En 2007 et pour la troisième année consécutive, cet établissement financier affiche un tableau de bord des plus reluisants en termes de chiffre d’affaires réalisé grâce au crédit auto. Et comme pour renvoyer l’ascenseur à ses clients, Al Baraka Bank vient d’annoncer de nouvelles facilitations et autres allégements à ses clients désireux d’acquérir des véhicules neufs.
Ainsi, cette banque s’engage, à partir de ce mois, à financer l’acquisition de voitures de tourisme à hauteur de 80%, soit avec seulement un apport initial de 20%. Cette offre s’adresses désormais, à des clients ayant un revenu mensuel minimum de 22.000 DA pour les célibataires et de 25.000DA pour les couples. Au niveau de la banque on ne parlera pas de taux d’intérêt mais plutôt de taux de marge bénéficiaire qui permet à la banque Al Baraka Algérie de prêter selon les règles de la charia, et donc en conformité avec les principes de la banque islamique. Un argument de taille qui n’a pas laissé insensibles un grand nombre de particuliers, motivés par cette couverture dans la mesure où même en cas de difficultés de remboursement, le client reste assujetti à des indemnités fixes au lieu de se voir entraîné dans l’engrenage des intérêts composés et cumulables, donc lourds à supporter.
Il faut signaler que la généralisation du crédit auto depuis quelques années a permis au marché de l’automobile en Algérie de connaître une nette progression. Qu’il s’agisse d’implantation à travers le territoire national, d’offres au profit de petits salaires, de constitution de dossier et ses frais inhérents, de l’apport initial ou des intérêts, les banques les plus en vue dans le domaine du crédit automobile volent encore à trop haute altitude par rapport aux véritables capacités de la demande potentielle caractérisant le marché national. Le bouleversement du modèle de consommation, avec l’apparition du phénomène du crédit à la consommation a entraîné l’endettement des ménages. Et quand on se retrouve pris de court par les frais engagés par le crédit, c’est l’engrenage garanti.
Il y en a même qui frôlent la dépression et essayent d’écouler l’article à qui peut payer pour s’en sortir. Sinon, ils abandonnent en perdant les dépenses faites au préalable. Avec le développement du crédit à la consommation, les ménages découvrent les joies de l’endettement.
Source : S. Zouggar - Le Maghreb
Ainsi, cette banque s’engage, à partir de ce mois, à financer l’acquisition de voitures de tourisme à hauteur de 80%, soit avec seulement un apport initial de 20%. Cette offre s’adresses désormais, à des clients ayant un revenu mensuel minimum de 22.000 DA pour les célibataires et de 25.000DA pour les couples. Au niveau de la banque on ne parlera pas de taux d’intérêt mais plutôt de taux de marge bénéficiaire qui permet à la banque Al Baraka Algérie de prêter selon les règles de la charia, et donc en conformité avec les principes de la banque islamique. Un argument de taille qui n’a pas laissé insensibles un grand nombre de particuliers, motivés par cette couverture dans la mesure où même en cas de difficultés de remboursement, le client reste assujetti à des indemnités fixes au lieu de se voir entraîné dans l’engrenage des intérêts composés et cumulables, donc lourds à supporter.
Il faut signaler que la généralisation du crédit auto depuis quelques années a permis au marché de l’automobile en Algérie de connaître une nette progression. Qu’il s’agisse d’implantation à travers le territoire national, d’offres au profit de petits salaires, de constitution de dossier et ses frais inhérents, de l’apport initial ou des intérêts, les banques les plus en vue dans le domaine du crédit automobile volent encore à trop haute altitude par rapport aux véritables capacités de la demande potentielle caractérisant le marché national. Le bouleversement du modèle de consommation, avec l’apparition du phénomène du crédit à la consommation a entraîné l’endettement des ménages. Et quand on se retrouve pris de court par les frais engagés par le crédit, c’est l’engrenage garanti.
Il y en a même qui frôlent la dépression et essayent d’écouler l’article à qui peut payer pour s’en sortir. Sinon, ils abandonnent en perdant les dépenses faites au préalable. Avec le développement du crédit à la consommation, les ménages découvrent les joies de l’endettement.
Source : S. Zouggar - Le Maghreb