D’où la poursuite de l’appréciation de l’euro qui, elle aussi, va coûter très cher. Certes, elle permet actuellement à l’économie américaine de renforcer sa reprise. En revanche, de ce côté-ci de l’Atlantique, où la croissance est déjà structurellement molle (devons-nous rappeler que la croissance structurelle de la zone euro est de 1,8 % contre 3,2 % outre-Atlantique ?), les dégâts risquent de devenir dramatiques.
Pour l’instant, les marchés n’ont cure de toutes ces considérations économiques. Néanmoins, au fur et mesure qu’ils se rendront comptes des dommages économiques collatéraux causés par leurs égarements, ils finiront par admettre que les niveaux actuels du baril et de l’euro n’ont aucun sens. Le balancier repartira alors en sens inverse, mais le mal aura déjà été fait.
Lire l'article : www.acdefi.com
Pour l’instant, les marchés n’ont cure de toutes ces considérations économiques. Néanmoins, au fur et mesure qu’ils se rendront comptes des dommages économiques collatéraux causés par leurs égarements, ils finiront par admettre que les niveaux actuels du baril et de l’euro n’ont aucun sens. Le balancier repartira alors en sens inverse, mais le mal aura déjà été fait.
Lire l'article : www.acdefi.com