mica ?
Anne-Laure Allain
En attendant, le projet qui fourmille déjà vient de lancer son ICO. Le Bangk Coin, son utility token est actuellement en ventes privées au prix de 0,6 euro avant de passer à un peu plus de 0,7 euro en ventes publiques avec comme objectif de récolter 4 millions d'euros.
Alors qu'est ce qui ce cache derrière ce projet de structure financière s'adossant à la technologie blockchain.
"Je suis moi-même un entrepreneur issu du monde des énergies renouvelables. Et alors que nous sommes structurés de manière solide, les banques avaient du mal à financer nos projets." relate le co-fondateur de Bangk.
Et c'est ainsi que la première brique de Bangk est posée. Bangk souhaite accompagner ces entreprises dans leur financement via l'émission de token ou plutôt de Security Token. " Ces jetons basés sur des actifs du monde réel tokenisés (Real-World Assets) permettent d'offrir un instrument supplémentaire de financement, le tout de manière ouverte au public, totalement transparente et liquide."
Aussi pour pouvoir proposer ce service, Bangk est actuellement en discussions pour entrer dans le cadre de la réglementation Mifid Marchés d’instruments financiers (MiFID) et services d’investissement.
2nde brique du futur Bangk : la neobanque. Comprendre permettre à tout le monde d'ouvrir un compte courant, de disposer d'un Iban, d'avoir une carte de paiement, de faire des transferts d'argent, dans un banque basée sur la blockchain qui, par ailleurs, investit dans des projets favorables aux énergies renouvelables.
"La technologie blockchain offre un formidable moyen d'adresser toutes les transactions courantes des banques. Les transferts d'argent y sont transparents, sécurisés, rapides et beaucoup moins onéreux que via le système classique. Notre système propose de transformer les monnaies FIAT dans notre stablecoin émis sur Solana qui sera donc compensé en 1/1. Une garantie totale pour le client puisque si, dans la pire des situations, nous faisions faillite, le stock FIAT serait toujours à disposition."
La future néobanque est donc en préparation pour juin 2025. Les équipes de Bangk sont en demande d'agrément EME (Etablissement de Monnaie Electronique) auprès de l'ACPR.
L'autre volet de Bangk (le troisième, donc) concerne la mise à disposition d'outils DeFi.
En attendant, place à la clôture de l'ICO (Juin 2025) et à la course aux agréments qui devrait s'auréoler par un coup de tampon européen version Mica ?
Anne-Laure Allain