Selon la dernière étude du cabinet de conseil et d’audit PwC, 2016 est une année exceptionnelle en nombre de transactions avec un total de 6500 opérations contre 5500 enregistrées en 2007, précédente année record. L’Allemagne atteint ainsi un niveau inégalé depuis 15 ans alors que la France se rapproche des niveaux records de 2006 et 2007.
Par ailleurs, les deux pays confirment leur attractivité auprès des investisseurs étrangers qui représentent 60% des transactions réalisées en Allemagne et 52% de celles enregistrées en France en 2016.
Signe de l’attractivité accrue de l’Allemagne, l’étude révèle également que les transactions transfrontalières de la France vers l’Allemagne connaissent un véritable essor. 93 entreprises allemandes ont été rachetées par des sociétés françaises en 2016, un nombre trois fois supérieur à la moyenne des 15 dernières années.
L’Allemagne enregistre une hausse record de 28% du nombre de ses transactions et dépasse la France
Si la France connaît une hausse de 5% de ses transactions (2 983 transactions réalisées en 2016), l’Allemagne, pour la première fois depuis 2009, dépasse la France en nombre de transactions réalisées. Elle comptabilise 3 584 transactions, soit une augmentation de 28% par rapport à 2015. L’écart significatif entre l’Allemagne et la France contraste ainsi avec l’année précédente où seule une cinquantaine d’opérations de fusion-acquisition séparaient les deux pays.
Par ailleurs, les deux pays confirment leur attractivité auprès des investisseurs étrangers qui représentent 60% des transactions réalisées en Allemagne et 52% de celles enregistrées en France en 2016.
Signe de l’attractivité accrue de l’Allemagne, l’étude révèle également que les transactions transfrontalières de la France vers l’Allemagne connaissent un véritable essor. 93 entreprises allemandes ont été rachetées par des sociétés françaises en 2016, un nombre trois fois supérieur à la moyenne des 15 dernières années.
L’Allemagne enregistre une hausse record de 28% du nombre de ses transactions et dépasse la France
Si la France connaît une hausse de 5% de ses transactions (2 983 transactions réalisées en 2016), l’Allemagne, pour la première fois depuis 2009, dépasse la France en nombre de transactions réalisées. Elle comptabilise 3 584 transactions, soit une augmentation de 28% par rapport à 2015. L’écart significatif entre l’Allemagne et la France contraste ainsi avec l’année précédente où seule une cinquantaine d’opérations de fusion-acquisition séparaient les deux pays.
Essor des transactions transfrontalières de la France vers l’Allemagne
En 2016, avec 93 acquisitions d’entreprises allemandes réalisées par des sociétés françaises et une hausse de 26% par rapport à 2015, les deux partenaires économiques atteignent des niveaux d’activité encore jamais égalés. En effet, pendant les 15 années précédentes, les sociétés françaises réalisaient en moyenne 35 rachats d’entreprises allemandes par an. Cette intensification des opérations transfrontalières permet à la France de continuer sa progression sur le marché allemand ; elle passe ainsi de la 5ème place des pays investissant le plus en Allemagne en 2014, à la 4ème place en 2015 et à la 3ème place en 2016. L’Allemagne a, quant à elle, réalisé 25 acquisitions en France, en léger repli par rapport à 2015 (31).
En 2016, avec 93 acquisitions d’entreprises allemandes réalisées par des sociétés françaises et une hausse de 26% par rapport à 2015, les deux partenaires économiques atteignent des niveaux d’activité encore jamais égalés. En effet, pendant les 15 années précédentes, les sociétés françaises réalisaient en moyenne 35 rachats d’entreprises allemandes par an. Cette intensification des opérations transfrontalières permet à la France de continuer sa progression sur le marché allemand ; elle passe ainsi de la 5ème place des pays investissant le plus en Allemagne en 2014, à la 4ème place en 2015 et à la 3ème place en 2016. L’Allemagne a, quant à elle, réalisé 25 acquisitions en France, en léger repli par rapport à 2015 (31).
Selon Olivier Lorang, directeur chez PwC responsable Transactions du German Business Group :
« L’attractivité et le succès de l’Allemagne s’expliquent notamment par la vitalité de son secteur industriel, et plus particulièrement son Mittelstand qui regroupe des dizaines de milliers de PME et ETI dynamiques et tournées vers l’export. C’est aussi leur agilité et leur capacité d’innovation qui attirent les investisseurs étrangers, ainsi que le « Made in Germany », symbole de qualité.
L’attractivité de l’Allemagne en dehors de ses frontières est par ailleurs couplée à un climat de confiance à l’intérieur de ses frontières. D’après la 20ème édition de l’étude annuelle de PwC « Global CEO Survey », 40% des dirigeants d’entreprise allemands anticipent un avenir économique en croissance au niveau mondial, contre seulement 27% des dirigeants d’entreprise du reste du monde. »
France & Allemagne : une attractivité en hausse pour les investisseurs étrangers
En 2016, plus de la moitié des transactions en France et en Allemagne ont impliqué des investisseurs étrangers.
Dans la lignée de l’année 2015, les deux pays continuent d’attirer les investisseurs étrangers. En France, ils représentent 52% des transactions réalisées pour un total de 1 541 opérations contre 39% en 2015. Les Etats-Unis et le Royaume-Uni se placent ainsi en tête des investisseurs avec respectivement 467 et 435 acquisitions de sociétés françaises, soit une augmentation de 29% et 50% par rapport à 2015.
Le marché allemand confirme son attractivité accrue par rapport à la France avec 2 136 transactions impliquant des investisseurs étrangers (soit 60% des opérations), principalement originaires des Etats-Unis et du Royaume-Uni qui comptabilisent respectivement 594 et 550 transactions enregistrées.
Pour Olivier Lorang : « L’actualité économique et politique de 2016, avec le Brexit et l’élection présidentielle américaine, pourrait être le signe d’un retour vers une forme de protectionnisme.
Pourtant, on assiste à un phénomène contraire sur le marché des fusions & acquisitions : les
opérations sont de plus en plus internationales et 2016 s’inscrit comme l’année de l’ouverture. »
« L’attractivité et le succès de l’Allemagne s’expliquent notamment par la vitalité de son secteur industriel, et plus particulièrement son Mittelstand qui regroupe des dizaines de milliers de PME et ETI dynamiques et tournées vers l’export. C’est aussi leur agilité et leur capacité d’innovation qui attirent les investisseurs étrangers, ainsi que le « Made in Germany », symbole de qualité.
L’attractivité de l’Allemagne en dehors de ses frontières est par ailleurs couplée à un climat de confiance à l’intérieur de ses frontières. D’après la 20ème édition de l’étude annuelle de PwC « Global CEO Survey », 40% des dirigeants d’entreprise allemands anticipent un avenir économique en croissance au niveau mondial, contre seulement 27% des dirigeants d’entreprise du reste du monde. »
France & Allemagne : une attractivité en hausse pour les investisseurs étrangers
En 2016, plus de la moitié des transactions en France et en Allemagne ont impliqué des investisseurs étrangers.
Dans la lignée de l’année 2015, les deux pays continuent d’attirer les investisseurs étrangers. En France, ils représentent 52% des transactions réalisées pour un total de 1 541 opérations contre 39% en 2015. Les Etats-Unis et le Royaume-Uni se placent ainsi en tête des investisseurs avec respectivement 467 et 435 acquisitions de sociétés françaises, soit une augmentation de 29% et 50% par rapport à 2015.
Le marché allemand confirme son attractivité accrue par rapport à la France avec 2 136 transactions impliquant des investisseurs étrangers (soit 60% des opérations), principalement originaires des Etats-Unis et du Royaume-Uni qui comptabilisent respectivement 594 et 550 transactions enregistrées.
Pour Olivier Lorang : « L’actualité économique et politique de 2016, avec le Brexit et l’élection présidentielle américaine, pourrait être le signe d’un retour vers une forme de protectionnisme.
Pourtant, on assiste à un phénomène contraire sur le marché des fusions & acquisitions : les
opérations sont de plus en plus internationales et 2016 s’inscrit comme l’année de l’ouverture. »
Le nombre d’opérations de capital-investissement en France et en Allemagne est en baisse en 2016
Les opérations de capital-investissement, comprenant les opérations avec effet de levier (LBO) et les opérations de capital-développement et capital-risque (Venture Capital), ont légèrement diminué en Allemagne pour s’établir au nombre d’opérations enregistré en France en 2014, réduisant ainsi l’écart entre les deux pays. Ainsi, en 2016, 594 opérations de capital-investissement ont été réalisées en France et 424 en Allemagne, soit une baisse respective de 15% et de 6% par rapport à l’année précédente. L’Allemagne passe à la 6ème place des pays réalisant le plus d’opérations de capital-investissement en France tandis que la France se maintient à la 4ème place.
Les opérations de capital-investissement, comprenant les opérations avec effet de levier (LBO) et les opérations de capital-développement et capital-risque (Venture Capital), ont légèrement diminué en Allemagne pour s’établir au nombre d’opérations enregistré en France en 2014, réduisant ainsi l’écart entre les deux pays. Ainsi, en 2016, 594 opérations de capital-investissement ont été réalisées en France et 424 en Allemagne, soit une baisse respective de 15% et de 6% par rapport à l’année précédente. L’Allemagne passe à la 6ème place des pays réalisant le plus d’opérations de capital-investissement en France tandis que la France se maintient à la 4ème place.
Olivier Lorang explique : « 2016 marque la fin de la tendance à la hausse, constatée depuis 5 ans, des opérations de capital-investissement en Allemagne. En revanche, le nombre de LBO est en progression en 2016, hausse qui devrait se confirmer à l’avenir puisque d’après l’étude de PwC « Private Equity Trend Report 2016 », 62% des dirigeants du secteur citent l’Allemagne comme le pays le plus attractif en Europe occidentale pour les opérations de private equity. »
Méthodologie : Toutes les transactions (en volume) sont recensées par Zephyr et ont été extraites en janvier 2017.
Pour aller plus loin téléchargez ci-dessous l’étude PwC (PDF 11 pages en français)
Pour aller plus loin téléchargez ci-dessous l’étude PwC (PDF 11 pages en français)
Crédit image : ©Thomas Bartel DDC by ESIEA
Laurent Leloup
Fondateur Finyear Group
Auteur de "Blockchain, la révolution de la confiance"
Membre d'honneur du Cercle TURGOT.
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